Edouard et une nouvelle amante sous clé !

Démarré par FKH71, Janvier 07, 2014, 04:33:56 PM

bird, Raphencage et 51 Invités sur ce sujet

Philchaste

Bravo Françoise! tout comme mes compagnons, j'adore votre style, ça parait tellement réel et vrai....c'est là  tout le pb des films ou livres érotiques/porno, ça n'est pas assimilable à  la vraie vie..je crois que vous êtes bien parti pour concurrencer "les 50 nuances de Grey" qui font un carton en ce moment....meilleures ventes Europe...
Merci pour vos conseils de patience, je pense que vous avez raison, il ne faut pas imposer sa vision, mais attendre que chacun dans le couple fasse son chemin, sans compter que la partie déjà  accomplie nous ravie complètement à  tous les deux et que le grand gagnant est notre couple.
J'ai une Kh assez lucide effectivement pour décider d'elle-même, et c'est super, mais elle n'a pas votre maturité intellectuelle pour faire bouger les limites de ses barrières culturelles et je me dis qu'en évoquant sous forme de challenges à  m'imposer mes propres limités, ça peut contribuer à  lui donner confiance et à  baisser ses défenses, à  laisser passer ses fantasmes et à  s'exprimer, la cage ne donne t-elle pas toutes possibilités à  la Kh pour s'exprimer sans arrière pensée et sans avoir à  penser à  son encagé puisqu'il dépend d'elle? Amitiés et à  vous lire....

Liocked24/7

Magnifique suite chère Françoise ! Sophie est le "détonateur" de votre épanouissement sexuel (à  trois? impatient de le découvrir!) son attitude gourmande et débridée fait merveille ... Mais si vous contrôlez ses autorisations de pénétration en détenant sa clé, elle peut tout de meme accéder au plaisir malgré ce cadenas aux anneaux ... comment gérez vous tout ça ?? édouard sera t il autorisé à  participer "activement" ou bien le numbing ou strapon entrera dans le jeu ?? Vivement la suite numero 3 :-))  ...
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

hommechaste

J'adore le climat qui règne dans votre récit. On y retrouve à  la fois ce sentiment de découverte et de nouveauté que nous connaissons tous ... Il y a aussi un petit parfum de transgression et d'interdit qui suscite chez et chez d'autres j'en suis sur une certaine excitation.

Continuez donc à  nous ravir à  nous charmer et nous faire rêver.





FKH71

Face au bug informatique dont a été victime ce forum, j'ai posté la suite de nos vacances de Noel avec Sophie. Je réitère mon envoi, car je ne sais s'il a pu être récupéré. Mes chers Liocked et hommechaste vous serez, je l'espère, heureux de poursuivre mon récit ! Voici donc la suite :

Comment allai-je gérer deux amants sous clé ?

