La cage du serein

[serein]

Quelle semaine...
Un vrai temps de travail à  la F#####, enfin not'prochain président, quoi.
Or donc, hier j'étais libéré (au cas où cet affreux médecin aurait souhaité m'ausculter en sous-vêtements. Et, en rentrant, ma très chère Dame m'a demandé de remettre la cage en vitesse en ajoutant, sachant que je risquais de travailler fort tard dans la nuit :


"comme ça, tu seras tranquille et concentré !".


Il est vrai que la tension nerveuse m'aurait probablement poussé à  commettre l'irréparable. et que, à  3h45 ce matin, quand j'ai terminé mon travail, je me serais bien accordé une récompense.


Hé bien non ! et on dort tout aussi bien !


Enfin, ce vendredi, en fin de journée, un SMS venu d'un bureau voisin m'informe :
"tu as rentré tes temps ?"
l'ursidé, la tête entre les pattes "heuuu"
"on ne part pas du bureau tant que tu n'a pas rentré tous les temps de décembre : impératif, sinon, 5 CPKH sur chacune"...


J'ai demandé... par acquis de conscience... Ce sont des "coups de cravache d'une KH"...


L'ursidé, motivé : "ah oui quand même... ça vient bien, là  ! J'aime !"


Et il a rentré les temps, puis a ramené une feuille bien remplie, tout fiérot !


Bon week-end à  tous

[Anton]

Cher serein ,

Oserai-je faire écho à  ton beau post ?

Ce soir , Claire continue de s'étonner qu'un homme (moi ..) soit aussi calme et souriant après déjà  trois semaines de privation .

Je lui réponds simplement :

- " Mais Claire , je suis en sécurité .. "

[serein]

Un samedi en liberté, avec une drôle d'impression.
Quelques mauvaises nouvelles de mon ancienne vie professionnelle...
Un samedi maussade.


Et un dimanche bien différent !


le dimanche matin (Madame partait pour toute la matinée en me laissant à  la maison), un petit "clic" de cadenas avec cette phrase sublime :


" c'est pour te protéger !!!"

[Anton]

   
Madame, ne me regardant surtout pas "Voilà  ! Elle le fait tout de suite pour ne pas oublier. Et sans fessée, ELLE !"

Madame , Madame .... attention , je vous en prie .... pas trop de combats d'arrière-garde ou de leçons de morale défraîchies ..... bien humblement , mais fermement , lisant votre délicieux (?) mari , je peux vous assurer que cela n'ira pas "sans" .... préparez-vous , mais le ratio investissement/bénéfice est énorme .... 

[Anton]

 

J'aime que, ENFIN, mon abeille travailleuse prenne un peu de repos, profite et se repose sur moi !

  .... et le gros bourdon j'menfoutiste , il va avoir le feu aux f.....     

[Anton]

Bravo serein ! Enthousiasmant !

Mais n'oublions pas de féliciter d'abord Madame , qui , avec la molécule précieuse "Amour mais Lucidité" travaille à  entrer dans ce monde merveilleux où la Dame n'est plus condamnée à  subir , mais à  recevoir .....

(enfin toi aussi tu recevras .... mais par l'arrière plutôt  ..;   )

[ReineRouge]

Magnifique, Serein !

Sincèrement,


ReineRouge

[Minimoi]

Bonjour,

Et bien ça sens bon le port permanent tout celà , Madame semble prendre plaisir c'est plutôt bon signe félicitations.

[serein]

Petite conversation du matin...


- qu'est ceci ?
- ceci est un pied à  coulisse, pratique pour mesurer divers objets.
- tu t'es mesuré le...
- non, non. J'ai mesuré le diamètre intérieur d'une des cages d'essai, pour déterminer les dimensions d'une future cage sur mesure. Enfin, si tu souhaites poursuivre au delà  du 31 décembre (la date de la fin théorique du second round d'observation).


Réponse de la Dame :
"C'est bien parti pour ! ça te protège, il y a plein d'avantages. Et puis, moi, je peux jouer avec quand je veux."


Elle a ri, m'a laissé interrogatif.


Ceci dit, il me semble remarquer une douce inflexion de la Dame qui n'hésite plus, le soir, à  me demander de ranger la cuisine, lui préparer une infusion lors qu'elle s'installe confortablement dans un canapé.
J'aime que, ENFIN, mon abeille travailleuse prenne un peu de repos, profite et se repose sur moi !


Bonne journée à  tous !

[serein]

Anton,
Merci pour votre antienne !


Et je m'en vais vous narrer deux échanges d'hier soir. Fameux.


