La CMC infernale histoire érotique

Démarré par TSM, Août 31, 2019, 10:54:47 AM

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TSM

La CMC infernale histoire érotique

Comme indiqué, jʼai pris ici lʼidée dʼécrire ce petit texte. Et, comme promis, je lʼoffre à  votre forum.

https://www.chastete-masculine.com/discussions-generales/candaulisme-cuckold-et-cmc-explications/

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Une fois sa poitrine, ses jambes et son sexe intégralement rasés, on dirait celui dʼun gamin. Son appendice comprimé dans le tube, qui avec une cage de chasteté castrat est plus une coquille quʼun tube, ses précieuses bloquées par un anneau dʼacier semble plus grosses que sa pauvre verge. Elle a du se bagarrer avec elle pour parvenir à  la loger sans le pincer, car dans une castrat, avoir une érection est un rêve tant cʼest petit.

- Voilà , tu voulais jouer le bébé, et bien maintenant tu lʼes au moins en bas.

- Mais ma reine, si je peux me permettre, je désirais simplement tester la couche pour voir ce que cela donne. LʼABDL ne mʼattire pas.

- Déjà  il nʼy a pas de mais qui tienne, ensuite cʼest toi qui a acheté un paquet de grosses couches pour personne incontinente. Ne discute pas où je te prive de ta pose mensuelle.

- Je nʼoserai vous contrarier ma reine cela nʼest point dans mes intentions, ce nʼétait quʼune information, plaise à  vous de décider ce que je dois porter.

- Jʼai une surprise pour toi mon amour, mon amie de Marseille vient passer quelques jours à  la maison, elle était nounou avant de prendre sa retraite. Elle pourra sʼoccuper de toi.

Le coeur de Luc sʼemballe soudain, jamais personne ne lʼa vu, à  par son épouse, sous cage de chasteté. Et là  cʼest bien pire, sa reine compte que son amie sʼoccupe de le langer ? Il se décompose mentalement, devient rouge, il nʼa jamais été aussi gêné malgré leur passé.

En effet, quand ils se sont connus il y a 20 ans, cʼétait dans le libertinage. Des folies, ils en ont fait sans pudeur, avant de « se calmer » à  lʼarrivée de leur fille. Aujourdʼhui étudiante surdouée, la prunelle de leurs yeux a quitté le logis pour étudier à  Harvard, une université privée américaine située à  Cambridge aux Etats Unis. Cela représente pour lui, 20 ans de chasteté, ils ont commencé comme un jeu avec la CB3000 avant de passer à  dʼautres modèles bien plus solides en acier.

Cʼest elle qui achète ses cages de chasteté sur ABCplaisir. Marie lui a pris une cage de chasteté grille pour lʼhygiène et ses petits délires comme le piquer à  travers lʼespèce de grillage. Elle lui a aussi offert une Cage de chasteté regret CBT pour quand elle désire le punir, les pointes étant vraiment très méchantes, elle a accepté quʼil les lime un peu. La castrat quʼelle vient de lui mettre est son dernier « cadeau », son dernier délire aussi.

Si elle sʼentretient, fait du sport et on eut le dire, est encore une très belle femme, Marie nʼest plus très intéressée par les choses du sexe, à  53 ans en pleine ménopause, ce qui lʼamuse cʼest plus le côté cérébral de la CMC.  Elle adore jouer avec son mari qui a presque 10 ans de moins quʼelle. Si sa sexualité a évolué, cette belle femme nʼest pas timide pour autant, pour exemple, elle adore jouer avec le sexe encagé de son mari et va parfois jusquʼà  mimer une fellation sur le métal. Pour Marie, martyriser son mari plus jeune et plus vigoureux quʼelle, cʼest lui donner de lʼamour autrement. Par principe, elle se fait brouter le minou et entre les fesses longtemps avant chaque libération du petit oiseau.

Pour être cru et appeler les choses par leur nom, une fois quʼils ont fait lʼamour, elle a « sa dose » de câlins pour au moins un mois. Cela ne lʼempêche pas dʼaimer son mari à  la folie, disons que leur sexualité a évoluée et que la CMC entretient leur vie de couple. Marie nʼhésite pas à  rebondir sur les prétextes permettant à  son mari de vibrer, ajouter des jours de cage, en retirer parfois, lui faire porter un rosebud ou une de ses culottes en échange de journées de cage en moins. Elle lui donne de lʼattention à  défaut de fusionner physiquement avec lui sous la couette.