Dans ce salon, en fin d?après midi nous étions tous trois, Sophie, Edouard et moi. J?étais la seule habillée. Edouard se promenait nu, arborant sa cage. Sophie nue également restait debout au coin du feu et nous pouvions lorgner le cadenas qui pendait à  son entrejambes. Elle nous avait parlé de ses penchants pour la soumission et la tension était palpable, j?étais déconcertée. Sophie me désirait, Edouard était visiblement consentant et moi, même si je me remémorais, avec appétit,  les bons instants passés avec Sophie l?été dernier,   je ne savais quoi faire ! J?avais besoin de réfléchir.
Je décidai d?une diversion en disant : «  la maison est en foutoir, débarrassons la table et nous aviserons après »
Edouard me répondit : «  laisse ma chérie, je m?en charge, veux-tu que je te fasse couler un bain ? »
Sophie ajouta : «  Quelle bonne idée ! Cela va te détendre. J?aiderai Edouard à  ranger, va ma belle »
Je savais qu?Edouard et Sophie discuteraient pendant ce temps, la situation m?échappait encore davantage et sans réfléchir je répondis : «  eh bien puisque tu le proposes tu vas me faire couler mon bain et Edouard rangera ! »
Sophie ne dit mot et se précipita vers l?escalier. Je vis au sourire d?Edouard qu?il savait ce qui suivrait. Je regardais Sophie se diriger vers l?escalier et fixait le cadenas qui se balançait. Le trouble m?envahissait déjà  ! Je laissais Sophie me précéder et montait directement derrière elle. Le cadenas étirait ses lèvres en se balançant. Je suis à  peu près certaine qu?elle se déhanchait plus que de nécessaire pour provoquer ce balancement !
Une fois rendues dans la salle de bain, Sophie fit couler le bain et me proposa de me déshabiller. Elle dégrafa lentement mon chemisier effleurant les clés qui pendaient entre mes seins, elle me retira doucement mon soutien gorge en effleurant mes seins. Mes tétons dardaient déjà  ! Elle ne put s?empêcher de dire : « j?en ai tellement rêvé et toi, ma salope, tu ne peux pas nier le contraire, tu en as envie ! » et d?un seul coup elle engloutit mon téton droit dans sa bouche. Sa langue le titillait, ses dents se refermaient pour l?étirer, c?était délicieux ! Nos bouches se rejoignirent dans un profond et langoureux baiser. Elle entreprit de terminer mon déshabillage en ôtant mon jean. J?étais à  sa merci, vulnérable ! Mes mains se promenaient sur sa chatte et jouaient tantôt avec l?anneau du clitoris, tantôt avec le cadenas. Elle me dit « tire, allonge mes lèvres, n?aies pas peur de me faire mal, j?aime ça ! »  Ma bouche s?approcha de ses tétons qu?elle avait percés. Mes dents se refermèrent sur un des anneaux et je sentis Sophie reculer pour que la tension soit plus forte. Ses doigts ne restaient pas en reste et labouraient mon clitoris. Une jouissance fulgurante me fit éclater. Sophie recula pour mieux m?admirer pendant ces instants divins. Reprenant mes esprits je lui dis : «  Merci ! C?était super ! Mais toi tu n?as pas joui ! » Elle me répondit : «  cela fait partie du contrat, je t?ai donné tout pouvoir sur ma sexualité, je jouirai quand tu le décideras et le voudras. Maintenant prend ton bain, je vais te laver ! »
Je plongeai dans l?eau bienfaitrice et fermais les yeux. Sophie s?installa au bord de la baignoire. J?entendis le cadenas heurter le carrelage et sourit. Sophie me dit : « que tu es belle ! Repose toi récupère, je m?occupe de tout ! » Je m?abandonnais à  la tiédeur de l?eau.
Au bout d?un moment Sophie me dit : «  Veux- tu que je te lave ? » «  Si tu veux »  lui répondis-je. Elle saisit le gant de toilette et le passa dans les moindres recoins de la peau. Elle eu la délicatesse de ne pas chercher à  aller plus loin. C?était bon de s?abandonner ainsi à  ses caresses délicates. Au bout d?un moment elle me dit : «  C?est le jour de Noel et si nous faisions une surprise à  Edouard ? » Je répondis «  Que veux-tu dire ? » J?ai vu que tu as gardé ta toison, ce n?est pas beau, ni agréable quand je te passe la langue. Je me mets à  la place d?Edouard qui doit te satisfaire avec sa bouche, ça ne doit vraiment pas être agréable ! Laisse toi faire je vais te l?