Edouard et une nouvelle amante sous clé !

Démarré par FKH71, Janvier 07, 2014, 04:33:56 PM

Raphencage et 51 Invités sur ce sujet

John

Ah, ah, et cela ce n'est pas du pur sm ...
"Qu'à  cela ne tienne, et que les cadenas soient refermés chacun de leur coté sur quelque élément fixe du mobilier (lit avec anneaux ou chaînes par exemple) qui garantissent la quiétude de la demeure .. et l'absence d'allees et venues au moins pendant la nuit !"
Difficile de ne pas dépasser la limite?

Liocked24/7

"Sophie s?avança. Sa nudité était cachée par un large tablier de cuisine en grosse toile rêche.  Je regrettais la présence de ce tablier qui me masquait non seulement l?opulente poitrine de Sophie, mais encore son ventre et son entrejambe où se balançait le fameux cadenas que je lui avais apposé quelques heures plus tôt."

J'adore imaginer cette scène ... et plein d'autres aussi !

Je propose une chose, une sorte de concours: que nous les membres nous imaginions plusieurs suites. On pourrait ensuite décider  qui avait vu juste !

Le "clash" de fin était prévisible à  mes yeux: édouard était insuffisamment préparé !
Comme Ulysse s'était préparé pour s'approcher des sirènes, édouard aurait du l'être aussi pour ne pas etre tenté d'affronter "ses" deux sirènes ...
Bref, toute contestation de sa part aurait du etre strictement défendue, et sa contestation était même le signe de sa demande de contrôle supplémentaire !
Mais l'arrosage glacé et soudain a été un excellent réflexe qui a détendu tout le monde :-))

Bref, la suite je l'imagine ainsi; SAR la Reine doit se reposer, ses servants ont terminé leur service et doivent s'effacer.  Ils sont très bien équipes d'accessoires fort utiles et ne doivent surtout pas, ni se rapprocher entre eux, ni troubler le royal sommeil ...
Qu'à  cela ne tienne, et que les cadenas soient refermés chacun de leur coté sur quelque élément fixe du mobilier (lit avec anneaux ou chaînes par exemple) qui garantissent la quiétude de la demeure .. et l'absence d'allees et venues au moins pendant la nuit !

(bref, je m'égare...)
Et suis impatient de connaitre la vraie suite !
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

monsieur_CK

Aie aie aie !!!

J ai lu ce nouvel episode au bureau. Heureusement que j etais seul et pas encore encagé... Résultat garantie sur le pénis  ;) ;)

Des accélérations du coeur lorsque le pauvre édouard a entendu la punition sortir de la bouche de sophie et aussi pour la crise de jalousie...

Merci beaucoup Françoise  ;D

La suite va etre tres intéressante avec le petit dej et la suite de la journée...


Liocked24/7

Ahhhhh ... quel délice ! Beaucoup de choses à  dire ...a chaud, juste après la lecture !
J'y reviendrai (à  froid, cette fois!)

Votre attention et dédicace me vont droit ... au cœur !
J'avoue d'ailleurs quelques spasmes de gonflement (heureusement solidement contenus!) au cours de la lecture ...

Ce qui me rappelle une phrase de Sue, ma KH, à  qui je disais récemment à  la maison en portant un pantalon de sport :"ce qui est bien avec la cage, c'est qu'en portant ce pantalon, on ne voit pas que je bande en te massant." ce à  quoi Elle répond: "non, chéri ce qu'il y a de bien avec la cage, c'est que tu ne peux pas bander du tout!"
(j'en ai eu le souffle coupé!) (Elle est redoutable ...)

Ahhh cette nouvelle lecture, cette mise en scène, ambiance fellinienne (je verrais bien la Cité des Femmes!)
Ces petits détails, le tablier qui peine à  masquer les charmes annelés de Sophie ...
J'y reviendrai !
Je veux relire :-))
(je me sens -d'un seul coup- un peu conventionnel dans mon couple !!)
Dois-je vous remercier pour cette lecture, chère Françoise, ou -mieux- vous féliciter de vivre (et nous faire vivre) de telles aventures ?? :-))
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

