Edouard et une nouvelle amante sous clé !

Démarré par FKH71, Janvier 07, 2014, 04:33:56 PM

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FKH71

A établir de telles statistiques, Mon cher Lio ... vous vous faites du mal...!

FKH71

Mon Cher Tao
J'ai déjà  répondu à  la question dans un de mes posts précédents !

tao

Citation de: FKH71 le Janvier 23, 2014, 02:20:11 PM
Mon Cher Tao
J'ai déjà  répondu à  la question dans un de mes posts précédents !
J'avoue ne pas tout pouvoir retenir
tao

Liocked24/7

Citation de: FKH71 le Janvier 23, 2014, 02:18:50 PM
A établir de telles statistiques, Mon cher Lio ... vous vous faites du mal...!

Chère Françoise,
Curieux de savoir s'il s'agissait de "mes" statistiques (dans mon journal ...)
ou bien des vôtres ;-)
(auquel cas, je ne me fais aucun mal, mais me ré-jouis (décidément!) de votre situation doublement avantageuse ! )
Lio

"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

FKH71

Mon cher Lio, votre libération et votre retour sous cage méritent bien une petite récompense ! Je ne pensais pas donner la suite de nos aventures avec Sophie, si rapidement, cat nous avions fit qu'il faut savoir donner du temps au temps, mais votre bonne volonté mérite d'être encouragée...J'espère que Sue ne m'en tiendra pas rigueur...!
Cette suite vous est donc spécialement dédicacée en espérant que la cage ne vous sera pas trop insupportable pendant la lecture ...!
Voici donc cette suite si attendue :
Jʼétais perdue dans mes pensées, lorsquʼEdouard vint se planter devant moi : « ma Reine est servie ! » annonça-t-il avec un grand sourire.
Je me levais doucement, Edouard me tendit le bras et nous nous dirigeâmes, tel un couple princier, vers le coin salle à  manger. Toutes les lumières électriques avaient été éteintes et seuls deux candélabres, posés sur la table diffusaient une lumière diffuse. Dans la pénombre Sophie, nous attendait, debout près de la table. Jʼétais presque déçue de la voir revêtue dʼun tablier, mais ma surprise fut surtout de voir que la table, magnifiquement parée, ne comportait quʼun seul couvert ! Jʼexprimais mon étonnement et Edouard me répondit avec son large sourire envoutant : «  Tu es notre Reine, les manants ne dînent pas à  la table des Reines ! Nous allons te servir comme tu le mérites»
Cette réflexion mʼindiquait que lʼhumeur était joueuse ! Puisque telle était leur volonté, je me laissais embarquer par lʼaventure et répliquais : « Soit ! Festoyons »
Edouard retira la chaise, et, avec la plus parfaite galanterie, mʼinvita et  mʼaida à  mʼasseoir. Puis il sʼeffaça légèrement pour se tenir droit derrière moi.
Sophie sʼavança. Sa nudité était cachée par un large tablier de cuisine en grosse toile rêche.  Je regrettais la présence de ce tablier qui me masquait non seulement lʼopulente poitrine de Sophie, mais encore son ventre et son entrejambe où se balançait le fameux cadenas que je lui avais apposé quelques heures plus tôt. Elle portait noblement au bout des doigts une assiette. Lorsquʼelle se pencha légèrement pour disposer lʼassiette devant moi,  mon regard cherchait à  sʼimmiscer entre la toile et sa peau pour surprendre le bout de ses seins. Elle annonça : «  En cet an de grâce, pour fêter dignement la nouvelle tonsure de notre Reine : Nid de pétoncles caramélisées au miel, relevées au vinaigre balsamique, sur son lit de salade frisée et de pignons de pin ! Je reconnaissais là  lʼhumour de Sophie ! De la frisée, alors quʼil nʼy avait plus rien de frisé sur moi ! Quelle coquine !
