Renforcement de supériorité, chez ma gardienne, je ne suis pas certain.


Mais tiens, pas plus tard que ce matin !
Son intention n'était pas celle là  (elle pensait que j'allais déraper).
Toujours est-il que je l'ai caressée avec ma partie sensible jusqu'à  ce qu'elle soupire profondément d'extase... et que j'arrive à  me contrôler.
Certes, il a fallu un peu de temps pour que je puisse réintégrer la cage.
Elle en aurait presque été gênée et s'est inquiétée de la frustration que cela pouvait me donner.


Après analyse, je vois les choses ainsi :
- l'ursidé qui n'est pas sous contrôle et qui bascule dans l'onanisme compulsif secoue le cocotier, crache son morceau dans une jouissance de quelques courtes secondes et... recommence dès qu'il le peut parce que c'est bon.
Mais au fond, ça aurait un côté éminemment frustrant quand on a goûté à  autre chose !!!
On jouit, c'est court et on a hâte de recommencer.


- l'encagé dont la sexualité est donnée à  bail à  une gardienne, ce qui est mon cas, voit ainsi :


j'ai envie de jouir, très fort, surtout après une dizaine de jours de cage.
Ma femme m'agaçouille le farceur, me fait monter, c'est boooooooooonnnnnnn heuuuuhhhaaaa.
Plusieurs fois ou jours d'affilée, je grimpe en moins de temps qu'il en faut à  un animateur de téléréalité pour dire ce qu'il pense de la finalité du vivant (la réponse dudit est "hein ?").


Elle me frôle et je suis au dessus des nuages.
MAIS, on en vient à  hésiter de jouir !
Parce que c'est fugace, instantané, presque imperceptible et que, une fois les hormones retombées, ça ne laisse pas de trace (enfin, sauf sur la tête de lit).
Ahhhhhhhhhh pendant 30 secondes (avec des soubresauts durant plusieurs minutes, si si, après une période de disette, ça dure plus longtemps !).
Mais après
Après, il faut de nouveau attendre une dizaine de jours pour retrouver cet état extatique de l'éruption sensorielle !


En d'autres termes, j'espère qu'elle me chauffera de nouveau ce soir, mais je crois que j'aimerais qu'elle ne me fasse pas jouir, pour que je puisse revivre ça demain, puis dimanche et garder peut être mes cris de bête pour mardi... tiens, à  la Saint Valentin !!!

Citation de: Alex le Février 10, 2017, 05:35:18 AM
à  faire bander un centenaire 

ça me rappelle ce dialogue savoureux :


Sacha Guitry :
« Quand tu mourras on pourra inscrire sur ta tombe : A Yvonne, enfin froide »
[/size]
Yvonne PRINTEMPS :
[/size]« Et sur la tienne : A Sacha, enfin raide !"

Citation de: Anton le Février 10, 2017, 04:38:45 AM
aimer tous les blancs du monde ....... 

C'est beau, on dirait du Trump !

Cette interrogation sur la qualité de la tête de lit a bigrement fait rire ma gardienne (qui vient de passer devant la porte de mon bureau avec un oeil inquisiteur sur mon degré de concentration)...


Avant qu'elle ne me chatouille en glissant d'un air malicieux :
" je t'amuse, mais je te fais patienter. J'ai envie que ça soit un feu d'artifice.


Serein, équipé tête de lit bois, avec vernis cellulosique extrêmement résistant.

Citation de: Anton le Février 09, 2017, 04:11:36 AM
Sans vouloir me mêler de ce qui ne me regarde pas .... ne serait-ce pas plutôt à  ta Dame de savoir comment elle va gérer son couple désormais .....  ?   

Anton, mon Cher,
les choses ne sont pas forcément si simples !
Si je prends mon exemple à  moi que j'ai, ma gardienne est passée de "petite chose insignifiante" à  KH...
Plus précisément, son ex-mari la ratatinait comme une pomme tapée, ne lui laissant rien gérer, lui expliquant régulièrement tous ses défauts etc..
Elle tombe sur un timbré qui lui explique ses immenses qualités et s'en remet à  elle et à  son évidente suprématie.
C'est troublant et une femme peut se retrouver - un temps j'ai l'impression - hésitante à  habiter sa nouvelle situation.


D'où, peut-être, cette difficulté à  trouver sa place dans une relation gynarchique !