FKH71

Mon cher Lio, votre libération et votre retour sous cage méritent bien une petite récompense ! Je ne pensais pas donner la suite de nos aventures avec Sophie, si rapidement, cat nous avions fit qu'il faut savoir donner du temps au temps, mais votre bonne volonté mérite d'être encouragée...J'espère que Sue ne m'en tiendra pas rigueur...!
Cette suite vous est donc spécialement dédicacée en espérant que la cage ne vous sera pas trop insupportable pendant la lecture ...!
Voici donc cette suite si attendue :
J?étais perdue dans mes pensées, lorsqu?Edouard vint se planter devant moi : « ma Reine est servie ! » annonça-t-il avec un grand sourire.
Je me levais doucement, Edouard me tendit le bras et nous nous dirigeâmes, tel un couple princier, vers le coin salle à  manger. Toutes les lumières électriques avaient été éteintes et seuls deux candélabres, posés sur la table diffusaient une lumière diffuse. Dans la pénombre Sophie, nous attendait, debout près de la table. J?étais presque déçue de la voir revêtue d?un tablier, mais ma surprise fut surtout de voir que la table, magnifiquement parée, ne comportait qu?un seul couvert ! J?exprimais mon étonnement et Edouard me répondit avec son large sourire envoutant : «  Tu es notre Reine, les manants ne dînent pas à  la table des Reines ! Nous allons te servir comme tu le mérites»
Cette réflexion m?indiquait que l?humeur était joueuse ! Puisque telle était leur volonté, je me laissais embarquer par l?aventure et répliquais : « Soit ! Festoyons »
Edouard retira la chaise, et, avec la plus parfaite galanterie, m?invita et  m?aida à  m?asseoir. Puis il s?effaça légèrement pour se tenir droit derrière moi.
Sophie s?avança. Sa nudité était cachée par un large tablier de cuisine en grosse toile rêche.  Je regrettais la présence de ce tablier qui me masquait non seulement l?opulente poitrine de Sophie, mais encore son ventre et son entrejambe où se balançait le fameux cadenas que je lui avais apposé quelques heures plus tôt. Elle portait noblement au bout des doigts une assiette. Lorsqu?elle se pencha légèrement pour disposer l?assiette devant moi,  mon regard cherchait à  s?immiscer entre la toile et sa peau pour surprendre le bout de ses seins. Elle annonça : «  En cet an de grâce, pour fêter dignement la nouvelle tonsure de notre Reine : Nid de pétoncles caramélisées au miel, relevées au vinaigre balsamique, sur son lit de salade frisée et de pignons de pin ! Je reconnaissais là  l?humour de Sophie ! De la frisée, alors qu?il n?y avait plus rien de frisé sur moi ! Quelle coquine !
« Sommelier s?il vous plait » ajouta Sophie
Edouard, dans le plus pur style des grandes maisons d?autrefois, s?avança et commença à  remplir mon verre en annonçant «  Pouilly Fuissé 2008 ! » Je ne pourrai jamais oublier l?atmosphère si particulière de ce dîner, atmosphère fellinienne, que je n?aurais pas pu seulement imaginer quelques jours auparavant ! 
Imaginez : Une femme totalement nue, assise seule à  table, en train de dîner. Une cuisinière, elle aussi totalement nue, bien que sa nudité fusse cachée, tout du moins par devant,  par un large tablier blanc. En revanche, lorsqu?elle vous tourne le dos, celui-ci  est juste souligné par le nœud de la  ceinture qui attire l?œil, faisant ressortir les deux globes généreux de son postérieur. Votre regard, en continuant de détailler la cuisinière, distingue un objet pendant entre ses cuisses. Vous voulez savoir, vous voulez découvrir la nature de cet objet. Elle fait un pas de côté. Les cuisses s?entre-ouvrent. Vous fixez l?objet et découvrez qu?il est suspendu à  des anneaux accrochés aux lèvres de sexe : C?est un cadenas ! Votre imagination vagabonde ! Comme si elle ignorait sa condition de cadenassée, elle se meut dans la pièce le plus naturellement du monde, elle est donc habituée, elle n?est donc pas farouche ! Est-ce une fille trop volage pour qu?on lui impose le port de ce cadenas ? Derrière la convive se tient un autre domestique, lui aussi totalement nu. Il se tient droit ce qui permet de distinguer que son sexe est enserré dans une sorte de prison en métal. L?aspect brillant du métal attire votre regard et vous découvrez que ce sexe est bien emprisonné, puisque la cage est solidement fermée par un cadenas. Qui a autorité pour ouvrir ce cadenas et libérer le sexe de ce domestique ? Pourquoi lui aussi est-il condamné ? La responsable, le tyran des lieux serait-ce cette femme assise à  table et qui se fait servir ?
Je souriais à  l?évocation de ce tableau. Il avait de quoi me surprendre et en aurait surpris plus d?un : Moi, la plutôt prude Françoise,   j?étais seule assise à  table, totalement nue à  l?exception des deux pendentifs accrochés aux lèvres de mon sexe et entourée de mon mari qui n?avait pas le droit d?être à  table et d?une cuisinière, elle aussi dénudée.  La voix de Sophie me tira de mes pensées : «  Madame a terminé ?» « Oui, Merci c?était très bon ! »  Me surprenai-je à  répondre de façon réflexe, entraînée par des années et des années de bonne éducation ! C?était pourtant sincère ! Non seulement Sophie était un véritable cordon bleu,  mais de plus elle avait soigné la mise en scène. Tous deux me regardaient en silence. J?éprouvais une certaine gêne sincère de me savoir à  table et eux debout à  observer mes moindres faits et gestes, à  attendre que je leur adresse la parole. Pour dissiper cette gêne et retrouver une certaine contenance, je levai mon verre et proposai un toast à  la cuisinière : «  Aux nombreux talents de Sophie » dis-je avec un air entendu. Edouard reprit et Sophie remercia. Je poursuivais en souriant: «  Puisque je suis votre Reine, vous me devez obéissance, n?est-ce pas ? »  «  Bien sûr ! » s?empressa de répondre Sophie !«  Eh bien puisque vous me devez tous deux obéissance, je vous ordonne de vous asseoir et de partager le dessert avec moi ! Edouard va chercher deux verres !»