« Sommelier sʼil vous plait » ajouta Sophie
Edouard, dans le plus pur style des grandes maisons dʼautrefois, sʼavança et commença à  remplir mon verre en annonçant «  Pouilly Fuissé 2008 ! » Je ne pourrai jamais oublier lʼatmosphère si particulière de ce dîner, atmosphère fellinienne, que je nʼaurais pas pu seulement imaginer quelques jours auparavant ! 
Imaginez : Une femme totalement nue, assise seule à  table, en train de dîner. Une cuisinière, elle aussi totalement nue, bien que sa nudité fusse cachée, tout du moins par devant,  par un large tablier blanc. En revanche, lorsquʼelle vous tourne le dos, celui-ci  est juste souligné par le nœud de la  ceinture qui attire lʼœil, faisant ressortir les deux globes généreux de son postérieur. Votre regard, en continuant de détailler la cuisinière, distingue un objet pendant entre ses cuisses. Vous voulez savoir, vous voulez découvrir la nature de cet objet. Elle fait un pas de côté. Les cuisses sʼentre-ouvrent. Vous fixez lʼobjet et découvrez quʼil est suspendu à  des anneaux accrochés aux lèvres de sexe : Cʼest un cadenas ! Votre imagination vagabonde ! Comme si elle ignorait sa condition de cadenassée, elle se meut dans la pièce le plus naturellement du monde, elle est donc habituée, elle nʼest donc pas farouche ! Est-ce une fille trop volage pour quʼon lui impose le port de ce cadenas ? Derrière la convive se tient un autre domestique, lui aussi totalement nu. Il se tient droit ce qui permet de distinguer que son sexe est enserré dans une sorte de prison en métal. Lʼaspect brillant du métal attire votre regard et vous découvrez que ce sexe est bien emprisonné, puisque la cage est solidement fermée par un cadenas. Qui a autorité pour ouvrir ce cadenas et libérer le sexe de ce domestique ? Pourquoi lui aussi est-il condamné ? La responsable, le tyran des lieux serait-ce cette femme assise à  table et qui se fait servir ?
Je souriais à  lʼévocation de ce tableau. Il avait de quoi me surprendre et en aurait surpris plus dʼun : Moi, la plutôt prude Françoise,   jʼétais seule assise à  table, totalement nue à  lʼexception des deux pendentifs accrochés aux lèvres de mon sexe et entourée de mon mari qui nʼavait pas le droit dʼêtre à  table et dʼune cuisinière, elle aussi dénudée.  La voix de Sophie me tira de mes pensées : «  Madame a terminé ?» « Oui, Merci cʼétait très bon ! »  Me surprenai-je à  répondre de façon réflexe, entraînée par des années et des années de bonne éducation ! Cʼétait pourtant sincère ! Non seulement Sophie était un véritable cordon bleu,  mais de plus elle avait soigné la mise en scène. Tous deux me regardaient en silence. Jʼéprouvais une certaine gêne sincère de me savoir à  table et eux debout à  observer mes moindres faits et gestes, à  attendre que je leur adresse la parole. Pour dissiper cette gêne et retrouver une certaine contenance, je levai mon verre et proposai un toast à  la cuisinière : «  Aux nombreux talents de Sophie » dis-je avec un air entendu. Edouard reprit et Sophie remercia. Je poursuivais en souriant: «  Puisque je suis votre Reine, vous me devez obéissance, nʼest-ce pas ? »  «  Bien sûr ! » sʼempressa de répondre Sophie !«  Eh bien puisque vous me devez tous deux obéissance, je vous ordonne de vous asseoir et de partager le dessert avec moi ! Edouard va chercher deux verres !»