En rentrant à  la maison :
"- Chérie, peux-Tu me passer la clé ? Je voudrais essayer la plus petite des cages pour la soirée...
- Non, tu viens le faire ici, dans la cuisine, devant moi ! Si je te laisse libre, tu en profites et c'est hors de question !
- Avec les enfants qui rôdent, ça n'est pas évident...
- D'accord. JE te libère... (pause) TROIS MINUTES. Mais ne t'avise pas d'en abuser !"


En dînant, avec mes filles (dont la plus jeune tarde souvent à  faire ce qu'on lui demande...)
La plus jeune : "ça, je vais le faire tout de suite sinon je vais oublier...
Madame, ne me regardant surtout pas "Voilà  ! Elle le fait tout de suite pour ne pas oublier. Et sans fessée, ELLE !"
moi : 


Après le repas, je lui ai juste glissé "tu commences à  te sentir bien, toi...".
J'ai eu le droit (serait-ce un effet de la fessée avec le souvenir de mon regard qui aurait été méprisant ?) à  un rire cristallin, une sorte d'amusement d'adolescente espiègle, libérée, joueuse.


J'ai envie de tout faire pour que ça dure, même s'il doit m'en cuire !

[Anton]

Sauf que... J'avais conseillé, toujours en voiture, à  Madame de repenser au regard méprisant que je lui aurait lancé il y a vingt ans, regard qui a eu les conséquences que nous nous connaissons (15 ans avec une autre personne inadaptée pour l'un comme pour l'autre).


Et donc, ma gardienne m'a confié que ce matin, lors qu'elle m'administrait mon traitement "de choc", qu'elle n'avait plus le sourire qu'elle avait les fois précédentes.
Elle souriait en me corrigeant. Elle a repensé à  ce regard et ne souriait plus.
Je pense qu'à  terme, une colère intérieure va se libérer. Pour son plus grand bien ! à  laquelle succédera, je l'espère et le pressens, une douceur de vivre, libérée.

Cher serein ,

Voilà  un moment extraordinaire , un témoignage qui me restera , que je n'oublierai pas .
Merci infiniment de le publier . C'est bouleversant .

Extraordinaire ..... le moment où cette "nouvelle disposition de vie" qu'est la chasteté contrôlée , mais à  L'INSTANT DE LA PUNITION , parvient , réussit à  libérer les anciennes rancoeurs , ranimer les plaies restées ouvertes pour enfin pouvoir les guérir .... !!

Quelle catharsis .............. c'est tout simplement fantastique !

Et advenant selon un mode honni par tous les grotesques prêchis-prêchas modernes , selon lesquels aucune violence ne pourrait solder un ancien conflit ..... !

J'ai vécu à  plusieurs reprises et vis encore avec Claire exactement les mêmes expériences , les mêmes moments libérateurs (pour elle !) ....

Et si la "vengeance" est bien un plat qui se mange froid , c'est aussi un plat délicieux pour Celle qui peut enfin rendre de ce qu'elle a sur le coeur depuis trop longtemps .

Il n'y a pas que le pardon dans la vie .
Quand on a pas envie de le donner , il y a le fouet .
Et ça marche très bien aussi .

Merci serein .

[Anton]

Madame rédige une série de règles... avec une posologie (normal, on parle de thérapie). Et se prend à  dire avec une légèreté badine (j'aime bien cette allusion) : "c'est simple, si telle chose n'est pas faite, c'est deux coups, par exemple. Deux coups par fesse, bien évidemment".
 

Bravo ! Bravissimmo !
Voilà  qui emporte l'enthousiasme du public .... !

Puis-je signaler à  Madame que Claire tient (enfin c'est moi qui doit écrire sous son ordre) un cahier Clairefontaine , le fameux "cahier vert" déjà  riche de 96 règles et dispositions diverses à  respecter ?

RUBRIQUES : Amis , Bureau , Corps , Cuisine , Divers , Enfants , Horaires , Mots-Codes , Politesse , Promenade , Repas , Salle de Bains , Verbal , Vêtements , Voiture , WC .

[serein]

La Police prend position, encercle l'ursidé groupusculaire, revêt sa tenue de maintien de l'ordre et évalue la tactique de combat pour la charge !


Madame rédige une série de règles... avec une posologie (normal, on parle de thérapie). Et se prend à  dire avec une légèreté badine (j'aime bien cette allusion) : "c'est simple, si telle chose n'est pas faite, c'est deux coups, par exemple. Deux coups par fesse, bien évidemment".
Le pire, c'est que Madame semblerait presque mieux connaître son barème que les règles elles-mêmes !!! 