Nous restâmes ainsi à  discuter de tout et de rien pendant un long moment. C?était un moment de complicité, nous devisions sur tout et rien, échangeant des plaisanteries. Nous étions réellement bien. La fatigue nous guettait et parfois nos phrases s?entrecoupaient de longs bâillements. Je sentais l?appel de Morphée ! Je dis : « Bon, je ne sais pas vous, mais moi je suis crevée, je vais me coucher ! » et sur ces paroles je me levais pour quitter la pièce.
C?est alors que Sophie demanda timidement : « Je peux venir ? »
C?est vrai, je n?avais pas tranché, qui allait me rejoindre dans ma couche ? Edouard ? Oui ce serait bien de discuter avec lui mais je n?en avais pas la force. Sophie ? Oui parce qu?elle ne resterait pas longtemps et que j?avais Edouard pour le reste de l?année ! Que faire, que répondre ? Je savais que si je laissais venir Sophie, nous aurions d?inévitables ébats et ça ce n?était pas possible vu mon état. Alors, il m?est venu une idée et je déclarai : « Dis-moi Sophie, ne m?as-tu pas dit qu?Edouard méritait une punition ? »
Je vis Sophie exprimer un large sourire, elle comprenait que ma façon de punir Edouard serait de l?écarter du lit conjugal,  elle s?empressa de répondre : «  Oui, comme tu as pu le constater toi-même cet après midi, Edouard nous a manqué de respect. Il mérite donc une punition ! »
J?observai Edouard du coin de l?œil. Il fut tour à  tour surpris, comme cueilli à  froid, puis inquiet, puis penaud ! Je rajoutai : «  Eh bien Sophie, puisque tout à  l?heure tu t?es proposée de m?aider, choisis la punition ! »
La gratitude était palpable dans le regard de Sophie. Elle lâcha : «  Edouard, en vertu des pouvoirs qui me sont conférés, compte tenu de ton manque ostensible de respect pour la gente féminine, tu es condamné à  en être privé pour la nuit. En conséquence, tu dormiras seul, et nous comptons sur toi pour nous apporter un solide petit déjeuner au lit demain matin ! »
«  C?est parfait » dis-je et tournant les talons je commençai à  gravir l?escalier.
Sophie, sûre de sa victoire, commença à  m?emboîter le pas.
« Tu n?y songes pas Sophie, tu me rejoindras quand tu auras fini ton travail, il reste la cuisine à  ranger, Va ! »
Sophie prit un air dépité,  et du coup je sentis Edouard comme ragaillardi. Je montai l?escalier pour me rendre dans la salle de bain.
Quelques temps plus tard, Edouard frappa à  la porte «  Je peux au moins te souhaiter une bonne nuit ? »
« Bien sûr mon chéri ! Rentre !»
« Tu seras contente » me dit-il, comme pour m?amadouer, « La cuisine est impeccable ! »
« C?est bien ! » Dis-je « Tu ne m?en veux pas ? »
« Un peu si,.. je ne m?y attendais pas, mais je l?ai voulu, je ne vais pas faire machine arrière, à  moi de savoir endurer ! »
« Si c?est trop dur, tu me le diras hein ? »
« Oui je te le promets »
« Tu as gardé tes pendentifs ? C?est super bandant ! »
« C?est toi qui dis cela ? Tu sais bien que tu ne peux pas ! »
A cette simple évocation, je vis qu?Edouard commençait à  bander
Je lui dis sur un ton maternel : «  Allons, sois raisonnable, tu vas te faire du mal, embrasse moi et va te coucher »
«Il m?embrassa fougueusement comme un étudiant de 20 ans. Sa langue cherchait à  forcer le passage de mes lèvres. Je le sentais fou de désir ! Je lui rendis son baiser. Il commença, de sa main, à  chercher mon clitoris. Je m?écartai en lui disant : « Pas ce soir, tu sais que je suis crevée ! » 
L?excitation d?Edouard était palpable, il tenta d?insister,  j?écartai sa main et lui dis : « Arrête, sois obéissant, laisse-moi, ce n?est pas contre toi, mais je suis réellement crevée »
« Non c?est pour te réserver pour Sophie, je te connais »
« Jaloux ? »
«  Oui »
«  Eh bien puisque tu veux le savoir, j?ai d?autres projets pour Sophie, mais pas pour ce soir ! Rassure-toi, je veux un moment pour discuter avec toi, mais sans Sophie, Tu m?as attiré dans cette aventure, il faut que tu l?acceptes ! Je ne sais plus très bien où j?en suis, j?ai besoin de calme pour réfléchir !
« Tu crois que je vais avaler cela ! Tu parles, tu veux juste t?envoyer Sophie ! »
Edouard était fou de désir et de jalousie, il fallait que j?arrive à  le calmer, c?était la première fois que je le voyais dans cet état, cela devenait dangereux pour notre couple. Sophie avait réussi à  s?immiscer entre nous, et Edouard en souffrait. Je tentais de l?amadouer : « Ne sois pas stupide, ne réagis pas comme un gamin qui est privé de dessert, sois raisonnable, … » Rien n?y pouvait, Edouard s?emballait, alors je fis par pur réflexe ce que je n?aurais jamais imaginé faire, je saisis la douche, ouvrit l?eau froide et orienta le jet sur Edouard !
Edouard, surpris par le jet glacé se débattit, j?orientai le jet vers la cage. Est-ce le froid, la prise de conscience ? Je ne sais. Toujours est-il qu?Edouard se calma et déclara : « Excuses-moi, je ne sais ce qui m?a pris, je suis fou de toi ! Pardonne-moi ! » Je le regardais longuement, comprenant que quelque chose de grave venait de se produire, le jeu nous dépassait. Interloquée, perdue dans mes pensées, je ne faisais pas attention et maintenais le jet orienté sur son sexe.
