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Messages - lesamours

#401
Discussions générales / Re : Texte sur la chasteté
Février 04, 2015, 07:36:00 AM
Bonjour,

Voici la troisième e dernière partie.

Les amours


Deux semaine plus tard:
Même si je m'occupe bien d'elle avec ma bouche, mes doigts et le gode, elle me dit que ma bite commence à  lui manquée. Le problème, c'est que plus je suis en cage plus je suis excité. Et plus je suis excité, plus il m'est difficile de me retenir assez longtemps pour la satisfaire. Depuis quelques temps, je suis libéré qu'une fois par semaine pour qu'elle puisse jouir de la sensation de ma queue au fond d'elle mais je ne tiens pas longtemps.

J'ai porté la cage pendant plus d'une semaine. La dernière fois qu'elle mʼa libéré et  m'a laissé la pénétrer c'était merveilleux.
La prenant sur le côté, je la pénètre profondément puis je la baisé sauvagement. C'est si bon que je remarque à  peine lorsqu'elle jouis. Après elle décide de sʼasseoir sur mon sexe. Elle ne perd pas de temps à  prendre un rythme endiablé. Je fait tout fait pour essayer de me retenir, mais de la regarder venir si fortement sur moi, ma libido surchargée depuis plus d'une semaine du désir et de frustration se libère soudainement. Je cris et gémis de bonheur. Quand je réussi a reprendre mon souffle, je lui dit.
- C'est le meilleur rapport sexuel que nous avons eu depuis longtemps.
Elle hoche la tête, en passant un gant de toilette sur ma bite puis me dit
- Pour moi, c'est évident. Te faire attendre quelques jours est tellement mieux.
Elle remet la cage sur ma bite et ajoute.
- Dépêchez-toi de remettre ceci, je veux dormir.
Je commence à  me plaindre, alors elle m'arrête.
- Est ce que je dois te rappeler que c'est ton cadeau d'anniversaire?
- Euh, oui peut être mais je pensais que c'était juste pour quelques jours, ou au plus une semaine.
- Oh, arrête de te plaindre, tu ne vas pas recommencé. C'est seulement pour quelques jours, peut être neuf ou dix si tu continu? Quelques jours supplémentaires devraient être une bonne chose pour toi, non? En outre, c'est bon pour moi et c'est moi qui décide.
- Bien sûr que c'est bon pour toi, je m'occupe de toi tous les deux ou trois jours depuis mon anniversaire.
- Humm, c'est vrai. D'ailleurs, t'aime bien ça, n'est-ce pas?

Je dois admettre que j'aime m'occuper d'elle. Elle se blottit dans mes bras, et bientôt nous nous endormons, fatigués et repu.
3ème semaine:
Aujourd'hui c'est son jour de congé, alors je m'arrange pour rester un peu avec elle. Au lieu de me remettre la clé, elle m'excite en me demandant de la lécher et de la caresser jusqu'à  ce qu'elle jouisse à  plusieurs reprises. Naturellement, ma queue est si enflée qu'il m'est impossible de l'enlever. Je doit mettre un gant de toilette d'eau froide dessus pour me faire dégonflé le sexe. Elle ouvre la serrure et m'aide a enlever la cage. Elle a hâte de me sentir en elle.
Il faut que je vous explique que depuis que je suis propriétaire d'un atelier d'usinage, la cage que j'ai fabriqué est une version un peu modifiée par rapport a celle que vous pouvez acheter dans les magasins de "jouet pour adultes". Bien évidement elle est plus sûre que les modèles en plastique que l'on trouve sur le marché. Il a un anneau en acier inoxydable à  charnière qui entoure ma queue et mes boules. Le tube de la cage a des aérations sur les cotés et le bout est ouvert. Je sais que le métal c'est plus sur. Je pense qu'après un certain temps mes couilles s'étendront suffisamment pour que je me sente un peu plus à  l'aise, mais ce n'est pas encore arrivé. La cage est elle-même tenue par deux fines tiges en acier inoxydable fixé sur l'anneau. Une fois au repos, mon gland atteint le bout de la cage, et mon sexe est de la largeur du tube. Cela signifie que dès que je m'excite, ma bite se gonfle au point que je suis très vite mal à  l'aise. La courbure du tube empêche le gland de grossir complètement. Le problème est que quand je suis éveillé, le sentiment de confinement devient encore plus troublant, et cela m'excite, c'est un cercle vicieux. Vous pourriez penser que puisque je l'ai construit moi-même, j'aurai du être plus attentif sur le confort, mais lorsque j'ai fait des essais, la porter quelques heures n'était rien par rapport a ce que je vis depuis quelques semaines. Je n'imaginais pas faire un essai comme celui que je vie en ce moment.

