Désolé de remonter ce topic pour un texte déjà mis, mais je l'ai raboté de coquilles qui y traînassaient... je suis assez obsédé par l'idée de laisser des fautes derrière moi, mais je n'ai pas trouvé comment modifier mon premier message : impossible ?
Terre sauvage
Jʼarrive en claudiquant - ménage-moi dans lʼâme -
fuirai-je en pédiquant les orages dʼun blâme ?
Curieux de tes pétales, si simples et si retors,
dʼune épreuve digitale sans pléthore de mentors.
Saugrenue petite bouche, écume tu si fort
à tout ce qui te touche et te met en confort ?
Dis-moi à quels fumets tu renifles le mieux.
Ton goût sur un palais, est il aigre ou mielleux ?
Un membre, peut-il seul, aux souterrains visqueux,
mettre au sein du linceul tous tes ennuis muqueux ?
Je demeure, de très peu, agent circonstanciel :
je suis un homme sans queue, même érigé au ciel.
Dispense moi de toi, conduis mon analyse :
où marcher sous son toit pour séduire une église ?
Apprendre à y prier comme il faut, où tu penses,
pour nous approprier une honnête expérience.
Si tu nʼas pas lʼhumour, que tu crains les naufrages,
jʼai pour tes cris dʼamour aussi peu quʼun adage.
Je viens à toi sans fable, ni plus quʼen attributs
mais peux, si cʼest affable, te présenter mon cul.
Terre sauvage
Jʼarrive en claudiquant - ménage-moi dans lʼâme -
fuirai-je en pédiquant les orages dʼun blâme ?
Curieux de tes pétales, si simples et si retors,
dʼune épreuve digitale sans pléthore de mentors.
Saugrenue petite bouche, écume tu si fort
à tout ce qui te touche et te met en confort ?
Dis-moi à quels fumets tu renifles le mieux.
Ton goût sur un palais, est il aigre ou mielleux ?
Un membre, peut-il seul, aux souterrains visqueux,
mettre au sein du linceul tous tes ennuis muqueux ?
Je demeure, de très peu, agent circonstanciel :
je suis un homme sans queue, même érigé au ciel.
Dispense moi de toi, conduis mon analyse :
où marcher sous son toit pour séduire une église ?
Apprendre à y prier comme il faut, où tu penses,
pour nous approprier une honnête expérience.
Si tu nʼas pas lʼhumour, que tu crains les naufrages,
jʼai pour tes cris dʼamour aussi peu quʼun adage.
Je viens à toi sans fable, ni plus quʼen attributs
mais peux, si cʼest affable, te présenter mon cul.