Edouard dit : « Tu peux couper l?eau s?il te plaît,  tu vas inonder toute la maison ! »  Et il partit d?un gros éclat de rire. La tension de ces derniers instants se dissipait dans un rire communicatif ! Au bout d?un instant il ajouta : «  Tu vois, tu as calmé mes ardeurs ! »
Effectivement, son sexe était tout rabougri dans la cage. Et je rajoutais «  Effectivement ! Ce n?est pas ce soir que tu vas pouvoir t?en servir ! »
«  Effectivement, passe-moi une serviette que j?éponge ! »
Sous nous mouvements pour éponger les pendentifs se balançaient  entre mes jambes tandis que le cadenas de la cage d?Edouard tintait de temps à  autre….
Je fis part de mon embarras à  Edouard : «  Tu vois, tu me demandes d?être plus autoritaire et quand je le deviens tu te rebiffes ! Il faut que toi aussi tu m?aides, si je fais des efforts, je te demande d?en faire aussi. Ce soir, Sophie à  ma demande, t?a imprimé l?ordre de dormir dans la chambre de  Max, si tu n?y vas pas, c?est que tu me désavoues. Ce n?est pas admissible. D?un autre côté j?aimerais relire, avec toi, les évènements de la journée, mais je suis trop crevée pour le faire, alors nous le ferons plus tard. S?il te plaît, accepte et ne me pose pas de problème ! »
« C?est vrai » répondit Edouard, « Excuse moi, je n?avais pas vu cela sous cet angle,    Dors bien et .. Sois sage !
« Compte sur moi ! Et n?oublie pas le petit déjeuner au lit demain matin »  lui fis-je avec un grand sourire !
« Bonne nuit ! »
« Ouf ! »Pensai-je « l?orage est passé. » il était temps de se mettre au lit !
J?entendis Sophie monter les escaliers et Edouard lui souhaiter une bonne nuit.
Celle-ci se glissa dans la chambre et vint me rejoindre dans mon lit. Très doucement, elle se pencha sur moi pour m?embrasser. J?étais d?humeur bougonne et lui dis sans autre façon : «  Bonsoir, on dort, je suis crevée ! »
«Sophie me répondit : «  Et moi qui me faisait une joie de t?avoir pour moi toute seule toute la nuit ! Tu fais la gueule ? Qu?est-ce qu?il y a ? »
« Rien, laisse-moi »
«  Non, il n?y a pas rien, ! Pourquoi tu me fais la gueule ? »
« Y a que je viens de frôler une engueulade avec Edouard »
« A cause de moi ? »
« Non, tu crois ! Il vient de me faire une scène de jalousie ! »
« Il devra s?y faire ! »
« Attends c?est de mon couple dont il s?agit, alors je ne prends pas cela à  la légère ! »
« Ecoute, c?est lui qui a demandé à  ce que tu prennes en main vos relations, c?est lui qui souhaite te voir plus autoritaire, et il te fait une scène ! C?est le comble ! »
« Je sais mais… »
«  Ecoute, tu manifeste ton autorité, il n?est pas habitué, il se rebiffe, je ne vois rien d?anormal à  cela. C?est le dressage qui commence ! N?abandonne pas, il serait déçu ! »
«  Mais qui parle de dressage, je n?ai pas envie de dresser mon mari, ce n?est pas un chien tout de même ! »
«  Non bien sur, ce que je voulais dire : c?est que tu dois être cohérente avec lui comme avec toi-même. Ne me dis pas le contraire cette situation te plaît n?est-ce pas ? »
«  Oui et non, elle m?amuse, elle raffermit notre complicité mais jusqu?où cela va nous mener ? »
« C?est toi la maîtresse du jeu, c?est toi qui fixera les règles et les limites, pour l?instant qu?as-tu à  te reprocher ? Rien du tout , tu as juste pris du bon temps, ce n?est pas méchant »
« Oui mais tu te rends compte, je l?ai expédié dormir dans la chambre d?à  côté »
« Et alors, où est le mal ? Ce n?est pas plus différent que s?il était en déplacement ! Il est en train d?apprendre à  te mériter, c?est ce qu?il veut non ? »
Oui bien sûr, mais.. »
« Mais quoi ? Crois-en mon expérience, la frustration fait partie du plaisir du soumis, A qui crois-tu qu?il pense en ce moment ? A toi et rien qu?à  toi, Bien Sûr ! Alors ne te fais pas de bile, tu verras demain, tout sera oublié ! Allez viens fais moi un câlin ! »
« Non, pas ce soir, c?est vrai je suis crevé, et toi aussi je veux te punir, pour le mal que je causé à  Edouard à  cause de toi ! Tu attendras, c?est ce que tu souhaites toi aussi, non ? »
«  Nous y voilà  ! ça y est, je suis responsable de tous les maux dans cette maison ! Ne sois pas ridicule,  je n?ai fait qu?entrer dans votre jeu et j?avoue que ça me plait bien, maintenant si tu crois que je dois me retirer, c?est bon, demain je fais mes valises et puis basta ! »
«  Non, excuse moi Sophie, ce n?est pas du tout ce que je voulais dire, tu es la bienvenue, mais tout a été si vite aujourd?hui, j?en ai le vertige ! Excuse-moi, toit ça est tellement neuf, tellement étourdissant ! »
«  Oui c?est vrai, mais tu regrettes ? »
«  Non pas du tout, je découvre de nouvelles sensations, je repousse mes limites, mais j?ai peur de m?y brûler et Edouard avec ! »
«  Ecoute arrête de psychoter, je sais ce qu?il te faut ! Une bonne nuit de sommeil, je vais te masser pour te détendre ! Mets-toi sur le ventre ! »
Heureuse de voir l?issue de cette conversation, je me retournais pour me mettre sur le ventre. Sophie m?enjamba pour s?asseoir sur mes fesses et je sentis le cadenas, dont j?avais oublié la présence, glisser entre mes deux globes. Cette sensation me fit sourire et la douceur du massage me détendit et, c?est très rapidement que je sombrais dans un sommeil réparateur !