C'est ainsi que, au cours d'une longue route qui nous ramenait de Bretagne, j'ai avoué mon incartade le jour où elle avait laissé la clé traîner. Je n'ai pas osé plaider la légèreté de la surveillance ou toute autre argutie de la défense et ai subi deux paires de coups de cravache, sans broncher.


Sauf que... J'avais conseillé, toujours en voiture, à  Madame de repenser au regard méprisant que je lui aurait lancé il y a vingt ans, regard qui a eu les conséquences que nous nous connaissons (15 ans avec une autre personne inadaptée pour l'un comme pour l'autre).


Et donc, ma gardienne m'a confié que ce matin, lors qu'elle m'administrait mon traitement "de choc", qu'elle n'avait plus le sourire qu'elle avait les fois précédentes.
Elle souriait en me corrigeant. Elle a repensé à  ce regard et ne souriait plus.
Je pense qu'à  terme, une colère intérieure va se libérer. Pour son plus grand bien ! à  laquelle succédera, je l'espère et le pressens, une douceur de vivre, libérée.




C'est heureux et ça me passera mon imbécile provocation adolescente. Par exemple, je ne dois plus prendre mon téléphone pour aller dans mon cabinet de réflexion le matin. J'aime bien : je fais un jeu ou lis les infos. Sauf que, trompant sa vigilance, j'arrive parfois à  transgresser avec un plaisir d'ado sortant le soir.
Le jours où je me serai fait choper, ça va changer ! Et sans le sourire pour le traitement ! Ouch !


Enfin, au cour de ce week-end prolongé, ma Gardienne a lancé "c'est bien, c'est toi qui a amené, qui a proposé la SOLUTION".
J'avoue que je n'ai pas osé, jusqu'à  hier soir, demander : "la solution... à  QUOI ?".


J'ai tremblé en posant la question. Vous imaginez l'effet dévastateur d'un "la solution à  TOI" Encore, s'il s'était agi de quelque pratique onaniste...


"La solution POUR TE FAIRE AVANCER"...
Et là , je ne sais plus s'il s'agit de cette belle cravache à  ursidé, ou de cette cage... pour le même ursidé !


On progresse !
Et je file noter mes temps tout de suite !!!

[Anton]

Alors, grosse semaine de travail. Les frais et temps sont achevés, ceux du jour rentrés.
Une purge  !!! Deux jours entiers à  reconstituer mon emploi du temps sur trois mois avec quelques notes et autres papiers griffonnés.
Un enfer qui me fait me dire qu'une bonne séance de chauffe-la-fesse aurait servi à  me dégoûter définitivement (je l'espère) de ces errements !
 

Trois mois de retard , papiers griffonnés et notes éparses .... pour se faire payer ....  (et c'est quand même une ressource vitale du ménage ! )

AH , C'EST BRILLANT .

(ne t'en fais pas serein , celui qui écrit ces lignes et t'accuse en a autant chez lui)

Alors , Madame, je vous en prie , je vous en conjure , lisez ces lignes ...[là -haut , dans le cadre]   (d'ailleurs , dans une fièvre inconsciemment auto destructrice ) certainement écrites à  votre intention , si belles , si sincères , si pragmatiques ..... et moi , humble mais éternel coupable , en aperçoit un autre en votre si honnête époux ......

..... mais de grâce Madame , intervenez ............   ne laissez plus divaguer ainsi ce pauvre mari qui vous appelle pourtant à  l'aide ...... MAIS QUE FAIT DONC LA POLICE ?

[Anton]

Ma dernière correction date de la semaine dernière. Rien depuis.
Bon... je n'ai pas avoué une incartade le jour où elle est partie tôt le matin en laissant la clé sur la table de nuit et où je suis rentré avant elle le soir.
On libère le cerveau qui est un peu gonflé, on glisse sur la savonnette et c'est l'accident domestique. Comme un certain économiste...
Sauf que j'étais seul. Et que je suis resté avec mon remords d'avoir cédé à  la facilité.
 
   

Et voilà  .... l'économie du remords ... c'est comme les "Critères de Maastricht" , jamais respectés et toujours en déficit ..... et ce n'est pas en laissant les clés du coffre-fort sur la table de nuit (légère , mais inutile variante de la commode , car le mâle frustré a le museau qui cherche ... ) qu'on va pouvoir éviter "le découvert" ....

