Edouard et une nouvelle amante sous clé !

Démarré par FKH71, Janvier 07, 2014, 04:33:56 PM

waaxer, taz et 27 Invités sur ce sujet

FKH71

Mes chers amis,
Jʼespère que vous avez passé de bonnes fêtes  et pris plein de bonnes résolutions pour cette nouvelle année.
Pour notre part, Edouard et moi avons eu la joie dʼaccueillir Sophie entre Noel et le jour de lʼan. Nous avons beaucoup fêté lʼenterrement de 2013 et espérons beaucoup de 2014 !
Edouard est resté sous cage tout le mois de Novembre jusquʼau 5 décembre, en répression de ses plaisirs solitaires… Je lʼai obligé à  me raconter ses fantasmes et à  mʼhonorer de sa bouche quasiment chaque soir. Autant vous dire quʼil était surexcité et anticipait jusquʼà  mes moindres désirs. Nous avons vécu une harmonie rare.
Le 5 décembre, alors que nous étions au lit Edouard me demanda : «  As-tu des nouvelles de Sophie, il y a bien longtemps que nous ne lʼavons vu ? »
Il faut vous dire que Sophie est une amie de longue date, avec qui jʼai connu, lʼété dernier,  ma première et seule expérience homosexuelle. Pour autant, il mʼarrive souvent dʼy penser notamment lorsquʼEdouard me prodigue ses nombreuses caresses. 
Je lui répondais : «  Que veux-tu dire ? Je te vois venir petit coquin !»
« Tu sais que vous mʼavez terriblement excité lʼété dernier, tu ne voudrais pas la réinviter ?  Elle est peut-être libre à  Noel, on a 8 jours de vacances, nous serons seuls, peut-être voudrait-elle venir ? »
Pour faire lanciner Edouard, je jouais lʼindifférence : «  Tu crois, jʼavais prévu que nous restions seuls justement, sans contrainte, pour être à  nous deux ! »
«  Bien sûr, si tu crois cela préférable, »  ajouta-t-il «  mais elle est sympa et pas gênante »
« Oui bien sûr, et puis elle est au courant pour ta cage, ça ne devrait rien changer à  nos jeux »
« Oh ! enfin, . ; euh… » déclara â€"t-il gêné
Jʼen profitais pour enfoncer le clou : «  si on lʼinvite, cela ne changera rien à  nos habitudes, tu es bien dʼaccord ? »
« Que veux-tu dire ? »
«  Eh bien, tu seras toujours aussi serviable avec moi , toujours aussi docile ? »
«  Oh ça bien sûr ! Tu peux compter sur moi »
« Jʼai ta parole ? »
« Oui je te le promets »
Edouard mʼavoua plus tard  quʼen acceptant, il  espérait une libération immédiate !
Ce ne fut pas le cas ! Au contraire, forte de mes lectures sur ce site, je fis un rapide calcul 3 ou 4 jours de « réaprivoisement, si Sophie arrivait aux alentours du 24, il fallait vider Edouard aux alentours du 20. Je lui accorderai cette satisfaction mais donc quand je le déciderai.
Je relançais la conversation : «  Bien, veux-tu que je lʼappelle demain, nous verrons si elle peut venir !
« Si tu veux »
«  Cette conversation mʼa remémoré dʼexcellents souvenirs, et une douce moiteur mʼenvahit, viens me rafraîchir ! »
Edouard, probablement excité , lui aussi par les futurs instants que nous passerions avec Sophie,  ne se fit pas prier, et se précipita entre mes jambes que jʼavais largement écartées.
Dès le lendemain, jʼappelais Sophie sur son portable.
« Allo Sophie ? Ici Françoise, Comment vas-tu ? »
Après quelques phrases dʼusage, je lui déclarai : « Tu dais Edouard et moi avons eu une idée, pourquoi ne viendrais-tu pas passer quelques jours de vacances à  la maison entre Noel et le jour de lʼan., Nous sommes seuls, la chambre de notre fils est libre et tu serais réellement la bienvenue. Edouard et moi serons tous les deux en vacances. Alors nous pourrons passer des jours merveilleux sans contrainte, quʼen penses-tu ? »
«  Eh ben ça cʼest super ! Les amis, ils sont toujours présents quand il faut ! Imagine toi que je devais partir aux Maldives avec mon mec, mais il mʼa largué la semaine dernière. Du coup je suis libre. Jʼai juste promis à  Maman de réveillonner avec elle le 24 au soir, je pourrais arriver dans la journée du 25. »
Tu nous raconteras tes mésaventures, le 25 cʼest parfait tu nous rappelleras sur la route pour nous dire si nous tʼattendons pour déjeuner ! »
« Pas la peine je serai là  pour 13 heures, ça te va ? »
«  On est ravi, on va passer de bonnes vacances, au 25 donc ! je tʼembrasse très fort ! »
« Moi aussi, jʼai hâte de te retrouver »
Ce « te retrouver » sonna dans mon oreille et réveilla en moi des désirs inavouables. Lʼaffaire était lancée. Cʼest moi en priorité quʼelle voulait revoir… !
Le soir même, alors quʼEdouard rentrait du travail et quʼil avait à  peine refermé la porte dʼentrée, je lui annonçai la venue de Sophie !