Un autre avantage pour ma femme, c'est que lorsque j'ai passé plusieurs jours dans la cage, il me semble que ma bite est plus large que dʼhabitude. Je suppose que c'est pour cette raison qu'elle aime de temps en temps que je la pénètre après avoir été équipé. Si d'habitude après une longue période de chasteté je jouis trop facilement, je ne sais pas pourquoi parfois c'est le contraire. Je pourrais tenir des heures. Dans ces moments là , je frotte d'abord mon gland contre son sexe, puis sur son clitoris. J'aime entendre son souffle varier en fonction de son plaisir. Souvent en moins d'une minute, il lui arrive d'avoir un orgasme.
J'aime la pénétrer progressivement un peu plus à  chaque fois. Lentement je glisse en profondeur et ressort au bord de ses lèvres. J'aime la baiser de cette façon et si elle jouis comme ça, c'est encore mieux. Nos corps coller l'un à  l'autre, elle peut parfois avoir quatre ou cinq fois du plaisir. Mon gland, gonflé d'envie jʼaccélère le rythme. Elle mord mon épaule puis je l'entend gémir de plaisir lorsqu'une fois encore elle jouis.
Voyant qu'elle est encore excitée, je la retourne sur le côté. Elle aime que je la remplisse de cette manière. Elle est si humide que lorsque je me glisse en elle et que je pousse mon bas ventre contre elle, ses yeux sʼouvrent de surprise. Je joue avec son corps et lui demande.
- C'est trop fort? Tu veux que je mʼarrête?
Elle secoue la tête, à  peine capable de parler.
- Uhmm, non continu, c'est trop bon.

J'aime la regarder dans cette état là , alors je continu à  la baiser de cette manière pendant quelques minutes de plus. Mes couilles sont enflées et douloureuses. Comme elles frottent sur sa cuisse, je suis de plus en plus excité. De nouveau je pousse profondément mon sexe en elle. Depuis quelque temps elle exige de moi que je lui demande la permission, ce que je fais fébrilement.
- Ma chérie, est ce que je peux jouir? Je suis au bord.
Elle hoche la tête et me donne la permission de me libérer.
- Viens au fond de moi, laisse toi faire.
En retour elle pousse ses hanches contre les miennes. Je ferme les yeux un instant. Rapidement, je plonge en elle, je sent mes couilles frottées contre sa cuisse. Soudain, je sent mon sperme coulé avant même d'avoir mon plaisir. Vague après vague ma queue expulse sa semence. Faiblement je me penche sur elle pour l'embrasser, puis sans me retirer de son sexe, nous nous installons dans la position des cuillères. Son bras caressant doucement ma jambe lorsqu'elle me dit.

- C'est bon?
- Mmmm oui, c'est parce que tu mʼas autorisée à  jouir au fond de toi.
Je me colle à  elle, en appréciant son dos contre ma poitrine et son cul chaud contre mon ventre. Puis je reprends.
- Quand je suis enfermé, je ne peux pas bandé complètement, de sorte que tous mon plaisir est stoppé. Je ne comprends pas pourquoi tu ne veux pas le faire plus souvent?
Elle me repousse gentiment.
- Parce que ce ne serait pas pareil pour toi. J'essaie juste de te donner ce que m'a demandé.
Elle se retourne vers moi et me donne un long baiser.
- Finalement c'est mieux pour toi d'attendre plusieurs jours?
Je ne peut pas le nié. Nous restons enlacés l'un contre l'autre encore pendant quelques minutes avant que j'aille travailler. Elle me regarde enfiler ma cage de chasteté puis ferme le verrou elle même pour le reste de la semaine. Je m'habille et la laisse se rendormir.

5ème semaine:
Je vous jure qu'a la moindre occasion elle recommence a me toucher, me taquiner, même si comme souvent, elle ne me demande pas directement que je m'occupe d'elle. La première semaine nous avons eu des relations sexuelles presque tous les jours. La deuxième semaine ressemblait plus à  ce que nous vivions avant, mais le temps chaud de ce début de printemps lui a permis de dormir seulement vêtu d'une chemise de nuit. Pour mon plaisir je pense, elle l'a choisie transparente. La sensation de sa peau si près de moi a relancée mon excitation. De nouveau ma bite se réveille tous les matins.