Quand il lui a dit quʼil aimerait essayer de porter une couche pour voir ce que cela fait, si ce genre de fétichisme ne lʼattire pas, elle a malgré tout accepté en se disant que si cela le rendait heureux de jouer avec ça pourquoi pas. Son esprit machiavélique ne pouvant trouver que des deals pervers, Marie, dont les neurones gambergeaient, sʼétait dit quʼil y aurait sûrement matière à  sʼamuser avec le côté humiliation.

La petite cage de chasteté Castrat et le rasage plus important de son mari, lʼont follement amusée. Marie sʼest réellement amusée comme une folle à  le raser, elle tirait sur la verge libre pour aller chercher les poils rebelles en lui disant quʼil allait être un beau bébé. Elle ne sʼest pas limité à  son intimité, non, non, elle a aussi fait les jambes et le buste.

- Allez, on nʼa plus quʼà  cacher tout ça dans une grosse coucouche et bébé pourra aller dormir. Indique Marie en entreprenant de langer son mari.

Comme elle aime bien tout contrôler, Marie renforce les attaches de la couche en faisant deux tours de scotch dʼemballage en guise de ceinture. Elle appose sa signature sur le scotch avant de lui faire remonter les jambes pour lui enfiler son caleçon par dessus.

- Jʼavais déjà  une grosse culotte ma Reine, pourquoi enfiler mon caleçon par dessus ?

- Cela aidera à  bien la maintenir car tu vas la garder jusquʼà  demain. Répond Marie en lui faisant un gros bisou.

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La nuit de Luc fut bien plus difficile que prévue. Uriner dans une couche nʼest pas si évident quʼil ne lʼimaginait, avec en plus, la castrat qui comprime toujours sa verge. Pour y parvenir il a du se lever et aller sʼasseoir sur les toilettes. Psychologiquement il nʼy arrivait pas. Ce quʼil ne sait pas quand il va se recoucher après avoir, finalement, bien apprécié son premier pipi couche, cʼest ce quʼil lʼattend le lendemain. 

7 HEURES

Bien que nous soyons un samedi, Marie est déjà  debout et habillée, elle passe réveiller son époux pour lui dire quʼelle va faire une course et quʼil doit être sage en son absence. Pour Luc, le message est clair, garder sa couche. Etonné quʼelle se soit levée si tôt, le « grand bébé » ne se pose pas trop de questions, par contre, il sʼamuse à  marcher en couche, prend des poses de bébé à  quatre pattes, et inonde la protection en se caressant les tétons. Lʼexcitation est à  son comble quand il entend la voiture de sa femme se garer dans le jardin trente minutes plus tard. Lorsque la porte sʼouvre, il se retourne pour faire un grand sourire à  sa Reine.

Son sourire sʼarrête net.
La terre semble se dérober sous ses pieds.
Son coeur sʼemballe.
Luc ne sait sʼil doit courir se cacher ou dire « Bonjour » à  cette énorme femme entrant dans leur maison.

- Bonjour bébé, ravie de faire ta connaissance, je mʼappelle Louise ! Lui dit ce mastodonte bien plus grand que lui en tendant la main.   

- Bon bonjour madame ! Bégaye Luc rouge comme une écrevisse en tendant la main.

- Je suis nounou Louise pour toi, Marie mʼa parlée de toi et mʼa tout racontée. Regarde ce que je tʼai apporté ? Lui indique cette femme ressemblant à  une armoire normande en lui tendant un biberon.

Derrière Louise, Marie est pliée de rire. Elle voulait faire une surprise à  son mari, jouer avec ses nerfs et le rendre dingue. Ce quʼil ne peut savoir cʼest que cela ne fait que commencer.

Les présentations faites, les filles se rendent au salon avec un sac de croissants, Marie demande à  son mari de servir le café. Mort de honte, Luc est trop heureux de sʼenfuir dans la cuisine. Le service fait, ils partagent le petit déjeuner au son de la voix des filles trouvant matière à  alimenter la conversation et faire durer les croissants. Le souci de Luc est que la matin, comme beaucoup de monde, il éprouve le besoin dʼaller aux toilettes pour y déposer quelques matières solides. Ne pouvant plus tenir, il en est donc réduit à  demander la permission à  sa Reine de retirer sa couche. En grande sadique, elle lui demande pourquoi et sʼamuse à  le voir gêné de devoir répondre à  cette question.

- Allez viens, cʼest nounou Louise qui va te la retirer ! Lui répond Marie avec les yeux pétillants de malice.

Luc commence à  haà¯r cette étrangère qui lui tend les bras en lui disant « aller viens bébé ». Elle a beau avoir des yeux bleus à  faire fondre un régiment de cavalerie, un sourire dʼange, elle nʼen est pas moins une étrangère prête à  lʼhumilier. Lorsquʼelle a fini de retirer le scotch, Luc tente de mettre un terme à  son calvaire en disant « merci » hélas sa tentative échoue. La nounou perverse tient à  lui retirer sa couche. Il nʼy a donc par besoin dʼêtre devin pour savoir quʼelle va voir sa minuscule cage de chasteté.