Nous restâmes ainsi à  discuter de tout et de rien pendant un long moment. Cʼétait un moment de complicité, nous devisions sur tout et rien, échangeant des plaisanteries. Nous étions réellement bien. La fatigue nous guettait et parfois nos phrases sʼentrecoupaient de longs bâillements. Je sentais lʼappel de Morphée ! Je dis : « Bon, je ne sais pas vous, mais moi je suis crevée, je vais me coucher ! » et sur ces paroles je me levais pour quitter la pièce.
Cʼest alors que Sophie demanda timidement : « Je peux venir ? »
Cʼest vrai, je nʼavais pas tranché, qui allait me rejoindre dans ma couche ? Edouard ? Oui ce serait bien de discuter avec lui mais je nʼen avais pas la force. Sophie ? Oui parce quʼelle ne resterait pas longtemps et que jʼavais Edouard pour le reste de lʼannée ! Que faire, que répondre ? Je savais que si je laissais venir Sophie, nous aurions dʼinévitables ébats et ça ce nʼétait pas possible vu mon état. Alors, il mʼest venu une idée et je déclarai : « Dis-moi Sophie, ne mʼas-tu pas dit quʼEdouard méritait une punition ? »
Je vis Sophie exprimer un large sourire, elle comprenait que ma façon de punir Edouard serait de lʼécarter du lit conjugal,  elle sʼempressa de répondre : «  Oui, comme tu as pu le constater toi-même cet après midi, Edouard nous a manqué de respect. Il mérite donc une punition ! »
Jʼobservai Edouard du coin de lʼœil. Il fut tour à  tour surpris, comme cueilli à  froid, puis inquiet, puis penaud ! Je rajoutai : «  Eh bien Sophie, puisque tout à  lʼheure tu tʼes proposée de mʼaider, choisis la punition ! »
La gratitude était palpable dans le regard de Sophie. Elle lâcha : «  Edouard, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, compte tenu de ton manque ostensible de respect pour la gente féminine, tu es condamné à  en être privé pour la nuit. En conséquence, tu dormiras seul, et nous comptons sur toi pour nous apporter un solide petit déjeuner au lit demain matin ! »
«  Cʼest parfait » dis-je et tournant les talons je commençai à  gravir lʼescalier.
Sophie, sûre de sa victoire, commença à  mʼemboîter le pas.
« Tu nʼy songes pas Sophie, tu me rejoindras quand tu auras fini ton travail, il reste la cuisine à  ranger, Va ! »
Sophie prit un air dépité,  et du coup je sentis Edouard comme ragaillardi. Je montai lʼescalier pour me rendre dans la salle de bain.
Quelques temps plus tard, Edouard frappa à  la porte «  Je peux au moins te souhaiter une bonne nuit ? »
« Bien sûr mon chéri ! Rentre !»
« Tu seras contente » me dit-il, comme pour mʼamadouer, « La cuisine est impeccable ! »
« Cʼest bien ! » Dis-je « Tu ne mʼen veux pas ? »
« Un peu si,.. je ne mʼy attendais pas, mais je lʼai voulu, je ne vais pas faire machine arrière, à  moi de savoir endurer ! »
« Si cʼest trop dur, tu me le diras hein ? »
« Oui je te le promets »
« Tu as gardé tes pendentifs ? Cʼest super bandant ! »
« Cʼest toi qui dis cela ? Tu sais bien que tu ne peux pas ! »
A cette simple évocation, je vis quʼEdouard commençait à  bander
Je lui dis sur un ton maternel : «  Allons, sois raisonnable, tu vas te faire du mal, embrasse moi et va te coucher »
«Il mʼembrassa fougueusement comme un étudiant de 20 ans. Sa langue cherchait à  forcer le passage de mes lèvres. Je le sentais fou de désir ! Je lui rendis son baiser. Il commença, de sa main, à  chercher mon clitoris. Je mʼécartai en lui disant : « Pas ce soir, tu sais que je suis crevée ! » 