Sophie, comme convenu est arrivée le 25 pour déjeuner, elle avait apporté des cadeaux pour chacun de nous et après un délicieux déjeuner préparé par Edouard nous nous installâmes au coin du feu. Sophie nous parla de sa dernière conquête et de sa soudaine rupture, Elle avait découvert grâce à  lui les soirées fétichistes parisienne. Elle avait apprécié ce rôle de soumise, où elle sʼabandonnait sans avoir à  décider de quoi que ce soit, elle y prenait goût, mais avit découvert quʼil nʼéprouvait aucun sentiment pour elle. Elle était devenu, son jouet, son esclave.. Il sʼétait installé chez elle, ne faisait rien si ce nʼest de vivre à  ses crochets.   Elle lʼavait largué le lendemain dʼune de ces soirées, lorsquʼil avait voulu la louer à  un autre maître, elle avait pris conscience quʼelle était sur une pente vertigineuse dont elle ne ressortirait pas indemne. Cʼest alors, quʼelle nous avoua : «  il mʼen reste des traces non seulement morales mais aussi physiques ! »
«  Edouard sʼempressa se répondre : «  Quel salaud, Cʼest ignoble un mec comme cela ! »
Elle répondit : «  Non, il ne faut pas jeter le bébé avec lʼeau du bain, jʼai apprécié certains moments, jʼai aimé ces moments dʼabandon où le plaisir sʼenferme avec la douleur, et surtout je me suis rendu compte de ma naà¯veté ! »
Jʼajoutais : « Tu parles de douleur, il te battait ? »
« Oui bien sûr ! cela fait partie du jeu, le martinet, les pinces à  seins, les poids, la cire chaude, lʼexhibition et bien dʼautres choses encore..Tu serais étonnée de voir combien ces jeux sont prisés à  Paris, on y rencontre toute sorte de gens du show-biz, de la politique, des affaires….Quand je parle de poids, tu sais que je porte un anneau au clitoris, il a voulu que jʼen fasse poser deux autres sur mes grandes lèvres et un sur chaque mamelon. Il Sʼamusait à  y suspendre toute sorte de choses. A la maison je devais toujours me promener nue, pour quʼil puisse, si lʼenvie lui prenait mʼattacher ou me punir pour la moindre chose. Pour sortir, il ne mʼautorisait que le port des jupes sans rien en dessous au cas où une occasion se présenterait !
Edouard reprit la parole : «  Cʼest vraiment un malade ce gars là  ! Et tu les a gardé ces anneaux ? »
« Oui » Répondit Sophie, jʼavais déjà  celui du clitoris et jʼavoue que je trouve très esthétiques ceux des grandes lèvres, quant à  ceux des tétons, ils me procurent des sensations très agréables tout au long de la journée, tu veux voir ? »
Sans attendre de réponse de notre part, Sophie commença à  se déshabiller dʼabord le haut puis le bas. Au bout de ses deux seins généreux pendaient deux  grands et très jolis  anneaux qui terminaient trèe avantageusement sa poitrine. Edouard sʼextasia et demanda : «  on peut toucher ? »
Sophie avec un grand sourire lui rétorqua : Tu sais jʼen ai vu dʼautres, tu peux même tirer si tu veux ! «  Edouard ne se fit pas prier et s‘installa face aus deux globes généreusement tendus par Sophie et tout en manipulant les anneaux il déclara : «  Tu vois Françoise je rêverai que tu en portes toi aussi ! »
Je répondis du Tac au Tac «  Edouard reste à  ta place ! Mais si je dois en porter ce ne sera quʼaprès tʼavoir fait percer en premier ! »
«  Pourquoi pas ? »
Sophie rajouta «  Tu sais Françoise tu devrais essayer, ça tʼexcite les tétons toute la journée. Regarde, ils restent bien turgescents et sont sensibles comme tout !  Viens approche nʼaies pas peur ! » Et joignant le geste à  la parole elle vint me mettre ses deux seins sous les yeux.  Et sans en rajouter, elle fit tomber sa jupe sous laquelle elle ne portait rien.
Se retrouver, Edouard et moi,  ainsi dans notre salon, un 25 décembre avec une femme nue alors que nous étions tous les deux habillés avait quelque chose de surnaturel ! La tension érotique était montée de plusieurs degrés !
Cʼest alors que Sophie remarqua la clef qui pendait entre mes deux seins, «  Alors tu mets toujours Edouard sous clef ? Tu portes ta cage en ce moment Edouard ? Fais voir ! »
Edouard sans même me demander commença à  se déshabiller. Jʼétais la seule encore vêtue dans cette pièce. Edouard avait le sexe comprimé tant il était excité.
Sophie rajouta seulement : «  Cʼest beau » puis se tournant vers moi, elle dit : « Il ne te reste pas un cadenas par hasard ? »
« Pourquoi » lui dis-je
Ne fais pas ta mijaurée, jʼai trop envie de toi, je pense souvent à  toi et à  la soirée que nous avons passé cet été, si tu ne mets pas un cadenas sur mes deux anneaux, je vais te sauter dessus, depuis que jʼai tʼai vu en arrivant jʼen ai trop envie. Quoiquʼil advienne tu sais que nous finirons au lit, alors nous y irons quand toi tu en auras envie, je tʼoffre ma libido pour toute la durée de mon séjour, tu mettras la clef autour du cou, comme celle dʼEdouard !
«  Cʼest une excellente idée » lança celui-ci, «  comme ça tu nous portera tous les deux ! »
Jʼétais battue, je ne pouvais mʼopposer à  ces deux volontés. Edouard partit sans me laisser le choix mot en disant : » Je mʼen occupe »  . Il revint avec un cadenas quʼil avait dans son atelier en disant : «  je nʼai trouvé que cela ! Demain on pourra aller en acheter un plus petit ! »
Sophie dit alors : «  Pour quoi faire ? Celui là  ira très bien, à  chaque pas il se balancera et me rappellera que jʼappartiens à  Françoise ! Françoise veux-tu bien me le mettre, après, je passerai moi-même la clef autour de ton cou ! »