Ce que ses prédictions nʼavaient pas dit, cʼest quʼelle ajouterait « oh que cʼest petit » puis un commentaire élogieux lui indiquant quʼil puait et quʼaprès avoir fait « popo » une douche serait nécessaire. Assis comme le dit si bien Renaud dans sa chanson Hexagone, « Et le roi des cons, sur son trône » .... sauf que lʼon peut changer la suite des paroles pour les remplacer par « se bouffe les ongles dʼinquiétude » car, cette femme a lʼair aussi perverse que son épouse.  Et il ne se trompe pas dans son intuition !   

A peine est-il sorti des toilettes, que Marie lui indique que cʼest Louise qui va lui donner la douche. Luc sait très bien que résister ne sert à  rien, négocier non plus, hormis prendre un ou deux mois de cage en plus, il nʼa rien à  gagner. Décomposé, la tête baissée comme un gamin se rendant chez le directeur de lʼécole, Luc se rend à  la salle de bain. La grosse mégère âgée est bien aussi « tordue » que sa femme, elle lui donne la douche et passe bien le gant partout, y compris entre ses fesses. Elle tente de laver son zizi en vain, la castrat ne laisse guère de solutions autres que la retirer ou la « branler » avec du savon. Et cʼest ce que fait Louise sans aucune gêne contrairement à  lui. Le rinçage se fait de la même manière sans aucune pitié pour sa pudeur.

- Et voilà  un bébé tout propre ! Indique Louise en raccompagnant Luc tout nu au salon avant de demander sʼil faut lui remettre une couche.

- Non, il est propre dans la journée ! Répond sa femme pliée de rire sur le canapé et il va aller sʼhabiller tout seul.

Trop heureux de pouvoir se soustraire de cette situation plus quʼembarrassante, Luc sʼenfuie à  toutes jambes dans leur chambre pour se vêtir.     

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La journée sʼest déroulée simplement, Louise les a invités au restaurant le midi, ils lui ont fait découvrir en voiture quelques coins fabuleux de la Bretagne avant de prendre le chemin de la maison. A tour de rôle, ils prennent leur douche et ont fait découvrir la Cotriade à  Louise.

(La Cotriade, désigne le contenu dʼune marmite, cʼest un plat typique du sud Finistère qui se compose de morceaux de poissons (rouget, lieu jaune, dorade et congre), de moules de bouchot, de pommes de terre, dʼail et dʼéchalotes. Cette bouillabaisse bretonne sublime pour les papilles gustatives ) Fin de la parenthèse.

- Ce soir, on va rajeunir de 20 ans mon chéri, on va faire du libertinage ! Déclare soudain Marie après avoir posé sa tasse de café.

Luc est à  deux doigts de sʼétrangler, quand il entend cette déclaration en avalant sa gorgée de café. Lʼenvie de se remettre à  fumer le prend, même sʼil sait que sa femme ne lui permettra pas.

- Le rêve dʼun homme nʼest-il pas dʼavoir deux femmes dans son lit ? Lui demande Louise.

- La Reine devenue le soleil de ma vie me comble, je nʼai point ce fantasme là  ! Répond Luc décidé à  jouer la prudence.

- Bien, alors Louise va te préparer pour la nuit, son expérience de nounou est bien plus grande que la mienne ! Répond Marie avant dʼajouter que dans leur chambre, cela sera plus pratique.

Luc se sent pris dans un piège quand Louise se lève pour lui prendre la main pendant que son épouse va chercher une couche. Lorsquʼelle revient, Luc est étendu nu sur le lit, elle le rejoint en lui demandant sʼil nʼest pas trop à  lʼétroit dans cette minuscule cage de chasteté. Il hésite fortement à  répondre que si, sa boule de cristal interne lui indiquant « prudence ». Sans attendre la réponse, Marie se penche au dessus de son sexe en invitant Louise à  sʼapprocher pour voir. En heyholder allumeuse et sans complexe, surtout avec sa plus grande amie, elle se penche pour faire entrer la clé souris dans la serrure de la cage.

- Oh, elle est bloquée, je nʼy arrive pas ! Murmure Marie avant dʼajouter, que des bisous doivent aider à  réchauffer le métal.

Luc ne sait sʼil doit se réjouir ou sʼaffoler en regardant son épouse faire comme une fellation au diabolique sarcophage de la Castrat.

- On va attendre un peu, jʼai envie de bisous là  ! Déclare Marie avec ses yeux pétillants de malice en désignant son entrejambe.