Lʼexcitation dʼEdouard était palpable, il tenta dʼinsister,  jʼécartai sa main et lui dis : « Arrête, sois obéissant, laisse-moi, ce nʼest pas contre toi, mais je suis réellement crevée »
« Non cʼest pour te réserver pour Sophie, je te connais »
« Jaloux ? »
«  Oui »
«  Eh bien puisque tu veux le savoir, jʼai dʼautres projets pour Sophie, mais pas pour ce soir ! Rassure-toi, je veux un moment pour discuter avec toi, mais sans Sophie, Tu mʼas attiré dans cette aventure, il faut que tu lʼacceptes ! Je ne sais plus très bien où jʼen suis, jʼai besoin de calme pour réfléchir !
« Tu crois que je vais avaler cela ! Tu parles, tu veux juste tʼenvoyer Sophie ! »
Edouard était fou de désir et de jalousie, il fallait que jʼarrive à  le calmer, cʼétait la première fois que je le voyais dans cet état, cela devenait dangereux pour notre couple. Sophie avait réussi à  sʼimmiscer entre nous, et Edouard en souffrait. Je tentais de lʼamadouer : « Ne sois pas stupide, ne réagis pas comme un gamin qui est privé de dessert, sois raisonnable, … » Rien nʼy pouvait, Edouard sʼemballait, alors je fis par pur réflexe ce que je nʼaurais jamais imaginé faire, je saisis la douche, ouvrit lʼeau froide et orienta le jet sur Edouard !
Edouard, surpris par le jet glacé se débattit, jʼorientai le jet vers la cage. Est-ce le froid, la prise de conscience ? Je ne sais. Toujours est-il quʼEdouard se calma et déclara : « Excuses-moi, je ne sais ce qui mʼa pris, je suis fou de toi ! Pardonne-moi ! » Je le regardais longuement, comprenant que quelque chose de grave venait de se produire, le jeu nous dépassait. Interloquée, perdue dans mes pensées, je ne faisais pas attention et maintenais le jet orienté sur son sexe.
Edouard dit : « Tu peux couper lʼeau sʼil te plaît,  tu vas inonder toute la maison ! »  Et il partit dʼun gros éclat de rire. La tension de ces derniers instants se dissipait dans un rire communicatif ! Au bout dʼun instant il ajouta : «  Tu vois, tu as calmé mes ardeurs ! »
Effectivement, son sexe était tout rabougri dans la cage. Et je rajoutais «  Effectivement ! Ce nʼest pas ce soir que tu vas pouvoir tʼen servir ! »
«  Effectivement, passe-moi une serviette que jʼéponge ! »
Sous nous mouvements pour éponger les pendentifs se balançaient  entre mes jambes tandis que le cadenas de la cage dʼEdouard tintait de temps à  autre….
Je fis part de mon embarras à  Edouard : «  Tu vois, tu me demandes dʼêtre plus autoritaire et quand je le deviens tu te rebiffes ! Il faut que toi aussi tu mʼaides, si je fais des efforts, je te demande dʼen faire aussi. Ce soir, Sophie à  ma demande, tʼa imprimé lʼordre de dormir dans la chambre de  Max, si tu nʼy vas pas, cʼest que tu me désavoues. Ce nʼest pas admissible. Dʼun autre côté jʼaimerais relire, avec toi, les évènements de la journée, mais je suis trop crevée pour le faire, alors nous le ferons plus tard. Sʼil te plaît, accepte et ne me pose pas de problème ! »
« Cʼest vrai » répondit Edouard, « Excuse moi, je nʼavais pas vu cela sous cet angle,    Dors bien et .. Sois sage !
« Compte sur moi ! Et nʼoublie pas le petit déjeuner au lit demain matin »  lui fis-je avec un grand sourire !
« Bonne nuit ! »
« Ouf ! »Pensai-je « lʼorage est passé. » il était temps de se mettre au lit !
Jʼentendis Sophie monter les escaliers et Edouard lui souhaiter une bonne nuit.
Celle-ci se glissa dans la chambre et vint me rejoindre dans mon lit. Très doucement, elle se pencha sur moi pour mʼembrasser. Jʼétais dʼhumeur bougonne et lui dis sans autre façon : «  Bonsoir, on dort, je suis crevée ! »