A suivre...

Liocked24/7

Citation de: FKH71 le Janvier 23, 2014, 02:18:50 PM
A établir de telles statistiques, Mon cher Lio ... vous vous faites du mal...!

Chère Françoise,
Curieux de savoir s'il s'agissait de "mes" statistiques (dans mon journal ...)
ou bien des vôtres ;-)
(auquel cas, je ne me fais aucun mal, mais me ré-jouis (décidément!) de votre situation doublement avantageuse ! )
Lio

"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

tao

Citation de: FKH71 le Janvier 23, 2014, 02:20:11 PM
Mon Cher Tao
J'ai déjà  répondu à  la question dans un de mes posts précédents !
J'avoue ne pas tout pouvoir retenir
tao

FKH71

Mon Cher Tao
J'ai déjà  répondu à  la question dans un de mes posts précédents !

FKH71

A établir de telles statistiques, Mon cher Lio ... vous vous faites du mal...!

Liocked24/7

Je confirme pour ma part la qualité de l'inspiration et de l'écriture !
Les scénaristes de films dits "spécialises" peuvent en prendre de la graine: rien ne remplace le vécu.
Après le bouquin, je verrais bien une adaptation filmée !! (le collier de perle en soutien gorge ... Ahhh!)
(oops, j'espère que ma KH ne lira pas ce post ...)

La chasteté semble effectivement le sujet central:
En 4 épisodes si on fait les comptes d'orgasmes (!) on a:
Françoise: 2
édouard: 0
Sophie: 0
Les clés n'ont pas (encore?) beaucoup servi ...
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

tao

#39
Bonjour FKH71,
Bravo pour ces récits.
Au risque de me tromper, je crois qu'Edouard n'est pas inscrit sur ce forum. Interdiction de votre part ? Il n'en a pas envie ?
tao

FKH71

La patience est mère de vertu, dit-on ! Vous devriez en savoir quelque chose !
Attendons la suite jusqu'au point final de cette aventure ( je m'emploie à  continuer ma rédaction; il faut savoir donner du temps au temps ! N'est-ce pas ?
Si ce récit atteint vos espérances et votre engouement alors pourquoi pas ?
pour l'instant, écrire, comme je le soulignais dans un post précédent, me permet de décanter cette expérience et d'en rediscuter avec Edouard. Il me précise parfois ce qu'il avait en tête à  ces moments là .
Je viens de taper sur google :   Edouard et une nouvelle amante sous clé ! et mon texte y est déjà  référencé en première ligne ! Serait-ce le départ d'une vocation d'écrivain ?
merci de vos compliments, ils me touchent très sincèrement !
Françoise

hommechaste

Non ce n'est pas de la flatterie.. Vous construisez une belle histoire érotique mais qui parle aussi de chasteté, de cage, et d'amour à  trois. Je ne suis pas devin (ni même divin) mais je vous prédis une belle réussite si vous continuez ainsi.