Mhum... L'écrit ne laissant que peu de place à  lʼintonation, je m'interroge :
Entendez-vous par là  que je me considère comme quelqu'un de bien, ce qui ne serait pas le cas ?
Ou que, au fond, je n'ai pas l'air si méchant ?


Pour apaiser les choses, outre ma difficulté à  travailler de manière continue, ce que j'ai trouvé intéressant dans la rédaction d'un barème, c'est de permettre à  ma femme d'exprimer en une fois des petites frustrations ou insatisfactions qu'elle n'aurait pas osé dire.


Bonne journée à  vous !

Citation de: ReineRouge le Février 07, 2017, 05:40:20 PM
Aaaah... oui, je vois...
Mais pendant que vous rêvez, Madame trime, Madame compte, Madame lange, cuisine, nettoie, repasse...
je songe, en vous lisant, à  mon ex-mari, que je trouvais régulièrement avachi dans un canapé (le canapé jaune)
il me donnait de moi-même une image épouvantable de méchante sorcière robotisée et rationnelle, incapable de s'extasier sur la beauté des choses, une virago irritable et stressée, juste bonne à  le critiquer et à  "éteindre" SES rêves.
Mais si d'aventure il n'avait pas trouvé ses vêtements lavés et repassés à  leur place, ou que le repas du soir n'était pas préparé, quelle affaire !
Alors, de grâce, FAITES UN EFFORT !
Dommage qu'il faille en arriver à  vous punir pour faire des choses normales.
ReineRouge (encore énervée)

J'ai condensé votre propos, Chère Reine, et vais m'empresser de corriger les choses (à  défaut d'être corrigé moi-même).


Mon épouse peut partir une semaine, elle trouvera la maison en état en rentrant (et sans que j'aie passé une semaine à  l'hôtel). J'ai vécu seul à  partir de 18 ans et ai une petite habitude de l'entretien d'une maison.
Mon épouse n'a pas à  s'occuper du ménage, ni du repassage. Je fais des lessives (moins, car nous n'avons pas les mêmes religions à  ce niveau...). Mais je les étends.


Je me pose rarement dans un canapé (sauf pour travailler sur ma tablette en lui massant les pieds), ne regarde que très peu la télé et n'écoute de la musique qu'en travaillant.


Disons que, dans mon propos, je me suis laissé entraîner dans une spirale antonienne d'autocritique, dessinant l'image d'un "monstre" que je ne suis pas.


Les critiques et demandes de mon épouse sont, au final, mesurées : préparer un repas par semaine et quelques points de ce genre.


Je travaille, je suis présent à  la maison et l'entretiens (sans compter les travaux presque tous les week-ends). Je suis attentif, la masse deux ou trois fois par mois (les pieds et tibias tous les matins) etc..


Non, mon véritable travers, celui qui m'agace le plus, c'est de ronchonner (surtout sur la route) et d'avoir des moments d'évasion au boulot.
Que l'on soit clair : mon niveau de facturation est dans le quart supérieur de ma société, mon revenu est très correct, mon travail est apprécié.


MAIS, j'alterne des périodes de pression considérable où je peux faire des semaines - voire des mois - important(e)s.
Et des journées molles ou demi-molles. Vidéos, informations, tout sauf du réel travail...


Et c'est là , principalement, que j'ai besoin de motivation.


Sinon, mon adorée a préféré se blottir contre moi, hier soir en me glissant : "je n'ai pas oublié... mais je préfère un câlin à  te fouetter. Je suis heureuse avec toi".
Comme quoi, je ne dois pas être un monstre !
Juste un être fantasque (ce qui fait une partie de son charme) et curieux de tout.


Illustration : un jour, ma gardienne parlait avec notre patron. Ils cherchaient le moyen de m'isoler pour rédiger des rapports. J'ai suggéré une cellule de moine, sans téléphone ni internet, avec juste mes dossiers.
Réponse du patron à  mon épouse-collègue : "mouhais... il suffirait qu'une mouche passe pour qu'il l'attrape et commence à  l'étudier : les pattes, la forme des ailes, etc.".
Un poète en somme.

J'ai une belle béhème qui dort dans le garage...
Je la prenais tous les jours pour aller bosser. Mais ça, c'était avant !
Nous la sortons quelquefois le week-end. Toujours avec une conduite coulée, ce qui ne pose pas de problème avec la cage.