[serein]

Anton,
Ma gardienne a lu ton message et en a bien ri.
Ma dernière correction date de la semaine dernière. Rien depuis.
Bon... je n'ai pas avoué une incartade le jour où elle est partie tôt le matin en laissant la clé sur la table de nuit et où je suis rentré avant elle le soir.
On libère le cerveau qui est un peu gonflé, on glisse sur la savonnette et c'est l'accident domestique. Comme un certain économiste...
Sauf que j'étais seul. Et que je suis resté avec mon remord d'avoir cédé à  la facilité.


Alors, grosse semaine de travail. Les frais et temps sont achevés, ceux du jour rentrés.
Une purge  !!! Deux jours entiers à  reconstituer mon emploi du temps sur trois mois avec quelques notes et autres papiers griffonnés.
Un enfer qui me fait me dire qu'une bonne séance de chauffe-la-fesse aurait servi à  me dégoûter définitivement (je l'espère) de ces errements !


Sinon, mes cages ont fini par arriver... vu le temps (presque trois mois) j'ai cru qu'elles sont arrivées à  pied depuis la Chine!!!


J'ai donc un "set" d'essayage :
- une cage avec verrou intégré, un peu longue, un peu large,
- deux cage du même diamètre (pas exactement ce que j'avais commandé), une courte et une longue et deux anneaux de 40 et 45 pour tester.


Moralité : le champ pou (ça change du pré puce) n'est pas adapté à  la cage. Il gonfle pour un oui, pour un nom, se retrousse partiellement ou s'étire de tout son long... pas pratique et anti-hygiénique.
De plus, les anneaux concentriques n'aident pas et étranglent le shar-peà¯.


Il reste donc à  trouver un système pour laisser le mont chauve une nuit au calme, sans sa tente pour qu'il puisse regarder les étoiles.
Pas facile.


Ceci étant, être en cage et ne pas avoir la clé est particulièrement reposant. Frustrant, souvent, quand je sens un petit corps tout chaud contre moi, quand je le vois se promener dans la chambre, quand je me colle à  lui et en ressens la chaleur...sauf Là€ !!!
Mais reposant. Un souci de moins. Enfin, le jour où j'aurai trouvé la cage idéale !

[Anton]

Le soir, j'ai plaidé ma cause devant une gardienne inflexible qui m'a condamné à  4 coups.

Bravo Madame . Ne cédez que rarement . Ce n'est pas une bonne idée .   
   


  ma douce Gardienne me voit sortir de la douche avec le seul anneau...


(Courroucée) : "Tu as retiré ta cage ?  "
Moi, penaud : "la clé était sur la commode et c'était plus pratique pour prendre ma douche et tenter une journée sans le col roulé !  "


Moralité... Ma Douce Gardienne avait les larmes aux yeux après m'avoir fessé et souhaiterait, sans se l'avouer, me voir débarrassé de cet improbable petit capuchon inesthétique et gênant.

Madame , ne vous désespérez pas . Cela est arrivé à  chacune d'entre vous que ce gentil "acte manqué" d'oublier la clé sur la commode ......
Bien sûr , c'est un dernier appel de la raison et de l'affection à  ce compagnon que l'on aime tant , pour lui dire à  ce moment :

- << Mais n'es-tu donc pas capable de te réformer tout seul , toi , l'homme que j'aime , et pourquoi tomber sans cesse dans tous ces travers que toi-même tu réprouves .... ?   Te faut-il donc vraiment cet ustensile et même ces coups ..... ?  >>

Oui Madame , il le faut . Cela n'ira pas autrement , et si cela est demandé par amour , peut-être cela sera t-il aussi donné par amour .... , (mais avec fermeté , pas de ramollissage en route , hein ?  )

"Muss es sein ? Muss es sein ? Ja , ja , es muss sein !"
(Cela doit-il être ? Cela doit-il être ? Oui , oui , cela doit être !)

Comptine viennoise du XVIIIe siècle .

[Anton]

Thérapie comportementale : comme je disais précédemment, le fantasme a duré entre le premier et le second coup...
Puis, après deux ou trois jours, le picotement ayant cessé, je me suis interrogé et au souhaité subir cette punition pour... je ne sais plus, mais je ne recommencerais pas !
Juste avant ou sur le moment, je ne dirais pas que la chose ne m'attirait pas.


Et puis, avant hier, j'avais eu une ébauche de barème : journée molle au bureau, 4 coups.
J'ai eu une demie-molle (je parle bien d'une demi-journée molle, difficile d'aborder une montagne).
Le soir, j'ai plaidé ma cause devant une gardienne inflexible qui m'a condamné à  4 coups.
Franchement, en montant vers la chambre, j'aimais moins. Puis j'ai vraiment appréhendé avant. et, je le confirme, je n'aime pas !
Mais il faut en passer par là  pour progresser... Les mots s'effacent. Les traces restent !
Un barème naît, avec horaire de couché, etc.. J'attends.
Je vais enfin progresser !!!
   