FKH71

Vous me flattez, mon cher Hommechaste ! l'idée peut être intéressante ! A suivre...

hommechaste

A quand cette histoire sous forme d'un livre . Les livres parlant de chasteté sont tellement rares. Je pense que Sylvia pourra vous donner quelques infos sur la réalisation d'un ebook.  :)

Liocked24/7

Je me joins à  toi smCK pour applaudir Françoise !!
La suite N4 tient toutes ses promesses délicieuses ...

J'avoue que je n'ai plus qu'une pensée en tête depuis hier soir:
imaginer ce collier de perle refermé en passant par les anneaux des bouts de seins ;-)) sublime !!!!!
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.

monsieur_CK

MILLE MERCI FKH71 !!!

Je parle pour nous les encagés, on attendait avec impatience ce nouvel épisode ...

FKH71

Pour répondre à  ceux qui sont impatients ( trop ?) voici la suite de notre aventure avec Sophie. Je vous en souhaite une bonne lecture !

Nous étions tous les trois nus devant la cheminée. Le salon était dans la pénombre et seul le feu vacillant nous éclairait, la cage d?Edouard reflétant de temps à  autre les éclats des flammes. Sirotant notre champagne, nous étions là , silencieux, perdus dans nos pensées et probablement à  analyser les évènements de l?après-midi, c?était un moment propice aux confidences.
Edouard rompit le silence de nos méditations et d?un ton enjoué dit : «  Alors Sophie, as-tu bien profité de tes retrouvailles avec Françoise ? »
«  En partie, oui »
« En partie, seulement ? Que veux-tu dire ? »
«  Eh bien, elle a joui deux fois et moi pas encore ». Je reconnaissais bien  là  le côté direct de Sophie ! « C?est ce que tu souhaites, non ? » ajoutai-je
«  Oui bien sûr, je ne reviens pas sur ce que j?ai dit, mais je navigue en pleine frustration ! Mais …c?est trop bon ! »
« Je te ferai jouir quand je l?aurai décidé, là  et quand je le voudrai. Peut-être ce soir, peut-être demain ou peut-être pas ! Comme pour Edouard ! » Me surprenais-je à  répondre.
Sophie, comprenant qu?il ne fallait pas insister changea de sujet.
« Alors Edouard, la nouvelle tonsure de ta femme, ça te plaît ? »
« Je ne m?y suis pas encore habitué, mais j?avoue que tout à  l?heure c?était plutôt agréable. Mais, il faudrait que j?y goute à  nouveau pour être certain ! »
« Coquin ! » ajoutai-je
«  Et toi Sophie, comment te sens-tu avec ton cadenas ? » demanda Edouard
« C?est intéressant, il m?excite en permanence. Chaque pas que je fais, le fait osciller et me rappelle son existence, j?attends avec impatience que Françoise fasse un geste vers sa clef !»
« C?est exactement comme moi quand je porte ma cage ! Je la sens à  longueur de journée et un geste de Françoise vers son collier me rempli d?un espoir fou. A ce moment là  je suis prêt à  tout pour qu?elle me libère. C?est la première fois que tu portes un cadenas ? »
« Non mais de cette taille et de ce poids, oui »
«  Il faut souffrir pour être belle ! » ajouta Edouard «  Et, au fait, ça a fait mal quand on t?a percée ? »
«  Oui et Non, ça a été très rapide ! »
«  En tous cas, c?est très esthétique ! »
« Tu trouves ? C?est vrai, moi aussi j?aime bien, et toi, Françoise, qu?en penses-tu ? »
«  Oui c?est joli, et puis pouvoir y mettre un cadenas c?est vraiment intéressant ! Mais tu dois vraiment faire attention à  ce que ça ne s?infecte pas, non ? »
« Oh oui bien sûr, mais ça ne demande pas beaucoup plus d?efforts d?hygiène que d?habitude »
« C?est vraiment joli »  Insista Edouard « et puis sur une peau lisse ça ressort bien ! Tu n?as qu?une sorte d?anneaux ? »
«  Non j?en ai plusieurs types on peu les changer, mais il y a des filles qui se font sertir les anneaux, comme ça on ne peut pas les enlever sans les couper. »
« Arrête » dit Edouard « Tu me fais rêver ! »
« Il n?en est pas question » coupai-je, «  je te vois revenir à  l?attaque, c?est non ! Je ne m?en ferai pas poser »
« Il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau ! »  dit Sophie «  Pourquoi, tu as peur ? »
«  Non ce n?est pas ça, ça ne doit pas être pire qu?un accouchement, non c?est le risque d?infection, la peur d?être gênée en permanence, de ne pas avoir quelque chose de naturel »
« Oui mais tu reconnais que c?est joli » coupa Sophie.
« Oui mais.. »
«  Tu sais, c?est comme des boucles d?oreilles, tu t?es déjà  bien fait percer les oreilles, ce n?est pas pire, tu sais il y a des tas de filles qui se font percer, c?est très tendance ! »
«  Oui je sais, mais.. »