Pas sur !
Rappelons nous que l'ursidé est loin et qu'il éprouve du plaisir par contumace. Il n'est pas à  demeure et reste dans une phase de séduction.


Par contre, l'ursidé domestique, celui qui a obtenu le Privilège des chaussons sur canapé, devient parfois un "parvenu".
Il est parvenu à  séduire sa Reine, il est dans la maison et laisse parfois retomber la bonne pression qu'il s'était lancée. Il est repu, satisfait et dans une maison qu'il considère vite comme sa tanière !


Alors, un peu de dressage, une chaîne ou une cage et hop !

Alex, arrête de rêver !
Cette créature est nulle en couture : ses boutons ne tiennent pas !
Et à  voir la tension du porte-jarretelle, elle a surement enfilé une grosse culotte en crin de cheval AVANT ce délicieux accessoire de lingerie.


Non, franchement, revois tes pensées !

Alors quoi ??


Mais tout le reste, boudiou !


J'adore le film "Alexandre le bienheureux", avec Noiret.
à  un moment, mon amour de Gardienne a entendu une réplique fameuse "tu as déjà  vu une fleur de carotte ? C'est beau une fleur de carotte" et a lâché : "le même... j'ai le même à  la maison !".


Pour la même raison que l'on se retrouve affublé d'une cage : on a du plaisir à  portée de main (sic !), alors pourquoi attendre demain ?
Pourquoi vider la poubelle de verre, alors qu'il pleut, qu'il fait froid et que, en y allant, on pourra prendre la poubelle ET un carton en plus...


Pourquoi vider la valide dès qu'on est rentré de voyage, alors qu'on peut aussi bien le faire le lendemain et s'enlacer tranquillement ?


Pourquoi me préparer vite le matin, alors que je peux admirer le délicieux fessier de ma Gardienne lors qu'elle se sèche les cheveux ?


Pourquoi ne pas s'émerveiller du monde, de la nature ? Rester à  contempler son sourire, le ciel, les nuages... une FLEUR DE CAROTTE ?


Il y a une partie de moi que ça agace de voir l'autre agir comme ça (peut-être la fameuse part féminine de chaque homme).
MAIS cette part féminine n'arrive pas à  motiver l'autre moitié de feignasse rêveuse qui se prélasse dans l'interrogation de savoir pourquoi l'homme est sur la terre, si ce n'est pour s'émerveiller !
Mais cette part féminine n'arrive pas à  corriger d'importance le cul du véhicule terrestre d'un rêveur qui aime pourtant bien voir les choses se réaliser.


Je ne vais pas retourner voir un psy, il me dira que j'ai de la chance et que je peux être fier de ce que je suis !
Par contre, ma gardienne va trouver des formules très efficaces pour me faire progresser !!!


C'est vrai que c'est con tout ça 

Avis de tempête !
Ce matin, bêtises traditionnelles du Serein et "provocations" stupides.
Portable aux toilettes (un petit Mahjong, ça me détend). Temps d'hier pas rentrés.
Et ma Gardienne qui me glisse dans la voiture :
- mon barème, je ne m'en souviens même pas...
- tu l'as sur ton téléphone, répondit l'imbécile.
- ah oui... Tiens, les temps, c'est un mi. Les râleries, c'est bien, il y en a moins. Journée demi-molle, c'est Ré... tu en as eu une la semaine dernière (on parle de demi-journée sans beaucoup de travail au bureau, pas d'autre chose).
- Heu, même plusieurs [size=78%], répondit le fanfaron crétin...[/size]
- Tu m'énerves ! Tu me testes pour voir si je vais sévir, et tu ne bouges pas. Tu sais que je n'aime pas, mais là , ce soir...
- Ce soir, tu seras calmée et tu auras oublié !
- Où je serai énervée de devoir le faire.
- Et tu fouetteras plus fort ?
- Oui ! Je t'aime, mais tu m'énerves.

Une cage en métal chinoise, mais avec une petite capuche bien française qui nécessite un entretien régulier !

En tous cas, Reine Rouge est particulièrement volubile et exaltée aujourd'hui !


Pas de nouvelle dans son journal, mais une telle joie qui fleurit dans chaque intervention doit bien avoir un lien avec un ursidé mélanésien (je le vois bien, l'ursidé, tout nu, sa coupe de Crémant à  la main et un collier de fleur pour cacher son rosissement !