ôter » je tentais de l?en dissuader en déclarant : «  Mais, tu sais qu?Edouard ne veux pas, il veut que je garde mes poils ! » «  C?est qu?il ne t?a jamais vu sans ! » répliqua-t-elle, «  tu verras, ça va l?exciter à  mort ! Et lorsqu?il te lèchera, il t?en remerciera. De toute façon, si tu n?aimes pas ou si lui n?aime pas, ça repoussera. Regarde moi, passe ta main, vois comme c?est doux, compare avec toi » C?est vrai que c?était doux, c?est vrai que je voyais parfois Edouard retirer un poil de sa bouche quand il me léchait et puis Sophie ne m?avait-elle pas dit à  l?instant qu?elle n?aimait pas. Toutes ces raisons me poussèrent à  accepter. Je lui dis : «  Va chercher le rasoir d?Edouard dans l?armoire à  pharmacie au dessus du lavabo. » Sophie en profita pour prendre la bombe de crème à  raser. Comme deux petites filles en train de faire des bêtises je lui dis : « Ferme la porte à  clef, il ne s?agirait pas qu?Edouard arrive ! »  Et je me mis debout dans la baignoire.
Sophie s?approcha, répandit généreusement de la mousse dans sa main  et commença à  en passer partout sur mon entrejambe. Elle me massait. Un peu de mousse mentholée me pénétra irradiant mes muqueuses d?une chaleur au départ très agréable que les caresses prodiguées par Sophie ne faisaient qu?amplifier. Sophie restait imperturbable, mon bassin allait au devant de ses mains et très vite un deuxième orgasme fulgurant me submergea.
Sophie le conclut  sur ces mots : « Eh ben toi t?es vraiment insatiable ! » J?aime ce côté direct de Sophie qui ne s?embarrasse pas de conventions ! «  Tu vois rajouta-t-elle on peut aimer mélanger la douleur et le plaisir ! » «  Salope tu as fait exprès de prendre la mousse mentholée ? » «  Oh non » ajouta-t-elle avec un grand sourire de connivence !
« Tu me le paieras » ajoutai-je
« Je ne demande que cela » répondit-elle moqueuse «  mais il faudra que ça soit fort ! »
Je ne savais pas ce qu?elle voulait insinuer. L?avenir nous le dira.
« Et si nous reprenions ce rasage »
J?écartais les jambes en signe d?acquiescement.
« Allonge-toi sur le tapis de bain »
Je m?exécutais, Sophie s?installa entre mes jambes et commença à  raser ma toison. Le passage du rasoir sur mes lèvres intimes était des plus agréables … ! Sophie se retourna et sans que je m?en aperçoive nous nous retrouvâmes tête bêche ! Son cadenas se balançait au dessus de ma bouche. La vue de ses fesses rondes mais fermes, sa vulve cadenassée si près de ma bouche me troublèrent à  nouveau. J?attrapais le cadenas avec mes dents et lui dis difficilement : « Chi tu me coupes, che te l?arrache ! » Elle partit d?un gros éclat de rire.
Sophie s?activait délicatement sur mes chairs. Elle me demanda de me retourner pour terminer entre les fesses. Elle dit : «  Que ces trésors cachés sont tentants ! »
«  Je lui répondis, nous verrons plus tard, là  je n?en peux plus ! »
«  Comme tu veux »  me dit-elle, «  ça y est j?ai presque terminé !  Passe ta main et regarde comme c?est doux ! Je vais mettre un peu d?après rasage »
«  Tu es folle ! ça va me bruler ! »  Répondis-je
«  Oui, un peu bien sûr, mais tu verras c?est bon »
«  Non non, je ne veux rien voir du tout, c?est très bien comme cela »
«  Dommage, mais bon puisque c?est ce que tu souhaites »
Sophie semblait déçue. Elle voulait, probablement, me faire découvrir de nouvelles sensations, mais pour moi ce n?était plus le moment.
Je commençais à  enfiler mon peignoir lorsqu?elle me dit : «  Tu ne vas pas cacher le cadeau que tu fais à  Edouard »
Je répondis avec un large sourire «  Mais un cadeau, ça a besoin d?un bel emballage ! »
« Oui mais Edouard et moi sommes à  poil, tu ne vas pas te cacher »
«  A poil en ce qui te concerne, l?expression ne me semble pas des plus appropriées compte tenu que tu n?en n?as pas, il vaudrait mieux dire : nue comme un vers ! » répondis-je en plaisantant
« Allez s?il te plait laisse toi aller, quitte ta pudeur, descends à  poil ! »
«  Non, fais moi confiance, je le connais mon Edouard. Tu verras son regard qui cherchera à  apercevoir mon entrejambe, laisse moi le faire mariner en me dévoilant progressivement, en laissant peu à  peu les pans du peignoir s?ouvrir. Je vais le faire monter en pression ! Et là  surprise !..Eh puis, il faut bien que je marque une différence avec vous. Ne dois-je pas être l?objet de tous vos désirs? Alors gardons un peu de mystère»
Ce dernier argument a porté et je vis Sophie m?aider à  enfiler le dit peignoir.