Cher serein ...

Merci . Merci de tout coeur d'écrire cela ....  car vraiment , et c'est un merci égoîste , j'ai été moi-même tant suspecté d'être un "flagellomane" (qui jouit sous les coups) ou une sorte de détraqué , qui est prêt à  n'importe quoi ....

T'entendre nous dire aussi que ces coups FONT MAL , que ce n'est nullement notre fantasme , car toute rêverie s'évanouit effectivement entre le premier et le deuxième coup , que lorsque l'on monte l'escalier on est pas à  l'aise du tout et que quand les coups tombent , on se dit qu'on est vraiment le dernier des c... de les avoir mérités ...

Mais après ... !    Après ... on commence à  sentir cette utilité , cette bienfaisante impression de ne pas subir cela pour rien , de pouvoir sortir de toutes ces bêtises ..... et dans pas très longtemps ....

On a trop "habitué" les Femmes à  être des "objets de désir" , mais , quand elles deviennent des Educatrices , quel bonheur ......

[serein]

Quelques nouvelles en vrac... Les derniers temps ont été "grave speed" (je prends des cours de djeun's).


Thérapie comportementale : comme je disais précédemment, le fantasme a duré entre le premier et le second coup...
Puis, après deux ou trois jours, le picotement ayant cessé, je me suis interrogé et au souhaité subir cette punition pour... je ne sais plus, mais je ne recommencerais pas !
Juste avant ou sur le moment, je ne dirais pas que la chose ne m'attirait pas.


Et puis, avant hier, j'avais eu une ébauche de barème : journée molle au bureau, 4 coups.
J'ai eu une demie-molle (je parle bien d'une demi-journée molle, difficile d'aborder une montagne).
Le soir, j'ai plaidé ma cause devant une gardienne inflexible qui m'a condamné à  4 coups.
Franchement, en montant vers la chambre, j'aimais moins. Puis j'ai vraiment appréhendé avant. et, je le confirme, je n'aime pas !
Mais il faut en passer par là  pour progresser... Les mots s'effacent. Les traces restent !
Un barème naît, avec horaire de couché, etc.. J'attends.
Je vais enfin progresser !!!


Cage :
Brusque accélération du temps. Ma commande chinoise ayant attendu une quinzaine de jours en Chine est arrivée en 24 heures une fois que l'acheminement est parti.
Un truc en métal avec une serrure intégrée qui me fait craindre d'aller consulter quelque serrurier à  l'oeil torve qui approcherait, goguenard, avec un fer à  souder pour me libérer !!!
Toujours est-il que l'on se rapproche doucement de la bonne taille. Quelque chose qui se porte plus près du corps, avec un tombé métallique digne de Paco Rabanne, un col raglan.


Ici, un intermède s'impose.

KH, si tu lis ces lignes, passe directement au prochain titre, la suite ne concerne que de vulgaires questions de plomberie...


Par contre, sur cette cage, les barreaux sont trop espacés et je me retrouve avec une extrusion de gland à  l'intromission.
Pire, le prépuce en position normale obère un entretien hygiénique adéquat. Et retroussé, il se retrouve comprimé entre deux anneaux et gonfle.
Bref, ce machin est très mal-pratique et j'envisage de l'éplucher à  l'économe pour m'en débarrasser, un soir devant la télé.


Douche (fin de l'intermède hors KH).
Ce matin, après une première nuit sans réveil douloureux (normal, il y a moins de place pour envisager une érection... mais on peut encore gagner quelques millimètres dans tous les sens), juste entrecoupé d'une miction nocturne, ma douce Gardienne me voit sortir de la douche avec le seul anneau...


(Courroucée) : "Tu as retiré ta cage ?  "
Moi, penaud : "la clé était sur la commode et c'était plus pratique pour prendre ma douche et tenter une journée sans le col roulé !  "


Moralité... Ma Douce Gardienne avait les larmes aux yeux après m'avoir fessé et souhaiterait, sans se l'avouer, me voir débarrassé de cet improbable petit capuchon inesthétique et gênant.
Mais elle progresse vers sa révélation, prend de l'assurance (y compris dans la vie quotidienne et extérieure), se libère.
J'en suis fier, reconnaissant et terriblement amoureux !


à  suivre.

[Anton]

Malheureusement , ce n'est pas de la provoc' , c'est ce que je pense vraiment ....