Cʼest ainsi que pour la deuxième fois, jʼapprochais mes doigts de la vulve de Sophie. Elle était déjà  toute humide, en fermant le cadenas avec ce « clic » si prometteur je sus que nos vacances démarraient sous les meilleurs auspices ! Je vis le cadenas remuer quand Sophie sʼapprocha encore plus de moi pour me mettre la clé autour du cou, je lʼavais à  hauteur des yeux tandis que ses deux seins me frôlaient le cuir chevelu.
Comment allai-je gérer la chose : deux amants sous clé ?


.


Philchaste

Bravo!! super!! la suite! la suite! la suite!

FKH71

Merci mon cher Philchaste, vos compliments me vont droit au cœur!
La suite a été une expérience inoubliable pour nous trois faite de complicité, et de progrès dans notre relation. J'espère avoir le temps de vous la raconter. Edouard souhaiterait que comme Sophie je me fasse faire un piercing aux grandes lèvres, j'hésite..mais ne lui dois-je pas cela ? Qu'en pensez-vous ?
Mille vœux pour 2014 !
Françoise

Liocked24/7

Chère Françoise, chacune de vos "apparitions" met le feu aux poudres !!
Et ravit un public conquis d'avance ! (nous les encagés, frustrés et excités ;-))
Ce récit est une perle ! Style fluide et enjoué, sujet "transcendant" ;-))
Please, j'attends la suite moi aussi ...
et dans nos cages, on s'habitue à  devoir attendre !

Ps: votre rappel dans un de vos derniers messages: tout a fait clair au sujet de la passation de contrôle H/F (à  faire lire et relire aux futures KH). également le paradoxe:  fidélité et engagement dans le couple (voulus socialement, mais aussi et surtout sentimentalement ) qui côtoient la tendance moderne à  la libération sexuelle. (une impasse vécue)

Je "nous" considère (les encagés) comme des pionniers ayant été assez lucides pour avoir su convertir une contrainte "légère" (frustration et passation de pouvoir) en un bénéfice immense pour les DEUX membres du couple.
Un vrai et premier "progrès moral" ?
(je le pense car je trouve à  present pitoyable l'exemple d' amis menés par leur seule libido, destructrice de leur couple.
Mais comme vous le rappelez, chère Françoise, nos exemples ne peuvent valoir conseil ! La démarche doit venir d'une réflexion "en interne"
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

FKH71

Mon cher Liocked

Que de compliments !
Nʼen soyez pas avar vis-à -vis de votre chère et tendre !