Edouard, était installé au coin de la cheminée, il avait tout rangé. Il nous regarda descendre l?escalier et dis : «  Vous en avez mis un temps, vous vous êtes encore raconté des tas d?histoire de bonnes femmes ! »
Sophie répliqua : «  des remontrances ? Et puis c?est quoi ce ton moqueur ? »
Edouard fut interloqué par l?aplomb de Sophie. Il s?excusa en disant : « Je ne disais rien de mal, je plaisantais »
«  Ah bon tu crois que nous traiter de bonnes femmes c?est insignifiant ? »
«  Bien sûr, il n?y a aucune méchanceté ou moquerie la dedans » répondis Edouard
«  Sophie me regarda et dit : «  Et toi Françoise tu trouves qu?Edouard ne te manque pas de respect lorsqu?il te traite de bonne femme ! ça mérite des excuses !»
Quel jeu jouait Sophie ? La conversation pouvait déraper. Edouard pourrait le prendre mal et nos vacances gâchées s?il se mettait à  prendre la mouche et il était hors de question que Sophie s?immisce entre nous. Je décidais de calmer le jeu. « Non je sais qu?Edouard ne pense pas à  mal, n?est-ce pas mon Chéri ? »
« Bien évidemment » s?empressa-t-il de répondre.
« Néanmoins, il est vrai que ce propos en portant à  équivoque aurait pu être mal interprété »
«  Oui »  me coupa Sophie « ça mérite des excuses ! Viens te mettre à  genoux devant ta maîtresse et demande pardon ! »
A ma grande surprise, je vis Edouard se prosterner à  mes pieds en me demandant pardon ! J?en étais gênée.
Sophie rajouta «  Tu vois Françoise, quand on exige, on obtient.. prends en de la graine ! » et Sophie dérida l?ambiance en disant : «  tout ça m?a donné soif, c?est ma tournée ! Que voulez vous boire, je vous sers pour me faire pardonner ! »
Sophie s?éclipsa dans la cuisine pour préparer les boissons. Je vis Edouard la regarder s?éloigner en fixant le cadenas qui se balançait en exerçant sur lui la même réelle fascination  qu?il avait sur moi. Il faudra que j?en discute avec lui, pensai-je. Puisque Sophie nous laissait seuls quelques instants, j?en aurais peut-être l?occasion.
Mais, c?est Edouard qui enchaina : « Ce fut bon ? » me dit-il
« Oh oui » lui répondis-je «  On ne va pas s?ennuyer pendant ces vacances ! »
Je vis à  l?air goguenard d?Edouard qu?il partageait mon sentiment.
Effectivement, la suite me donnera raison !

