Bonjour,
L'aboutissemnt !
J'étais à l'heure devant la porte de la maison de Martine. J'ai mis mon bandeau (celui utilisé dans un avion pour être dans l'obscurité) sur mes yeux et j'ai sonné. J'ai attendu. J'ai même cru que je devais m'être trompé de jour ! 3 ou 4 minutes ou plus, plus tard, la porte s'est ouverte et j'ai salué Martine : "Comment vas-tu ?" ... ce à quoi elle m'a répondu sèchement que je ne devais pas la tutoyer, l'appeler "maitresse" et que si j'avais un bandeau, c'est simplement parce qu'elle m'interdisait de la voir, de la regarder et qu'il était hors de question que je la touche. La douche froide ! J'étais dans son piège.
Elle m'a accompagné dans sa salle de bain pour que je me déshabille. Une fois tout nu, j'ai attendu un moment. J'ai remis mon bandeau. 5 ou 10 minutes plus tard (le temps semblait interminable), elle est venue me chercher, m'a guidé jusque dans le salon je suppose. Là elle m'a attaché les mains dans mon dos. Très vite j'ai ressenti qu'elle n'était pas seule. Elle parlait, faisait des commentaires sur mon corps, et surtout sur mon encagement. Je durcissais dans ma cage. J'entendais qu'une personne était présente, des mouvements dans une direction opposée à celle de Martine. J'ai voulu parler et elle m'a demandé de me taire immédiatement.
Après s'être mise à genou pour me taquiner avec ses doigts, elle a exigé que je me couche sur le dos. Je l'ai entendu passer et repasser autour de moi, ses talons claquaient sur le carrelage. Ma position était très inconfortable, attaché dans le dos sur ce carrelage froid. Je l'ai sentie presque s'assoir sur mon visage. frôler ma bouche et mon nez ... Je devenais fou. Mon érection bloquée dans ma cage me faisait mal comme certains petits matins. Mon plaisir dans cette situation inconforatable est venue quand elle a posé sa vulve sur ma bouche. Elle s'est frottée et c'est à ce moment là qu'elle a ouvert mon cadenas. Enfin libéré et dur, l'anneau est resté et mon érection me faisait mal. Elle s'est alors amusée à me masturber et s'arrêter juste à temps, juste avant mon éjaculation ... puis elle reprenais quand le calme était revenu pour aller de nouveau jusque avant le point de non retour. C'est là qu'elle m'a expliqué ce que je désirais qu'elle résumait "sans jouissance et chasteté permanante". Elle a recommencé et recommencé et mon sexe a coulé chaque fois un petit peu. Ce n'était pas de la jouissance. Le seul plaisir était que je lui donne sa jouissance à elle, dans son entre jambe.
Après qu'elle ai obtenu son orgasme, elle s'est levée, m'a ordonné de me lever, de repartir dans la salle de bain me doucher et surtout de remettre ma cage mais qu'elle se réservait le plaisir de remettre le cadenas. c'était sur un ton très autoritaire que je ne connaissais pas.
Une fois dans la salle de bain, j'ai bien entendu une conversation et qu'elle n'était pas seule. J'étais humilié. Une personne m'a vu ainsi traité comme un soumis.
Elle est venue enfin pour mettre le cadenas. J'avais le bandeau. Puis elle m'a poussé dehors.
Je ne sais pas du tout comment considérer ce qui m'est arrivé. C'était à la fois un moment excitant et une humiliation, avec de la honte. Je ne pensais pas que Martine était une femme aussi autoritaire. Etait-ce pour me donner une leçon ? Etait-ce pour assouvir ses envies ? Etait-ce pour me soumettre ? Et puis qui était cette personne qui était présente ? Plusieurs personnes peut-être ? des femmes ? Etait-ce ma femme ? Comme elles sont amies cela se pourrait, mais ce serait une machination machiavélique ! J'ai honte d'avoir été exhibé ainsi, nu, encagé, soumis, en érection, sans éjaculation. Je suis tombé très bas. Je n'ai même pas vraiment jouis. Juste le plaisir de lécher et sucer.
Je l'ai cherché, je l'ai eu.
Je me demande si je vais recommencer !
Tous vos commentaires vont aller bon train. Je ne suis pas fier !
Philou