Je vais revenir sur un argument qui avait été avancé (je ne sais plus si c'était Titou ou Minimoi) : la cage est un objet sexuel...


C'est important, car cette considération conditionne - pour partie - son acceptation dans le couple.
Pour l'illustrer, je prendrai mon exemple  , parce que je le connais un peu .


Temps 1 : mon ex-femme et moi avions des relations sexuelles épisodiques et le sujet était régulièrement source de tension (en fait révélatrices d'autres choses que nous ne voyions pas). JAMAIS la cage aurait été acceptée (peut-être même par moi), puisqu'elle aurait été considérée comme un objet sexuel qui aurait centré la relation sur un différend sexuel.
Bref, le différend aurait été mis en avant et aurait pris le dessus sur tout le reste.


Temps 2 : ma gardienne et moi avons une vie sexuelle épanouissante, variée (sans être extrême), dense (sans être obsédante).
Or, par peur du manque, par angoisse du passé, par peur de l'avenir, par habitude, j'ai repris de coupables habitudes. Au point de ne plus le supporter et d'en parler à  mon amoureuse.
Et là , en moins d'une semaine (!!!) j'étais encagé. Avec un régime qui va croissant.


Parce que la cage n'est pas un objet sexuel, mais au contraire, quelque chose qui préserve le sexe, rend plus sensible (houlà là , sensible, trèèèèèèèès sensible de là ), attentif et permet à  mon amoureuse de me laisser vaquer sans plus se poser de question.
Elle est là  et gère ma sexualité parce que je le lui ai proposé / demandé.


Au final, je pense que considérer que la cage peut être un remède est relatif et ne peut remplacer certaines relations affective.
Mais elle n'est pas le palliatif qui va tout réparer !
La cage ne peut pas remplacer le dialogue (sauf à  se retrouver dans une oubliette).


Donc, commencez pas retrouver l'intimité que vous aviez oubliée, la tendresse, les câlins, la proximité, la complicité et tout ce qui fait le bonheur d'être deux.
Retrouvez-vous !


Tiens, je pense que l'on devrait s'imposer, dans un couple, un week-end sans écran par trimestre : pas de téléphone, de télé ou autre. Rien que l'un et l'autre !


Enfin, tout ceci n'est qu'un avis personnel au regard d'une expérience et n'a pas valeur de référence !
Courage et persévérance, en tous cas !

Bel échange, hier (dimanche).
Madame devait emmener son "petit" au foot et me laisser seul à  la maison.
Et c'est le grand qui a assuré les transports, pendant que nous allions faire quelques courses.


Dans la voiture, je glisse à  mon Ange-Gardienne :
- tu vois, l'année dernière, j'aurais été un peu frustré. On a pas fait l'amour depuis quelques jours, et j'aurais profité de ton absence pour un peu de tirlipotage !
- Je vois, tu te réjouissais de mes absences ? (renfrognée)
- mais non, bien au contraire ! Je compensais la tristesse de ton absence.


Elle a éclaté de rire (ouf).




Toujours est-il que Madame devient de plus en plus exigeante sur le port de la cage !
Au point que ce matin, alors que je demandais une libération le temps de ma douche, j'ai eu le droit à  un "tu n'as pas déjà  été libéré hier ?"... !!! 


Alors, dans la voiture, en partant vers le bureau, j'ai tenté deux questions (mais la seconde qui devait concerner le délai n'a pas été utile) :
- as-tu fixé une date pour ma prochaine libération ?
- non, c'est au "feeling". Et puis ça se mérite. Déjà , ce soir, une heure - voire plus - de sport !


Groumf
C'est un coup d'état institutionnel comme disait... qui déjà  ?

Cher Minimoi,
Je ne sais pas si je suis la bonne personne pour vous répondre...


Dans mon ancienne vie, ma femme ne désirait de relation intime qu'une fois par mois, voire moins. J'ai consulté, pour d'autres raisons, une psy qui m'a rapidement montré que le problème n°1 était ma relation conjugale.
Suivant une tradition familiale, ma femme m'avait même conseillé de prendre une maitresse pour aller faire "mes saloperies".
Nous avons fini par nous rendre compte que nous n'avions que trop peu en commun en dehors des enfants.