Bien à  vous,
Françoise

FKH71

Mon cher Liocked

Que de compliments !
N?en soyez pas avar vis-à -vis de votre chère et tendre !

Pourquoi ne mettre que les encagés dans cette catégorie des pionniers ! Ce n?est pas acceptable pour les KH, car sans nous, vous ne pourriez pas vous engager sur cette voie ! J?ose espérer qu?il ne s?agit que d?une simple omission de votre part ! Doit-on pour autant faire preuve de prosélytisme ? Cette question rejoint celle de la discussion « qui est au courant » et sur laquelle je me suis exprimée.

La démarche destructrice pour le couple est avant tout la routine qui s?installe sournoisement. On n?a plus besoin de se parler, de se surprendre, de se séduire et trop souvent on va voir ailleurs si « l?herbe est plus verte ! » Hélas, on sait que les mirages n?ont qu?un temps !
La chasteté est une vraie thérapie de couple: elle oblige à  se parler, à  se surprendre, à  séduire (n?est-ce pas Messieurs !)
Mais il est vrai que, comme un bon film, on ne peut préconiser que d?aller le voir sans le raconter !
Puisse cette nouvelle année permettre à  de nombreuses KH de nous rejoindre.
Quand à  la suite de nos vacances de Noel, vous me donnez une idée ! Vous vous dîtes résigné à  attendre puisque c'est votre lot quotidien. Je vous livrerai donc la suite( car j'en ai déjà  rédigé une partie)  quand j'en éprouverai la nécessité. C'est à  dire quand un certain nombre d'entre vous me l'auront fait comprendre.
Soyez donc patient, c'est une vertu qu'il nous faut savoir entretenir !
Bien à  vous
Françoise



Liocked24/7

Chère Françoise, chacune de vos "apparitions" met le feu aux poudres !!
Et ravit un public conquis d'avance ! (nous les encagés, frustrés et excités ;-))
Ce récit est une perle ! Style fluide et enjoué, sujet "transcendant" ;-))
Please, j'attends la suite moi aussi ...
et dans nos cages, on s'habitue à  devoir attendre !