Pourquoi ne mettre que les encagés dans cette catégorie des pionniers ! Ce nʼest pas acceptable pour les KH, car sans nous, vous ne pourriez pas vous engager sur cette voie ! Jʼose espérer quʼil ne sʼagit que dʼune simple omission de votre part ! Doit-on pour autant faire preuve de prosélytisme ? Cette question rejoint celle de la discussion « qui est au courant » et sur laquelle je me suis exprimée.

La démarche destructrice pour le couple est avant tout la routine qui sʼinstalle sournoisement. On nʼa plus besoin de se parler, de se surprendre, de se séduire et trop souvent on va voir ailleurs si « lʼherbe est plus verte ! » Hélas, on sait que les mirages nʼont quʼun temps !
La chasteté est une vraie thérapie de couple: elle oblige à  se parler, à  se surprendre, à  séduire (nʼest-ce pas Messieurs !)
Mais il est vrai que, comme un bon film, on ne peut préconiser que dʼaller le voir sans le raconter !
Puisse cette nouvelle année permettre à  de nombreuses KH de nous rejoindre.
Quand à  la suite de nos vacances de Noel, vous me donnez une idée ! Vous vous dîtes résigné à  attendre puisque c'est votre lot quotidien. Je vous livrerai donc la suite( car j'en ai déjà  rédigé une partie)  quand j'en éprouverai la nécessité. C'est à  dire quand un certain nombre d'entre vous me l'auront fait comprendre.
Soyez donc patient, c'est une vertu qu'il nous faut savoir entretenir !
Bien à  vous
Françoise



FKH71

Face au bug informatique dont a été victime ce forum, j'ai posté la suite de nos vacances de Noel avec Sophie. Je réitère mon envoi, car je ne sais s'il a pu être récupéré. Mes chers Liocked et hommechaste vous serez, je l'espère, heureux de poursuivre mon récit ! Voici donc la suite :

Comment allai-je gérer deux amants sous clé ?