« A propos de boucles d?oreilles en as-tu encore avec des clips ? »
« Oui peut-être, j?ai du en garder »
«  Ce soir, c?est fête, nous allons nous décorer en sapins de Noel !  Va chercher tes pendentifs »
« Dis donc, tu ne me donnes pas d?ordres toi ! » elle commençait à  m?énerver à  prendre toujours des initiatives, à  avoir toujours raison. Nous étions bien là  à  discuter, je ne voulais pas briser le charme et quitter la pièce.
«  Dis moi où ils sont ajouta Edouard, je vais les chercher. »
« Non tu ne vas pas les trouver,
«  Dans mon armoire, dans le coffret à  bijoux »
«  Rapporte tout le coffret » ajouta Sophie, « nous allons nous habiller que de bijoux ! »
Edouard rapporta le coffret et l?ouvrit.
« Qui veut un sautoir ! Sans jeu de mots » ajouta-t-il !
«  Oh moi je veux bien ! » dit Sophie avec un large sourire, « ça me fera du bien ! » et sans plus de façon elle prit mon collier de perles des mains d?Edouard. Elle l?ouvrit et nous la vîmes passer une extrémité par chacun des anneaux qu?elle portait aux tétons. Elle demanda à  Edouard de bien vouloir le refermer. Bien évidemment, le collier n?avait pas la taille suffisante. Elle remonta ses seins et dit : «  Edouard tu dois pouvoir fermer, n?hésite pas à  tirer s?il manque un peu ! » Edouard s?accomplit et ferma le collier. Sophie lâcha ses seins.    Sous l?action de leur poids, ceux-ci retombèrent mais furent retenus dans leur chute par le collier, restant étirés vers le haut. Sophie grimaça et repris son sourire en déclarant : «  N?est-ce pas une façon intéressante de porter un collier ! »  Les seins de Sophie, étaient tirés vers le haut et se rapprochaient créant un magnifique sillon, les anneaux étirant bien ses deux tétons. Sophie se précipita vers le coffret. En se penchant ses seins, attirés par la pesanteur, tendaient le collier. Elle fouilla le contenu  et ressortit deux grosses boucles d?oreilles.
« Pour qui celle là  ? Moi je sais ! Tu penses ce que je pense Edouard ? » Dit-elle d?un air goguenard.
Sophie s?approcha de moi, commença à  me caresser les oreilles, ce qui me rassura, puis elle descendit en m?embrassant le cou, descendit encore pour engloutir un téton au passage et continua sa descente vers mon puits d?amour où sa main s?était déjà  aventurée. De ses doigts elle m?écartait les lèvres tandis que sa bouche se cristallisait sur mon bouton, et par surprise, elle m?attacha un clips aux lèvres. Je sentis le léger pincement du fermoir quand elle le referma.
« Fais voir, mets toi debout ! » La boucle d?oreille pendait dans mon entrejambe. Et le mouvement créé la faisait venir heurter l?intérieur de ma cuisse.
«  ça fait déséquilibré Non ? Qu?en penses-tu Edouard ? »
Effectivement en regardant dans la glace de la cheminée, une lèvre pendait un peu. Heureusement ces pendentifs n?étaient pas trop lourds ! 
«  Viens on va rectifier cela et sans que je ne puisse rien dire, Sophie prit ma deuxième lèvre entre ses doigts et referma le fermoir.
«  C?est mieux Non ? » dit Sophie «  Regarde comme ça met ton sexe en valeur ! C?est magnifique ! »
Effectivement, sous l?action des légers poids des boucles d?oreille, mes lèvres se détachaient bien et découpaient mon sexe d?une façon parfaitement symétrique. Les deux grosses perles qui ornaient ses boucles attiraient le regard et chaque mouvement venait les faire battre contre mes cuisses.
« Tu ne peux pas nier, maintenant, que les bijoux de sexe ne sont pas faits pour le mettre en valeur ! Edouard tu aimes ? »
Edouard, qui n?avait rien dit jusque là  mais n?avait pas perdu une miette des travaux de Sophie essayait de retenir une tentative de bandaison. Son sexe turgescent était, fort heureusement, comprimé par la cage.
«  Eh ben, ça te fait de l?effet, on dirait » déclara Sophie
«  Oh oui, c?est tout simplement  magnifique ! Quels changements en si peu de temps ! Sophie tu es une fée, le sexe de Françoise m?envoutait, maintenant il me fascine !  Et toi Françoise qu?en penses-tu ? »
«  Effectivement, c?est surprenant, je n?ai pas l?habitude. Le pincement est quelque peu désagréable, mais on s?y fait .. »
«  Tu vois, tu te ferais percer, tu n?aurais pas ce désagrément, alors tu les garde ? » ajouta Sophie
«  Puisque ça plaît à  mon chéri pourquoi pas ? »
«  édouard, implore à  genoux ta Reine et demande lui la faveur de conserver ces ornements ! » déclara Sophie.