Ps: votre rappel dans un de vos derniers messages: tout a fait clair au sujet de la passation de contrôle H/F (à  faire lire et relire aux futures KH). également le paradoxe:  fidélité et engagement dans le couple (voulus socialement, mais aussi et surtout sentimentalement ) qui côtoient la tendance moderne à  la libération sexuelle. (une impasse vécue)

Je "nous" considère (les encagés) comme des pionniers ayant été assez lucides pour avoir su convertir une contrainte "légère" (frustration et passation de pouvoir) en un bénéfice immense pour les DEUX membres du couple.
Un vrai et premier "progrès moral" ?
(je le pense car je trouve à  present pitoyable l'exemple d' amis menés par leur seule libido, destructrice de leur couple.
Mais comme vous le rappelez, chère Françoise, nos exemples ne peuvent valoir conseil ! La démarche doit venir d'une réflexion "en interne"
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

FKH71

Merci mon cher Philchaste, vos compliments me vont droit au cœur!
La suite a été une expérience inoubliable pour nous trois faite de complicité, et de progrès dans notre relation. J'espère avoir le temps de vous la raconter. Edouard souhaiterait que comme Sophie je me fasse faire un piercing aux grandes lèvres, j'hésite..mais ne lui dois-je pas cela ? Qu'en pensez-vous ?
Mille vœux pour 2014 !
Françoise

Philchaste

Bravo!! super!! la suite! la suite! la suite!

FKH71

Mes chers amis,
J?espère que vous avez passé de bonnes fêtes  et pris plein de bonnes résolutions pour cette nouvelle année.
Pour notre part, Edouard et moi avons eu la joie d?accueillir Sophie entre Noel et le jour de l?an. Nous avons beaucoup fêté l?enterrement de 2013 et espérons beaucoup de 2014 !
Edouard est resté sous cage tout le mois de Novembre jusqu?au 5 décembre, en répression de ses plaisirs solitaires… Je l?ai obligé à  me raconter ses fantasmes et à  m?honorer de sa bouche quasiment chaque soir. Autant vous dire qu?il était surexcité et anticipait jusqu?à  mes moindres désirs. Nous avons vécu une harmonie rare.
Le 5 décembre, alors que nous étions au lit Edouard me demanda : «  As-tu des nouvelles de Sophie, il y a bien longtemps que nous ne l?avons vu ? »
Il faut vous dire que Sophie est une amie de longue date, avec qui j?ai connu, l?été dernier,  ma première et seule expérience homosexuelle. Pour autant, il m?arrive souvent d?y penser notamment lorsqu?Edouard me prodigue ses nombreuses caresses. 
Je lui répondais : «  Que veux-tu dire ? Je te vois venir petit coquin !»
« Tu sais que vous m?avez terriblement excité l?été dernier, tu ne voudrais pas la réinviter ?  Elle est peut-être libre à  Noel, on a 8 jours de vacances, nous serons seuls, peut-être voudrait-elle venir ? »
Pour faire lanciner Edouard, je jouais l?indifférence : «  Tu crois, j?avais prévu que nous restions seuls justement, sans contrainte, pour être à  nous deux ! »
«  Bien sûr, si tu crois cela préférable, »  ajouta-t-il «  mais elle est sympa et pas gênante »
« Oui bien sûr, et puis elle est au courant pour ta cage, ça ne devrait rien changer à  nos jeux »
« Oh ! enfin, . ; euh… » déclara â€"t-il gêné
J?en profitais pour enfoncer le clou : «  si on l?invite, cela ne changera rien à  nos habitudes, tu es bien d?accord ? »
« Que veux-tu dire ? »
«  Eh bien, tu seras toujours aussi serviable avec moi , toujours aussi docile ? »
«  Oh ça bien sûr ! Tu peux compter sur moi »
« J?ai ta parole ? »
« Oui je te le promets »
Edouard m?avoua plus tard  qu?en acceptant, il  espérait une libération immédiate !
Ce ne fut pas le cas ! Au contraire, forte de mes lectures sur ce site, je fis un rapide calcul 3 ou 4 jours de « réaprivoisement, si Sophie arrivait aux alentours du 24, il fallait vider Edouard aux alentours du 20. Je lui accorderai cette satisfaction mais donc quand je le déciderai.
Je relançais la conversation : «  Bien, veux-tu que je l?appelle demain, nous verrons si elle peut venir !
« Si tu veux »
«  Cette conversation m?a remémoré d?excellents souvenirs, et une douce moiteur m?envahit, viens me rafraîchir ! »
Edouard, probablement excité , lui aussi par les futurs instants que nous passerions avec Sophie,  ne se fit pas prier, et se précipita entre mes jambes que j?avais largement écartées.
Dès le lendemain, j?appelais Sophie sur son portable.
« Allo Sophie ? Ici Françoise, Comment vas-tu ? »
Après quelques phrases d?usage, je lui déclarai : « Tu dais Edouard et moi avons eu une idée, pourquoi ne viendrais-tu pas passer quelques jours de vacances à  la maison entre Noel et le jour de l?an., Nous sommes seuls, la chambre de notre fils est libre et tu serais réellement la bienvenue. Edouard et moi serons tous les deux en vacances. Alors nous pourrons passer des jours merveilleux sans contrainte, qu?en penses-tu ? »
«  Eh ben ça c?est super ! Les amis, ils sont toujours présents quand il faut ! Imagine toi que je devais partir aux Maldives avec mon mec, mais il m?a largué la semaine dernière. Du coup je suis libre. J?ai juste promis à  Maman de réveillonner avec elle le 24 au soir, je pourrais arriver dans la journée du 25. »
Tu nous raconteras tes mésaventures, le 25 c?est parfait tu nous rappelleras sur la route pour nous dire si nous t?attendons pour déjeuner ! »
« Pas la peine je serai là  pour 13 heures, ça te va ? »
«  On est ravi, on va passer de bonnes vacances, au 25 donc ! je t?embrasse très fort ! »
« Moi aussi, j?ai hâte de te retrouver »
Ce « te retrouver » sonna dans mon oreille et réveilla en moi des désirs inavouables. L?affaire était lancée. C?est moi en priorité qu?elle voulait revoir… !
Le soir même, alors qu?Edouard rentrait du travail et qu?il avait à  peine refermé la porte d?entrée, je lui annonçai la venue de Sophie !

