Ma femme est une joyeuse petite peste. 23 jours que je suis sous cage. Elle aime en retirer le capot le soir, me sucer doucement, puis me laisser dans une frustration encore plus grande. Sous l'emprise du désir, je suis pour elle l'homme de la situation en vue de la journée du lendemain: travailler, faire les courses, les corvées de la maison et tout ce dont elle peut être soulagé pour se consacrer à  elle et à  son amant.
Je sais que je vais faire tout cela avec une grande motivation, électrisé, je l'aime comme un fou... mais que c'est difficile parfois cette attente !

Sous cage depuis 6 ans. Au début, par jeu. Ma femme et moi y avons trouvé un surcroît dʼexcitation : elle, ravie de me savoir dans sa dépendance, moi y trouvant un piment à  mon désir pour elle.
Puis les choses ont dérivé. Elle a eu un amant. Trop amoureux, je nʼai pu la quitter. Elle a continué à  me faire porter la cage, épisodiquement. Puis de plus en plus souvent. Mon désir pour elle nʼa fait que croître. Et mes performances au lit décroître. Une tendance à  lʼéjaculation précoce provoquée par la privation.
De ce fait, elle a eu dʼautres amants. Nos relations sexuelles se sont réduites à  mesure quʼelle a accentué ses liaisons extraconjugales. Je suis toujours aussi fou dʼelle pourtant, si ce nʼest plus. La cage, que je porte très souvent, est la marque de son "emprise" sur moi. Un cercle vicieux qui a porté notre couple dans les marges mais aussi dans une tension érotique quasi permanente.