Dans ce salon, en fin dʼaprès midi nous étions tous trois, Sophie, Edouard et moi. Jʼétais la seule habillée. Edouard se promenait nu, arborant sa cage. Sophie nue également restait debout au coin du feu et nous pouvions lorgner le cadenas qui pendait à  son entrejambes. Elle nous avait parlé de ses penchants pour la soumission et la tension était palpable, jʼétais déconcertée. Sophie me désirait, Edouard était visiblement consentant et moi, même si je me remémorais, avec appétit,  les bons instants passés avec Sophie lʼété dernier,   je ne savais quoi faire ! Jʼavais besoin de réfléchir.
Je décidai dʼune diversion en disant : «  la maison est en foutoir, débarrassons la table et nous aviserons après »
Edouard me répondit : «  laisse ma chérie, je mʼen charge, veux-tu que je te fasse couler un bain ? »
Sophie ajouta : «  Quelle bonne idée ! Cela va te détendre. Jʼaiderai Edouard à  ranger, va ma belle »
Je savais quʼEdouard et Sophie discuteraient pendant ce temps, la situation mʼéchappait encore davantage et sans réfléchir je répondis : «  eh bien puisque tu le proposes tu vas me faire couler mon bain et Edouard rangera ! »
Sophie ne dit mot et se précipita vers lʼescalier. Je vis au sourire dʼEdouard quʼil savait ce qui suivrait. Je regardais Sophie se diriger vers lʼescalier et fixait le cadenas qui se balançait. Le trouble mʼenvahissait déjà  ! Je laissais Sophie me précéder et montait directement derrière elle. Le cadenas étirait ses lèvres en se balançant. Je suis à  peu près certaine quʼelle se déhanchait plus que de nécessaire pour provoquer ce balancement !
Une fois rendues dans la salle de bain, Sophie fit couler le bain et me proposa de me déshabiller. Elle dégrafa lentement mon chemisier effleurant les clés qui pendaient entre mes seins, elle me retira doucement mon soutien gorge en effleurant mes seins. Mes tétons dardaient déjà  ! Elle ne put sʼempêcher de dire : « jʼen ai tellement rêvé et toi, ma salope, tu ne peux pas nier le contraire, tu en as envie ! » et dʼun seul coup elle engloutit mon téton droit dans sa bouche. Sa langue le titillait, ses dents se refermaient pour lʼétirer, cʼétait délicieux ! Nos bouches se rejoignirent dans un profond et langoureux baiser. Elle entreprit de terminer mon déshabillage en ôtant mon jean. Jʼétais à  sa merci, vulnérable ! Mes mains se promenaient sur sa chatte et jouaient tantôt avec lʼanneau du clitoris, tantôt avec le cadenas. Elle me dit « tire, allonge mes lèvres, nʼaies pas peur de me faire mal, jʼaime ça ! »  Ma bouche sʼapprocha de ses tétons quʼelle avait percés. Mes dents se refermèrent sur un des anneaux et je sentis Sophie reculer pour que la tension soit plus forte. Ses doigts ne restaient pas en reste et labouraient mon clitoris. Une jouissance fulgurante me fit éclater. Sophie recula pour mieux mʼadmirer pendant ces instants divins. Reprenant mes esprits je lui dis : «  Merci ! Cʼétait super ! Mais toi tu nʼas pas joui ! » Elle me répondit : «  cela fait partie du contrat, je tʼai donné tout pouvoir sur ma sexualité, je jouirai quand tu le décideras et le voudras. Maintenant prend ton bain, je vais te laver ! »
Je plongeai dans lʼeau bienfaitrice et fermais les yeux. Sophie sʼinstalla au bord de la baignoire. Jʼentendis le cadenas heurter le carrelage et sourit. Sophie me dit : « que tu es belle ! Repose toi récupère, je mʼoccupe de tout ! » Je mʼabandonnais à  la tiédeur de lʼeau.
Au bout dʼun moment Sophie me dit : «  Veux- tu que je te lave ? » «  Si tu veux »  lui répondis-je. Elle saisit le gant de toilette et le passa dans les moindres recoins de la peau. Elle eu la délicatesse de ne pas chercher à  aller plus loin. Cʼétait bon de sʼabandonner ainsi à  ses caresses délicates. Au bout dʼun moment elle me dit : «  Cʼest le jour de Noel et si nous faisions une surprise à  Edouard ? » Je répondis «  Que veux-tu dire ? » Jʼai vu que tu as gardé ta toison, ce nʼest pas beau, ni agréable quand je te passe la langue. Je me mets à  la place dʼEdouard qui doit te satisfaire avec sa bouche, ça ne doit vraiment pas être agréable ! Laisse toi faire je vais te lʼôter » je tentais de lʼen dissuader en déclarant : «  Mais, tu sais quʼEdouard ne veux pas, il veut que je garde mes poils ! » «  Cʼest quʼil ne tʼa jamais vu sans ! » répliqua-t-elle, «  tu verras, ça va lʼexciter à  mort ! Et lorsquʼil te lèchera, il tʼen remerciera. De toute façon, si tu nʼaimes pas ou si lui nʼaime pas, ça repoussera. Regarde moi, passe ta main, vois comme cʼest doux, compare avec toi » Cʼest vrai que cʼétait doux, cʼest vrai que je voyais parfois Edouard retirer un poil de sa bouche quand il me léchait et puis Sophie ne mʼavait-elle pas dit à  lʼinstant quʼelle nʼaimait pas. Toutes ces raisons me poussèrent à  accepter. Je lui dis : «  Va chercher le rasoir dʼEdouard dans lʼarmoire à  pharmacie au dessus du lavabo. » Sophie en profita pour prendre la bombe de crème à  raser. Comme deux petites filles en train de faire des bêtises je lui dis : « Ferme la porte à  clef, il ne sʼagirait pas quʼEdouard arrive ! »  Et je me mis debout dans la baignoire.
Sophie sʼapprocha, répandit généreusement de la mousse dans sa main  et commença à  en passer partout sur mon entrejambe. Elle me massait. Un peu de mousse mentholée me pénétra irradiant mes muqueuses dʼune chaleur au départ très agréable que les caresses prodiguées par Sophie ne faisaient quʼamplifier. Sophie restait imperturbable, mon bassin allait au devant de ses mains et très vite un deuxième orgasme fulgurant me submergea.
Sophie le conclut  sur ces mots : « Eh ben toi tʼes vraiment insatiable ! » Jʼaime ce côté direct de Sophie qui ne sʼembarrasse pas de conventions ! «  Tu vois rajouta-t-elle on peut aimer mélanger la douleur et le plaisir ! » «  Salope tu as fait exprès de prendre la mousse mentholée ? » «  Oh non » ajouta-t-elle avec un grand sourire de connivence !
« Tu me le paieras » ajoutai-je
« Je ne demande que cela » répondit-elle moqueuse «  mais il faudra que ça soit fort ! »
Je ne savais pas ce quʼelle voulait insinuer. Lʼavenir nous le dira.
« Et si nous reprenions ce rasage »
Jʼécartais les jambes en signe dʼacquiescement.
« Allonge-toi sur le tapis de bain »
Je mʼexécutais, Sophie sʼinstalla entre mes jambes et commença à  raser ma toison. Le passage du rasoir sur mes lèvres intimes était des plus agréables … ! Sophie se retourna et sans que je mʼen aperçoive nous nous retrouvâmes tête bêche ! Son cadenas se balançait au dessus de ma bouche. La vue de ses fesses rondes mais fermes, sa vulve cadenassée si près de ma bouche me troublèrent à  nouveau. Jʼattrapais le cadenas avec mes dents et lui dis difficilement : « Chi tu me coupes, che te lʼarrache ! » Elle partit dʼun gros éclat de rire.
Sophie sʼactivait délicatement sur mes chairs. Elle me demanda de me retourner pour terminer entre les fesses. Elle dit : «  Que ces trésors cachés sont tentants ! »
«  Je lui répondis, nous verrons plus tard, là  je nʼen peux plus ! »
«  Comme tu veux »  me dit-elle, «  ça y est jʼai presque terminé !  Passe ta main et regarde comme cʼest doux ! Je vais mettre un peu dʼaprès rasage »
«  Tu es folle ! ça va me bruler ! »  Répondis-je
«  Oui, un peu bien sûr, mais tu verras cʼest bon »
«  Non non, je ne veux rien voir du tout, cʼest très bien comme cela »
«  Dommage, mais bon puisque cʼest ce que tu souhaites »
Sophie semblait déçue. Elle voulait, probablement, me faire découvrir de nouvelles sensations, mais pour moi ce nʼétait plus le moment.
Je commençais à  enfiler mon peignoir lorsquʼelle me dit : «  Tu ne vas pas cacher le cadeau que tu fais à  Edouard »
Je répondis avec un large sourire «  Mais un cadeau, ça a besoin dʼun bel emballage ! »
« Oui mais Edouard et moi sommes à  poil, tu ne vas pas te cacher »
«  A poil en ce qui te concerne, lʼexpression ne me semble pas des plus appropriées compte tenu que tu nʼen nʼas pas, il vaudrait mieux dire : nue comme un vers ! » répondis-je en plaisantant
« Allez sʼil te plait laisse toi aller, quitte ta pudeur, descends à  poil ! »
«  Non, fais moi confiance, je le connais mon Edouard. Tu verras son regard qui cherchera à  apercevoir mon entrejambe, laisse moi le faire mariner en me dévoilant progressivement, en laissant peu à  peu les pans du peignoir sʼouvrir. Je vais le faire monter en pression ! Et là  surprise !..Eh puis, il faut bien que je marque une différence avec vous. Ne dois-je pas être lʼobjet de tous vos désirs? Alors gardons un peu de mystère»
Ce dernier argument a porté et je vis Sophie mʼaider à  enfiler le dit peignoir.