Je vis Edouard se lever de son fauteuil, se mettre à  genoux et dire très sérieusement : « Françoise ma Reine, veux-tu bien conserver ces bijoux qui te mettent si bien en valeur ? »
Je répliquais, amusée par la situation : «  Oui je le veux bien, à  une condition : c?est que tu viennes vérifier, par toi-même, s?ils ne te gêneront pas lorsque tu me lècheras »
Je vis Edouard s?avancer vers moi à  genoux, tendre sa langue, attendant que je vienne y apposer mon sexe. »
«  Au contraire !» dit Sophie, « Tu verras, Edouard, en tirant légèrement sur les boucles tu pourras encore mieux écarter les lèvres pour mieux satisfaire ta Reine ! »
Edouard ne se le fit pas dire deux fois, exprimant pleinement ses talents linguaux, sa langue me pénétrait et s?activait. Il était encore trop tôt pour que je prenne mon plaisir une troisième fois en si peu de temps, je voulais conserver de l?énergie pour la fin de soirée ! Je reculais en disant : «  ça suffit ! » malheureusement Edouard tenait une des boucles d?oreille dans ses doigts et mon mouvement de recul fit que le pendentif se détacha brutalement m?arrachant un « ouille » de la bouche ! L?expérience du bijou de sexe devenait malheureuse.
Sophie, en grande connaisseuse de la psychologie féminine, sauva l?affaire en disant : « Mais quel maladroit ! Répare ta faute immédiatement ! Françoise tu devrais le punir pour cela ! »
Je vis Edouard penaud s?avancer et sans un mot me remettre la boucle d?oreille en place.
Je fus surprise de m?entendre répondre moi-même un énigmatique : «  Nous verrons, nous verrons ! »
Sophie s?approcha de moi et avança ses lèvres vers moi pour un langoureux baiser auquel je répondais avec envie.  Elle me souffla : « Tu progresses Princesse ! Tu es belle ! Tu me fais envie et je t?aime ! » Elle me faisait fondre.
Edouard était à  nos genoux, levant la tête il nous contemplait dans un sourire de bonheur.
Sophie ajouta : «  Fais moi jouir, vite, j?en ai envie »
Je répondais : «  pas tout de suite, pas tout de suite, il faut le mériter, car pour l?instant j?ai faim pas toi ? »
«  Sophie répondit à  l?adresse d?Edouard : « Viens Edouard notre Reine a faim, ne la faisons pas attendre, allons préparer le dîner, mais auparavant ressers un peu de champagne à  Françoise, qu?elle puisse patienter agréablement ! »
Edouard s?exécuta tandis que Sophie s?orientait déjà  vers la cuisine. En remplissant mon verre je demandai : «  Alors, mon chéri, Heureux ? »
«  Oh oui ! » me répondit-il avec un large sourire !
Je savais qu?en préparant le dîner, Sophie et Edouard ne manqueraient pas de commenter les derniers évènements, mais je n?en n?avais cure. La situation plaisait à  Edouard et, certainement, à  Sophie. Quant à  moi, j?en étais encore étourdie ! Me laissant bercer par la douce chaleur du feu et hypnotiser par ses flammes, tout en jouant, nonchalamment,  avec le pendentif qui ornait mon sexe,  je me laissais emporter dans mes pensées.
Je sentais, inconsciemment, que j?avais passé un nouveau cap mais sans pouvoir analyser précisément lequel. En tous cas, et en si peu de temps,  la présence de Sophie avait apporté un nouveau piment. Mon sexe était aussi nu que lorsque je suis arrivé au monde, j?acceptais confusément l?idée du bijou et du piercing, ne rejetais pas les amours saphiques, loin de là  même, et m?aventurais, un peu plus, dans un rôle plus autoritaire qui finalement n?était pas pour me déplaire. Jusqu?où irai-je ? Et ce soir, avec qui allai-je passer la nuit ? Edouard ? Cela nous permettrait de discuter et d?analyser, ensemble, ce qui s?était produit. Bien que c?était une façon de la laisser encore mariner, l?idée de laisser Sophie sur sa faim et dans la chambre d?à  côté ne me satisfaisait pas. Que faire ? La question ne manquerait pas de se poser. Et si je laissais les événements décider à  ma place ?

joel

Il est vrai , que je prends moi aussi plaisir à  lire cette suite mais biensur chaque plaisir me rappelle mon confinement dans ma cage et mon statut d'encagé envers ma Kh
donc lecture autorisé mais plaisir controler à  présent dans cette condition de servitude
Joel.

Liocked24/7

J'ai dégusté ce chapitre III du Noà«l de Françoise comme un grand cru !
A petites gorgées ...
(heureusement que l'oiseau était sous cage pendant la lecture !!)
"Posséder un pénis revient à être enchaîné à un fou". Sophocle
"Pour vivre heureux, vivons cagés". Vany
"Cagé: agneau dans son enclos, décagé: lion dans le salon ". Claire
"Le seul plaisir qui te reste, c'est le mien!" SueKH, mon épouse.