Dans votre cas, je ne sais pas si la cage est une solution (du moins, pour le moment).
ne devriez-vous pas consulter un conseiller quelconque ? Faire le bilan,  voire ce qui vous maintient ensemble ?
Si la fatigue n'est simplement pas en train de prendre le dessus sur tout le reste, alors que deux êtres s'aiment ?
Faire un bilan, définir les priorité, trier l'habitude, la tendresse et l'amour.


ça semble facile à  dire, mais c'est très douloureux, je le sais et n'en parle pas à  la légère.
D'un autre côté, je pense qu'une vie passée sur des faux-semblants, de l'habitude et autres relations qui ne sont pas de l'attachement bienveillant et amoureux, ça peut devenir invivable pour l'un, l'autre ou les deux.


que pensez-vous de vous poser, d'échanger avec un professionnel compétent, détaché et objectif ? Ce qui n'empêche pas de poursuivre une vie normale avec votre chère compagne ?


Courage ! Nous sommes là  (même si ce n'est que virtuellement).

Sylvestre,
Je vais être honnête, je n'aime pas le terme de "grande musique".
Pour moi, il y a musique et... et ce qui n'en n'est pas (je pense à  certaines soupes commerciales déversées comme de l'huile de friture rance figée dans les esgourdes des gamins).
Pour le reste, c'est comme un bain chaud : on y entre doucement, on s'y installe, on se laisse bercer, on flotte dans le bien être. Peu importe ce que l'on écoute !


Après, j'ai effectivement oublié le plein air, les randos en montagne ou ailleurs, le vélo, le ski de fond, le kayak de mer, les trucs qui font un peu mal au corps mais bien à  l'âme d'aller à  la rencontre de la nature.


Quant au bricolage... ça fait 10 ans que je travaille dans ma maison. Et j'ai attaqué la rénovation d'une autre en Bretagne !


Ne nous enfermons pas dans des catégories... les cage suffisent !!!

Qu'il est mignon, le petit panda qui joue dans la neige, un peu pataud... On en oublierait qu'il s'agit d'un ursidé, avec ses petites taches sur les yeux et son gros cigare qui fume !!!


Comme quoi, un Anton encagé, ça reste un Anton !!!


Si j'ai bien lu, Môcieur Anton persiste à  penser que le blanc c'est nul (ce qui le différencie de Trump) mais se croit finaud quand il déclare à  sa Dame "c'est bien ce que tu as fait dans la cuisine"...
On dirait un conseiller en comm de Fil### !
Pataud, maladroit et les griffes dans la gamelle de bambou !


Camarade Anton, tu aurais dû être rééduqué dans un camp ! La schlague ne suffit pas !
Il va falloir des injections de Fine's 500mg trois fois par jour en intraveineuse !


Maintenant, Camarade Anton, essaye de répéter après moi :
"Claire, ma Chérie, je dois convenir que tu avais raison" [Je sais, c'est dur, mais tu dois essayer]
"Durant des années, j'ai trouvé que le blanc n'était pas beau, mais je dois convenir que je me suis peut-être trompé"
Si tu veux garder la tête haute, tu peux tenter la formule 43 du Rédempté "Comme quoi, on peut évoluer aussi dans ses goûts ou choix esthétiques".


Camarade Anton, tu vas réfléchir durant 22 jours dans ta cage et tu feras une confession publique de tes errements décadents et bourgeois !


Serein, Commissaire Politique, Section francilienne.

Ah non !
La méditation est la recherche de la vacuité de l'Esprit.
Elle ne peut être envisagée dans un vêtement qui martyrise le corps, puisque le corps prendra inévitablement le dessus sur la libération de l'esprit.
Cette circonstance particulière conduira à  la rumination, plus qu'à  la méditation.
Bref, on retombe dans la mystique de la rédemption par la souffrance, alors que nous parlons de thérapie comportementale.
Anton deviendrait un saint et je ne saurais plus à  quels seins me vouer.
Si, ceux de ma gardienne, bien sur.


Certes, la méditation peut aider à  transcender la souffrance corporelle, mais après plusieurs mois ou années de pratique méditative.
Et ça, seuls quelques Sissy en ont la capacité, après plusieurs semaines de sagesse et une élévation de l'esprit sur le dos de Marcel.


Bref, laissons Anton à  sa musique et à  son gros cigare !


Et si quelqu'un peut m'expliquer ce que j'ai écrit plus haut...