«Sophie me répondit : «  Et moi qui me faisait une joie de tʼavoir pour moi toute seule toute la nuit ! Tu fais la gueule ? Quʼest-ce quʼil y a ? »
« Rien, laisse-moi »
«  Non, il nʼy a pas rien, ! Pourquoi tu me fais la gueule ? »
« Y a que je viens de frôler une engueulade avec Edouard »
« A cause de moi ? »
« Non, tu crois ! Il vient de me faire une scène de jalousie ! »
« Il devra sʼy faire ! »
« Attends cʼest de mon couple dont il sʼagit, alors je ne prends pas cela à  la légère ! »
« Ecoute, cʼest lui qui a demandé à  ce que tu prennes en main vos relations, cʼest lui qui souhaite te voir plus autoritaire, et il te fait une scène ! Cʼest le comble ! »
« Je sais mais… »
«  Ecoute, tu manifeste ton autorité, il nʼest pas habitué, il se rebiffe, je ne vois rien dʼanormal à  cela. Cʼest le dressage qui commence ! Nʼabandonne pas, il serait déçu ! »
«  Mais qui parle de dressage, je nʼai pas envie de dresser mon mari, ce nʼest pas un chien tout de même ! »
«  Non bien sur, ce que je voulais dire : cʼest que tu dois être cohérente avec lui comme avec toi-même. Ne me dis pas le contraire cette situation te plaît nʼest-ce pas ? »
«  Oui et non, elle mʼamuse, elle raffermit notre complicité mais jusquʼoù cela va nous mener ? »
« Cʼest toi la maîtresse du jeu, cʼest toi qui fixera les règles et les limites, pour lʼinstant quʼas-tu à  te reprocher ? Rien du tout , tu as juste pris du bon temps, ce nʼest pas méchant »
« Oui mais tu te rends compte, je lʼai expédié dormir dans la chambre dʼà  côté »
« Et alors, où est le mal ? Ce nʼest pas plus différent que sʼil était en déplacement ! Il est en train dʼapprendre à  te mériter, cʼest ce quʼil veut non ? »
Oui bien sûr, mais.. »
« Mais quoi ? Crois-en mon expérience, la frustration fait partie du plaisir du soumis, A qui crois-tu quʼil pense en ce moment ? A toi et rien quʼà  toi, Bien Sûr ! Alors ne te fais pas de bile, tu verras demain, tout sera oublié ! Allez viens fais moi un câlin ! »
« Non, pas ce soir, cʼest vrai je suis crevé, et toi aussi je veux te punir, pour le mal que je causé à  Edouard à  cause de toi ! Tu attendras, cʼest ce que tu souhaites toi aussi, non ? »
«  Nous y voilà  ! ça y est, je suis responsable de tous les maux dans cette maison ! Ne sois pas ridicule,  je nʼai fait quʼentrer dans votre jeu et jʼavoue que ça me plait bien, maintenant si tu crois que je dois me retirer, cʼest bon, demain je fais mes valises et puis basta ! »
«  Non, excuse moi Sophie, ce nʼest pas du tout ce que je voulais dire, tu es la bienvenue, mais tout a été si vite aujourdʼhui, jʼen ai le vertige ! Excuse-moi, toit ça est tellement neuf, tellement étourdissant ! »
«  Oui cʼest vrai, mais tu regrettes ? »
«  Non pas du tout, je découvre de nouvelles sensations, je repousse mes limites, mais jʼai peur de mʼy brûler et Edouard avec ! »
«  Ecoute arrête de psychoter, je sais ce quʼil te faut ! Une bonne nuit de sommeil, je vais te masser pour te détendre ! Mets-toi sur le ventre ! »
Heureuse de voir lʼissue de cette conversation, je me retournais pour me mettre sur le ventre. Sophie mʼenjamba pour sʼasseoir sur mes fesses et je sentis le cadenas, dont jʼavais oublié la présence, glisser entre mes deux globes. Cette sensation me fit sourire et la douceur du massage me détendit et, cʼest très rapidement que je sombrais dans un sommeil réparateur !