Edouard, était installé au coin de la cheminée, il avait tout rangé. Il nous regarda descendre lʼescalier et dis : «  Vous en avez mis un temps, vous vous êtes encore raconté des tas dʼhistoire de bonnes femmes ! »
Sophie répliqua : «  des remontrances ? Et puis cʼest quoi ce ton moqueur ? »
Edouard fut interloqué par lʼaplomb de Sophie. Il sʼexcusa en disant : « Je ne disais rien de mal, je plaisantais »
«  Ah bon tu crois que nous traiter de bonnes femmes cʼest insignifiant ? »
«  Bien sûr, il nʼy a aucune méchanceté ou moquerie la dedans » répondis Edouard
«  Sophie me regarda et dit : «  Et toi Françoise tu trouves quʼEdouard ne te manque pas de respect lorsquʼil te traite de bonne femme ! ça mérite des excuses !»
Quel jeu jouait Sophie ? La conversation pouvait déraper. Edouard pourrait le prendre mal et nos vacances gâchées sʼil se mettait à  prendre la mouche et il était hors de question que Sophie sʼimmisce entre nous. Je décidais de calmer le jeu. « Non je sais quʼEdouard ne pense pas à  mal, nʼest-ce pas mon Chéri ? »
« Bien évidemment » sʼempressa-t-il de répondre.
« Néanmoins, il est vrai que ce propos en portant à  équivoque aurait pu être mal interprété »
«  Oui »  me coupa Sophie « ça mérite des excuses ! Viens te mettre à  genoux devant ta maîtresse et demande pardon ! »
A ma grande surprise, je vis Edouard se prosterner à  mes pieds en me demandant pardon ! Jʼen étais gênée.
Sophie rajouta «  Tu vois Françoise, quand on exige, on obtient.. prends en de la graine ! » et Sophie dérida lʼambiance en disant : «  tout ça mʼa donné soif, cʼest ma tournée ! Que voulez vous boire, je vous sers pour me faire pardonner ! »
Sophie sʼéclipsa dans la cuisine pour préparer les boissons. Je vis Edouard la regarder sʼéloigner en fixant le cadenas qui se balançait en exerçant sur lui la même réelle fascination  quʼil avait sur moi. Il faudra que jʼen discute avec lui, pensai-je. Puisque Sophie nous laissait seuls quelques instants, jʼen aurais peut-être lʼoccasion.
Mais, cʼest Edouard qui enchaina : « Ce fut bon ? » me dit-il
« Oh oui » lui répondis-je «  On ne va pas sʼennuyer pendant ces vacances ! »
Je vis à  lʼair goguenard dʼEdouard quʼil partageait mon sentiment.
Effectivement, la suite me donnera raison !