Sophie, comme convenu est arrivée le 25 pour déjeuner, elle avait apporté des cadeaux pour chacun de nous et après un délicieux déjeuner préparé par Edouard nous nous installâmes au coin du feu. Sophie nous parla de sa dernière conquête et de sa soudaine rupture, Elle avait découvert grâce à  lui les soirées fétichistes parisienne. Elle avait apprécié ce rôle de soumise, où elle s?abandonnait sans avoir à  décider de quoi que ce soit, elle y prenait goût, mais avit découvert qu?il n?éprouvait aucun sentiment pour elle. Elle était devenu, son jouet, son esclave.. Il s?était installé chez elle, ne faisait rien si ce n?est de vivre à  ses crochets.   Elle l?avait largué le lendemain d?une de ces soirées, lorsqu?il avait voulu la louer à  un autre maître, elle avait pris conscience qu?elle était sur une pente vertigineuse dont elle ne ressortirait pas indemne. C?est alors, qu?elle nous avoua : «  il m?en reste des traces non seulement morales mais aussi physiques ! »
«  Edouard s?empressa se répondre : «  Quel salaud, C?est ignoble un mec comme cela ! »
Elle répondit : «  Non, il ne faut pas jeter le bébé avec l?eau du bain, j?ai apprécié certains moments, j?ai aimé ces moments d?abandon où le plaisir s?enferme avec la douleur, et surtout je me suis rendu compte de ma naà¯veté ! »
J?ajoutais : « Tu parles de douleur, il te battait ? »
« Oui bien sûr ! cela fait partie du jeu, le martinet, les pinces à  seins, les poids, la cire chaude, l?exhibition et bien d?autres choses encore..Tu serais étonnée de voir combien ces jeux sont prisés à  Paris, on y rencontre toute sorte de gens du show-biz, de la politique, des affaires….Quand je parle de poids, tu sais que je porte un anneau au clitoris, il a voulu que j?en fasse poser deux autres sur mes grandes lèvres et un sur chaque mamelon. Il S?amusait à  y suspendre toute sorte de choses. A la maison je devais toujours me promener nue, pour qu?il puisse, si l?envie lui prenait m?attacher ou me punir pour la moindre chose. Pour sortir, il ne m?autorisait que le port des jupes sans rien en dessous au cas où une occasion se présenterait !
Edouard reprit la parole : «  C?est vraiment un malade ce gars là  ! Et tu les a gardé ces anneaux ? »
« Oui » Répondit Sophie, j?avais déjà  celui du clitoris et j?avoue que je trouve très esthétiques ceux des grandes lèvres, quant à  ceux des tétons, ils me procurent des sensations très agréables tout au long de la journée, tu veux voir ? »
Sans attendre de réponse de notre part, Sophie commença à  se déshabiller d?abord le haut puis le bas. Au bout de ses deux seins généreux pendaient deux  grands et très jolis  anneaux qui terminaient trèe avantageusement sa poitrine. Edouard s?extasia et demanda : «  on peut toucher ? »
Sophie avec un grand sourire lui rétorqua : Tu sais j?en ai vu d?autres, tu peux même tirer si tu veux ! «  Edouard ne se fit pas prier et s‘installa face aus deux globes généreusement tendus par Sophie et tout en manipulant les anneaux il déclara : «  Tu vois Françoise je rêverai que tu en portes toi aussi ! »
Je répondis du Tac au Tac «  Edouard reste à  ta place ! Mais si je dois en porter ce ne sera qu?après t?avoir fait percer en premier ! »
«  Pourquoi pas ? »
Sophie rajouta «  Tu sais Françoise tu devrais essayer, ça t?excite les tétons toute la journée. Regarde, ils restent bien turgescents et sont sensibles comme tout !  Viens approche n?aies pas peur ! » Et joignant le geste à  la parole elle vint me mettre ses deux seins sous les yeux.  Et sans en rajouter, elle fit tomber sa jupe sous laquelle elle ne portait rien.
Se retrouver, Edouard et moi,  ainsi dans notre salon, un 25 décembre avec une femme nue alors que nous étions tous les deux habillés avait quelque chose de surnaturel ! La tension érotique était montée de plusieurs degrés !
C?est alors que Sophie remarqua la clef qui pendait entre mes deux seins, «  Alors tu mets toujours Edouard sous clef ? Tu portes ta cage en ce moment Edouard ? Fais voir ! »
Edouard sans même me demander commença à  se déshabiller. J?étais la seule encore vêtue dans cette pièce. Edouard avait le sexe comprimé tant il était excité.
Sophie rajouta seulement : «  C?est beau » puis se tournant vers moi, elle dit : « Il ne te reste pas un cadenas par hasard ? »
« Pourquoi » lui dis-je
Ne fais pas ta mijaurée, j?ai trop envie de toi, je pense souvent à  toi et à  la soirée que nous avons passé cet été, si tu ne mets pas un cadenas sur mes deux anneaux, je vais te sauter dessus, depuis que j?ai t?ai vu en arrivant j?en ai trop envie. Quoiqu?il advienne tu sais que nous finirons au lit, alors nous y irons quand toi tu en auras envie, je t?offre ma libido pour toute la durée de mon séjour, tu mettras la clef autour du cou, comme celle d?Edouard !
«  C?est une excellente idée » lança celui-ci, «  comme ça tu nous portera tous les deux ! »
J?étais battue, je ne pouvais m?opposer à  ces deux volontés. Edouard partit sans me laisser le choix mot en disant : » Je m?en occupe »  . Il revint avec un cadenas qu?il avait dans son atelier en disant : «  je n?ai trouvé que cela ! Demain on pourra aller en acheter un plus petit ! »
Sophie dit alors : «  Pour quoi faire ? Celui là  ira très bien, à  chaque pas il se balancera et me rappellera que j?appartiens à  Françoise ! Françoise veux-tu bien me le mettre, après, je passerai moi-même la clef autour de ton cou ! »

C?est ainsi que pour la deuxième fois, j?approchais mes doigts de la vulve de Sophie. Elle était déjà  toute humide, en fermant le cadenas avec ce « clic » si prometteur je sus que nos vacances démarraient sous les meilleurs auspices ! Je vis le cadenas remuer quand Sophie s?approcha encore plus de moi pour me mettre la clé autour du cou, je l?avais à  hauteur des yeux tandis que ses deux seins me frôlaient le cuir chevelu.
Comment allai-je gérer la chose : deux amants sous clé ?


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