A suivre...

Liocked24/7

Ahhhhh ... quel délice ! Beaucoup de choses à  dire ...a chaud, juste après la lecture !
J'y reviendrai (à  froid, cette fois!)

Votre attention et dédicace me vont droit ... au cœur !
J'avoue d'ailleurs quelques spasmes de gonflement (heureusement solidement contenus!) au cours de la lecture ...

Ce qui me rappelle une phrase de Sue, ma KH, à  qui je disais récemment à  la maison en portant un pantalon de sport :"ce qui est bien avec la cage, c'est qu'en portant ce pantalon, on ne voit pas que je bande en te massant." ce à  quoi Elle répond: "non, chéri ce qu'il y a de bien avec la cage, c'est que tu ne peux pas bander du tout!"
(j'en ai eu le souffle coupé!) (Elle est redoutable ...)

Ahhh cette nouvelle lecture, cette mise en scène, ambiance fellinienne (je verrais bien la Cité des Femmes!)
Ces petits détails, le tablier qui peine à  masquer les charmes annelés de Sophie ...
J'y reviendrai !
Je veux relire :-))
(je me sens -d'un seul coup- un peu conventionnel dans mon couple !!)
Dois-je vous remercier pour cette lecture, chère Françoise, ou -mieux- vous féliciter de vivre (et nous faire vivre) de telles aventures ?? :-))
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

monsieur_CK

Aie aie aie !!!

J ai lu ce nouvel episode au bureau. Heureusement que j etais seul et pas encore encagé... Résultat garantie sur le pénis  ;) ;)

Des accélérations du coeur lorsque le pauvre édouard a entendu la punition sortir de la bouche de sophie et aussi pour la crise de jalousie...

Merci beaucoup Françoise  ;D

La suite va etre tres intéressante avec le petit dej et la suite de la journée...


Liocked24/7

"Sophie sʼavança. Sa nudité était cachée par un large tablier de cuisine en grosse toile rêche.  Je regrettais la présence de ce tablier qui me masquait non seulement lʼopulente poitrine de Sophie, mais encore son ventre et son entrejambe où se balançait le fameux cadenas que je lui avais apposé quelques heures plus tôt."

J'adore imaginer cette scène ... et plein d'autres aussi !

Je propose une chose, une sorte de concours: que nous les membres nous imaginions plusieurs suites. On pourrait ensuite décider  qui avait vu juste !

Le "clash" de fin était prévisible à  mes yeux: édouard était insuffisamment préparé !
Comme Ulysse s'était préparé pour s'approcher des sirènes, édouard aurait du l'être aussi pour ne pas etre tenté d'affronter "ses" deux sirènes ...
Bref, toute contestation de sa part aurait du etre strictement défendue, et sa contestation était même le signe de sa demande de contrôle supplémentaire !
Mais l'arrosage glacé et soudain a été un excellent réflexe qui a détendu tout le monde :-))

Bref, la suite je l'imagine ainsi; SAR la Reine doit se reposer, ses servants ont terminé leur service et doivent s'effacer.  Ils sont très bien équipes d'accessoires fort utiles et ne doivent surtout pas, ni se rapprocher entre eux, ni troubler le royal sommeil ...
Qu'à  cela ne tienne, et que les cadenas soient refermés chacun de leur coté sur quelque élément fixe du mobilier (lit avec anneaux ou chaînes par exemple) qui garantissent la quiétude de la demeure .. et l'absence d'allees et venues au moins pendant la nuit !

(bref, je m'égare...)
Et suis impatient de connaitre la vraie suite !
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

John

Ah, ah, et cela ce n'est pas du pur sm ...
"Qu'à  cela ne tienne, et que les cadenas soient refermés chacun de leur coté sur quelque élément fixe du mobilier (lit avec anneaux ou chaînes par exemple) qui garantissent la quiétude de la demeure .. et l'absence d'allees et venues au moins pendant la nuit !"
Difficile de ne pas dépasser la limite?