Bien à  vous,
Françoise

hommechaste

J'adore le climat qui règne dans votre récit. On y retrouve à  la fois ce sentiment de découverte et de nouveauté que nous connaissons tous ... Il y a aussi un petit parfum de transgression et d'interdit qui suscite chez et chez d'autres j'en suis sur une certaine excitation.

Continuez donc à  nous ravir à  nous charmer et nous faire rêver.





Liocked24/7

Magnifique suite chère Françoise ! Sophie est le "détonateur" de votre épanouissement sexuel (à  trois? impatient de le découvrir!) son attitude gourmande et débridée fait merveille ... Mais si vous contrôlez ses autorisations de pénétration en détenant sa clé, elle peut tout de meme accéder au plaisir malgré ce cadenas aux anneaux ... comment gérez vous tout ça ?? édouard sera t il autorisé à  participer "activement" ou bien le numbing ou strapon entrera dans le jeu ?? Vivement la suite numero 3 :-))  ...
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

Philchaste

Bravo Françoise! tout comme mes compagnons, j'adore votre style, ça parait tellement réel et vrai....c'est là  tout le pb des films ou livres érotiques/porno, ça n'est pas assimilable à  la vraie vie..je crois que vous êtes bien parti pour concurrencer "les 50 nuances de Grey" qui font un carton en ce moment....meilleures ventes Europe...
Merci pour vos conseils de patience, je pense que vous avez raison, il ne faut pas imposer sa vision, mais attendre que chacun dans le couple fasse son chemin, sans compter que la partie déjà  accomplie nous ravie complètement à  tous les deux et que le grand gagnant est notre couple.
J'ai une Kh assez lucide effectivement pour décider d'elle-même, et c'est super, mais elle n'a pas votre maturité intellectuelle pour faire bouger les limites de ses barrières culturelles et je me dis qu'en évoquant sous forme de challenges à  m'imposer mes propres limités, ça peut contribuer à  lui donner confiance et à  baisser ses défenses, à  laisser passer ses fantasmes et à  s'exprimer, la cage ne donne t-elle pas toutes possibilités à  la Kh pour s'exprimer sans arrière pensée et sans avoir à  penser à  son encagé puisqu'il dépend d'elle? Amitiés et à  vous lire....

FKH71

Mon cher Philchaste,
Citation de: Philchaste le Janvier 14, 2014, 08:16:51 PM
Bravo Françoise! tout comme mes compagnons, j'adore votre style, ça parait tellement réel et vrai....c'est là  tout le pb des films ou livres érotiques/porno, ça n'est pas assimilable à  la vraie vie..je crois que vous êtes bien parti pour concurrencer "les 50 nuances de Grey" qui font un carton en ce moment....meilleures ventes Europe...
Merci pour vos conseils de patience, je pense que vous avez raison, il ne faut pas imposer sa vision, mais attendre que chacun dans le couple fasse son chemin, sans compter que la partie déjà  accomplie nous ravie complètement à  tous les deux et que le grand gagnant est notre couple.
J'ai une Kh assez lucide effectivement pour décider d'elle-même, et c'est super, mais elle n'a pas votre maturité intellectuelle pour faire bouger les limites de ses barrières culturelles et je me dis qu'en évoquant sous forme de challenges à  m'imposer mes propres limités, ça peut contribuer à  lui donner confiance et à  baisser ses défenses, à  laisser passer ses fantasmes et à  s'exprimer, la cage ne donne t-elle pas toutes possibilités à  la Kh pour s'exprimer sans arrière pensée et sans avoir à  penser à  son encagé puisqu'il dépend d'elle? Amitiés et à  vous lire....
Elle n'a pas votre "maturité intellectuelle"  ce n'est pas très gentil pour elle ! Et puis ne faut-il pas se méfier de l'eau qui dort !
"Baisser ses défenses" je dirais plutôt : "dépasser ses défenses"
Vous me semblez idéaliser le rôle de la cage! La cage est ce que votre KH en fera et ce que vous accepterez qu'elle en fasse. Et si elle n'en fait rien justement, l'accepteriez-vous ?
Bien à  vous
Françoise

