Je ne suis pas un mordu de la catégorisation, on me reproche souvent d'ailleurs mon aversion quasi maladive pour la généralisation. Mais tant qu'on ne tombe pas dans la "mise en boite", un minimum de classification aide à se donner des repères, ne serait-ce que pour se connaitre soi-même.
Vous ici qui partagez avec nous ce style de vie savez combien la chasteté contrôlée révèle en nous notre part féminine. Plus que la révéler, elle l'exacerbe. Certains vont jusqu'à se féminiser. Ce n'est pas mon cas, mais il est clair que ces expériences d'abstinences prolongées ont amené chez moi des interrogations sur ma sexualité. Ma femme dit d'ailleurs de moi que je suis plus libre quand je suis sous son contrôle, dans le sens où je m'interroge plus ouvertement et plus sincèrement sur moi-même. Qui suis-je pour prendre un tel plaisir de la sorte ? Je ne suis pas homosexuel, j'aime trop ma femme pour ça. J'ai des fantasmes bi-sexuels, surtout quand je suis encagé, mais je ne suis pas sûr de vouloir un jour les concrétiser. Sans doute suis-je hétérosexuel, mais je prend de plus en plus de plaisir à faire l'amour à ma femme sans user de mon pénis. Il arrive qu'elle me sodomise et j'y prend un grand plaisir, surtout après une longue période de privation. Suis-je un homme ? Oui, je n'ai pas de doute là -dessus. Suis-je une femme ou aimerai-je ne devenir une ? Non, aucun doute non plus.
Pourtant. Pourtant je ne suis pas non plus un homme comme les autres. Ils sont rares ceux qui seraient capable d'embrasser une telle vie. Par ailleurs j'ai toujours senti en moi une part féminine importante: petit, je jouais toujours avec les filles dans la cours de récréation; mes meilleures amies sont des femmes; j'apprécie leur compagnie plus que celle des hommes; je suis très sensible; je pleure facilement au cinéma ou en écoutant de la musique; j'aime être leur confident; j'aime autant sinon plus les préliminaires que la pénétration... et j'en passe.
Au gré de mes recherches sur internet, notamment sur les "gender studies", j'ai découvert mon genre: je suis un homme lesbien. Du moins je le deviens. Ce concept était tout à fait rare et isolé il y a quelques années. Récemment, j'ai constaté qu'il avait pris de l'ampleur. Certains vont jusqu'à le revendiquer en tant que genre à part entière. Vous trouverez très facilement de nombreuses définitions en tapant "homme lesbien" sur votre moteur de recherche préféré. Lisez-les, elles vous rappellerons quelqu'un... En effet nombre des qualités mentionnées se retrouvent chez l'homme élevé au rang d'encagé, nos chères KH en soient remerciées.
Est-ce la cage qui nous fait lesbien ou le sommes-nous avant, la cage ne faisant que le révéler ? Pour ma part je pencherai pour cette dernière option. Le don de ma sexualité puérile à ma KH a libéré ma vraie nature. J'avais de nombreux traits de caractère de l'homme lesbien avant même de connaitre l'existence des cages de chasteté. La chasteté contrôlée n'a fait que m'ouvrir les portes d'une sexualité cachée en moi. C'est du moins ainsi que je le ressens. Ou bien peut-être n'est-ce là qu'un construction mentale à posteriori pour justifier mon renoncement à une sexualité conventionnelle ? Qui sait ? Pas moi. Je n'ai que mon ressenti, et je lui fais plutôt confiance.
D'autres ici se reconnaissent-ils dans cette définition ? L'étiez-vous avant la chasteté, ou est-ce la chasteté qui vous a fait ainsi ? Y-a-t-il des expériences contradictoires ?
Au plaisir de lire vos impressions et témoignages.
Vous ici qui partagez avec nous ce style de vie savez combien la chasteté contrôlée révèle en nous notre part féminine. Plus que la révéler, elle l'exacerbe. Certains vont jusqu'à se féminiser. Ce n'est pas mon cas, mais il est clair que ces expériences d'abstinences prolongées ont amené chez moi des interrogations sur ma sexualité. Ma femme dit d'ailleurs de moi que je suis plus libre quand je suis sous son contrôle, dans le sens où je m'interroge plus ouvertement et plus sincèrement sur moi-même. Qui suis-je pour prendre un tel plaisir de la sorte ? Je ne suis pas homosexuel, j'aime trop ma femme pour ça. J'ai des fantasmes bi-sexuels, surtout quand je suis encagé, mais je ne suis pas sûr de vouloir un jour les concrétiser. Sans doute suis-je hétérosexuel, mais je prend de plus en plus de plaisir à faire l'amour à ma femme sans user de mon pénis. Il arrive qu'elle me sodomise et j'y prend un grand plaisir, surtout après une longue période de privation. Suis-je un homme ? Oui, je n'ai pas de doute là -dessus. Suis-je une femme ou aimerai-je ne devenir une ? Non, aucun doute non plus.
Pourtant. Pourtant je ne suis pas non plus un homme comme les autres. Ils sont rares ceux qui seraient capable d'embrasser une telle vie. Par ailleurs j'ai toujours senti en moi une part féminine importante: petit, je jouais toujours avec les filles dans la cours de récréation; mes meilleures amies sont des femmes; j'apprécie leur compagnie plus que celle des hommes; je suis très sensible; je pleure facilement au cinéma ou en écoutant de la musique; j'aime être leur confident; j'aime autant sinon plus les préliminaires que la pénétration... et j'en passe.
Au gré de mes recherches sur internet, notamment sur les "gender studies", j'ai découvert mon genre: je suis un homme lesbien. Du moins je le deviens. Ce concept était tout à fait rare et isolé il y a quelques années. Récemment, j'ai constaté qu'il avait pris de l'ampleur. Certains vont jusqu'à le revendiquer en tant que genre à part entière. Vous trouverez très facilement de nombreuses définitions en tapant "homme lesbien" sur votre moteur de recherche préféré. Lisez-les, elles vous rappellerons quelqu'un... En effet nombre des qualités mentionnées se retrouvent chez l'homme élevé au rang d'encagé, nos chères KH en soient remerciées.
Est-ce la cage qui nous fait lesbien ou le sommes-nous avant, la cage ne faisant que le révéler ? Pour ma part je pencherai pour cette dernière option. Le don de ma sexualité puérile à ma KH a libéré ma vraie nature. J'avais de nombreux traits de caractère de l'homme lesbien avant même de connaitre l'existence des cages de chasteté. La chasteté contrôlée n'a fait que m'ouvrir les portes d'une sexualité cachée en moi. C'est du moins ainsi que je le ressens. Ou bien peut-être n'est-ce là qu'un construction mentale à posteriori pour justifier mon renoncement à une sexualité conventionnelle ? Qui sait ? Pas moi. Je n'ai que mon ressenti, et je lui fais plutôt confiance.
D'autres ici se reconnaissent-ils dans cette définition ? L'étiez-vous avant la chasteté, ou est-ce la chasteté qui vous a fait ainsi ? Y-a-t-il des expériences contradictoires ?
Au plaisir de lire vos impressions et témoignages.