Ni une ni deux, elle retire sa jupe et enjambe le visage de son mari. Certes il ont déjà  fait cela des centaines de fois, mais la présence de Louise le gêne. La voilà  qui se met à  sʼoccuper de sa cage de chasteté pendant quʼil déguste le chaton déjà  bien mouillé de sa femme, un signe quʼelle préméditait ce quʼil lui arrive et sʼen est excitée. Histoire de le rendre dingue de désir, Marie joue avec les petits tétons de son mari, un accélérateur de sensations proche de lʼaccélérateur de particules de Grenoble.   

Devenant comme fou, lʼencagé râle de bonheur avec le nez plongé dans les nymphes épanouies de sa perle dʼamour. Il est soudain attristé de le voir sʼenvoler, pourquoi sa belle ne reste-elle pas, il sentait bien quʼelle allait prendre du plaisir. En voyant arriver une montagne de chair féminine soutenue par des cuisses ressemblants à  celles dʼun boeuf, pardon, dʼune vache, Luc comprend que sa femme a décidé de le « « prêter » » à  son amie. Sauf quʼaussi sympathique que soit cette femme adorable, au sourie dʼange et aux yeux bleus pouvant faire fondre le Pape lui même, il nʼa aucune attirance pour son chaton. Au contraire, il a peur, peur de mourir étouffé dans ses chairs.   

Quand elles arrivent sur son visage, il nʼa pas dʼautres choix que de lécher cette vulve ressemblant à  un marécage, au parfum d'algues marines quelque peu salées. Il est tellement perturbé par cette mission à  hauts risque lui déplaisant fortement, quʼil sent à  peine que sa femme lui retire sa cage de chasteté. Marie sait à  merveille comment fonctionne son service trois pièces, le mettre en forme nʼest pas bien long. Elle enserre doucement ses précieuses dʼune main, de lʼautre la racine de sa verge avant de prendre son gland entre ses lèvres. Comme Louise a compris que ses tétons sont comme le bouton de mise à  feu de la fusée Ariane, de ses gros doigts boudinés elle accompagne conjointement son amie pour le propulser dans la stratosphère. 

Luc se perd très vite dans des sensation enivrantes, il en oublie les formes plus que généreuse de la belle le chevauchant et prends un plaisir démesurer à  le déguster puis sʼy noyer quand Louise se met à  jouir. La fête ne pouvant sʼarrêter là , Marie enjambe son mari pour sʼempaler sur le sexe fier comme le glaive dʼun centurion prêt à  partir en manoeuvre. Attaqué par deux femmes décidées, le pauvre encagé libéré ne peut retenir la sève trop longtemps contenu, il jouit bien trop vite à  son goût et celui de son épouse. Furieuse quʼil ne se soit pas contenu, elle demande à  Louise de se pousser pour imposer à  sa mari de nettoyer la zone polluée et la faire jouir sans tarder.

Assise sur son visage, elle se penche en avant, remet le mini tube de sa Castrat un peu trop rapidement en arrachant quelques cris « entre ses jambes » Elle demande à  Louise de langer le bébé et maintient même les jambes de lʼinfortuné pendant que la couche trouve sa place. Lʼexperte emballe prestement lʼobjet du délit dans la protection pendant que Marie essaye de parvenir au plaisir mais en vain. Elle quitte alors précipitamment le visage contrit du fautif pour aller chercher le scotch lui servant à  assurer la « « sécurité » »  de la couche de son mari quʼelle envoie dormir dans la chambre dʼamis en guise de punition.   

- Je tʼai organisé une soirée de rêve alors ne râle pas, cette nuit je dors avec mon amie, file et ferme la porte ! Ordonne Marie en le voyant bouder.

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Ce quʼil sʼest passé dans la chambre des filles ? Je nʼen ai aucune idée, elles nʼont pas voulu me le dire.  ;D Peut-être ont-elles dormi ?

FIN

TSM

Note de lʼauteur : Désolé de conclure aussi rapidement cette petite histoire, mais je nʼavais que deux heures de libre ce matin. 

Le meilleur des fétichismes est celui qui vous permet de vous épanouir. Ne jugez donc pas ceux des autres.

enjauladito

Haha ! Merci TSM de nous faire bénéficier de tes talents de conteur ! Bien agréable à  lire, du fantasme livré « brut de décoffrage », une rêverie à  se raconter en regardant une mouche sur le plafond pendant une séance ennuyeuse de conseil dʼadministration quand la cravate fait un peu chaud autour du cou  ;D
Excellente journée !
Enjauladito
« El pàjaro enjaulado encontra su libertad en la mirada de su Reina »