Philchaste

Je ne voulais être en rien méchant ou pas très gentil....c'est simplement que la vie et l'éducation que vous recevez vous installe des barrières qu'il est pour certains ou certaines plus difficile à  faire bouger que pour d'autre et qu'il faut une bonne réflexion sur soi-même pour faire le tri de ce qu'on veut garder et de ce qu'on veut jeter.... Néanmoins, vous avez raison, si elle n'en fait rien...?? ça serait effectivement la solution extrême....mais je pense que si elle veut entretenir cet état de dépendance qui génère notre comportement à  nous les encagés, elle devra au moins allumer, aguicher, provoquer...car sans cet état d'excitation, l'ambiance peut retomber très vite dans une certaine monotonie que nous avons tous les deux voulu rejeter.....le jeu par définition doit amuser les partenaires et donc se renouveler...non?

Liocked24/7

Hello Philchaste,
un brin dirigiste, voire dictatorial avec Mme ??!!
Bon je plaisante, n'oublie pas qu'en confiant les clés tu confies le contrôle total et tu te mets à  son rythme et tu abandonnes le tien.
Mon épouse me l'a confié récemment "mon encagement lui a donné le temps d'avoir envie"
Attention de ne pas lasser Mme par une pression supplémentaire (la cage c'est déjà  compliqué ;-))
évite d'être le "back seat driver", désormais c'est Elle qui conduit la voiture ! ;-)
Amitiés 
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

Philchaste

Oui, je m'en rend compte avec vos remarques, je vais lever le pied....elle lis le Guide de Sylvia et j'espère qu'elle ira ensuite s'inscrire sur le blog des Kh....alors, oui, patience et merci pour vos encouragements...

Liocked24/7

Cher Philchaste,
Mme lit le guide et j'espère qu'on aura ses impressions,
moment clé de votre parcours !
Moment idéal pour te proposer de créer ton Journal perso dans la section "journaux des encagés"
Le plus simple : ouvrir un "nouveau sujet" et faire figurer ton pseudo dans le titre.
A bientôt
Lio
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

FKH71

J'accueillerai Madame avec grand plaisir sur la section qui nous est réservée!
je m'y sentirai moins seule !
Oui, mon cher Liocked, Sophie, durant ces dernières vacances, a été un amour de guide. Elle m'a permis de passer certaines barrières ... et probablement de m'affirmer davantage.
Ecrire me permets de décanter ces événements. Avant de poster, je soumets mes pages à  Edouard pour relecture. Cela, bien sûr, évite certaines fautes de français, mais, surtout, nous permet de discuter et d'approfondir ces expériences. Toute évolution provoque des réactions de défense, et dans notre cas, elles se sont bien manifestées. Il nous a fallu, par moments, calmer le jeu !
Mon cher Philchaste, ne négligez pas un aspect psychologique potentiel,qui peut survenir à  tout instant chez votre KH : Le doute !
Le doute chez la débutante, qui peut croire que la demande de chasteté de son conjoint, n'est qu'une passade, un fantasme de plus et qui une fois réalisé, disparaîtra! Le doute que la chasteté changera l'homme qu'elle aime pour in autre qu'elle peut deviner mais ne connait pas encore. Le doute atteint aussi la KH confirmée, par peur de ne pas être à  la hauteur des attentes de son compagnon et le doute de se voir conduire encore plus loin, notamment dans les rapports dominants/dominés.
Mon conseil pour surmonter ces doutes : Parler, parler et encore parler. Ces doutes sont bien naturels et il faut toute la patience et la compréhension de son homme pour les surmonter

Je continuerai mon récit dès que possible, pour les raisons que j'évoquais plus haut, mais j'ai un peu peur de vous lasser.
Bien à  vous,
Françoise

tao

Bonjour Françoise et à  tout le monde,
Citation de: FKH71 le Janvier 18, 2014, 10:07:09 AM
mais j'ai un peu peur de vous lasser.
Comment dire... heuuuu... non!
tao

FKH71

Simple et Direct !
Merci de votre réponse, mon cher Tao et ravie de vous revoir ici !

tao

De rien Françoise,
Etant quasiment la seule dame à  participer, on se doit de vous chouchouter  :)
tao

FKH71

J'espère que ce n'est pas par devoir ..! Mais ...par plaisir !

Liocked24/7

Et pas seulement, cher Tao, Françoise nous ravit de ses récits ET de la justesse de ses analyses !
Votre dernier article sur la honte supposée est un "manifeste" particulièrement lucide et positif !

Personnellement, faire plaisir à  ma femme et nous faire  plaisir en lui offrant le contrôle est une source de fierté totale !
Et si la cage devait être découverte par hasard un jour par un tiers, ma réponse serait :"c'est un objet que je porte pour ma femme et avec son accord, pour notre plus grand bien être"
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.