Enfin après plus d'une semaine, elle me surprend en me donnant la clé de la cage pour que je puisse prendre une douche et venir la rejoindre dans le lit. Je me précipite dans la salle de bain ou je prend mon temps pour me laver car jʼessaie de faire redescendre mon excitation. Quand je la rejoins au lit, elle est complètement nue. Pour une fois elle ne veux pas que je perde mon temps a lui sucé le sexe. Vite, elle me pousse sur le dos et engloutie ma bite déjà  raide de sa bouche chaude. Le choc me fait presque sauter du lit. Moins d'une minute plus tard, je la supplie d'arrêter parce que je suis au bord de la jouissance. Profitant de l'occasion, elle se met sur le dos et m'attire sur elle. Nous nous embrassons, nos sexes se touchent. J'essaie de résister à  l'envie de me frotter contre elle afin de ne pas jouir trop vite.
Quand je pense être calmé, je pousse mon sexe vers sa chatte. Elle est déjà  toute mouillée et je glisse facilement en elle. Elle se mord les lèvres et m'attire encore plus. Mon sexe gonflé par plusieurs jours de cage, elle m'enlace si fort que je sais que je ne durerais pas longtemps. Lentement j'essaie de ralentir le rythme mais elle se jette sur ma bite gonflée. Chaque fois qu'elle vient à  ma rencontre, j'essaie de me retenir de jouir.

Elle veut se retourner pour pouvoir me chevaucher. Normalement, j'aime cette position, mais là  j'ai peur d'éjaculer trop vite. Je veux que cela dure plus longtemps pour pouvoir en profiter. Elle ne veux plus attendre et me pousse en arrière et reprend un rythme plus soutenu. Je la vois profiter de la sensation de ma queue gonflée en elle. Malheureusement, la regardant sʼexciter sur moi, quelques instants après je me vide dans sa chatte en criant de plaisir. Je la sens un peu énervée, presque déçu.
- Tu es censé attendre que je soit prête à  jouir.
- Mais c'est si bon, et puis j'étais tellement excité depuis le temps...
Elle se remet sur le coté et murmure.
- Dommage que tu ne mʼas pas attendu. Je suis heureuse que tu aies pris ton plaisir mais la prochaine fois avant de te libérer je ferais plus attention.
Malgré tout elle ne semble pas trop frustrée car quelques minutes après elle dort. Mon désir un peu calmé, je me colle contre son dos et je m'endors en repensant à  ses menaces.

Au matin je me réveille tôt avec une érection dure comme de la pierre. C'est la première fois depuis des semaines que je peux avoir une érection matinale complète. Je réalise qu'elle a oubliée de me remettre la cage hier au soir avant de s'endormir. Je la caresse, appréciant sa chaleur autant que le sentiment de pouvoir bandé sans entrave. Bientôt, je lui écarte les jambes et doucement je peux de nouveau entrer en elle. Elle se réveille à  peine, mais certainement assez pour profiter de ma belle érection. Bientôt ses mains se serres autour de ma taille. J'écoute ses doux gémissements, les yeux fermés à  cause du plaisir. Elle jouis tout doucement pendant que je continu a bouger en elle. Je mʼarrête pendant un moment pour qu'elle reprenne son souffle.

Je vois que maintenant elle est parfaitement réveillée, je lui demande si elle veut se mettre sur le côté. Elle hoche la tête et lève ses jambes pour me permettre de la pénétrer. Il s'agit d'une de ses positions favorites, et je ne tarde pas l'entendre grogner de plaisir. Je suis moins sauvage que la nuit dernière, il me suffit de bouger doucement en elle. Elle me serre la main, les yeux fermés puis jouis une fois de plus. Enfin calmée, elle pousse un profond soupir et je ressors doucement.
Maintenant, elle me pousse sur le dos et se met a cheval sur moi. C'est une position plus excitante pour moi mais comme j'ai déjà  jouis la nuit dernière, je sais que je suis capable de tenir plus longtemps. Elle ferme les yeux lorsqu'elle introduit mon sexe en elle. Elle pose ses mains sur mes épaules et ses anches vont et viennent sur moi. Pendant une longue minute, elle me chevauche frénétiquement en me griffant la poitrine avec ses ongles. Elle sʼappuie sur moi et relève ses jambes pour approfondir sa poussée. Elle est très excitée, quelques instants plus tard je sent ma bite avoir des soubresauts et mon sperme jaillir au fond d'elle. Elle s'écroule sur ma poitrine, je l'embrasse dans le cou. Lentement, elle se redresse. Mon sexe ramolli, il est lentement expulsé d'elle. Elle déplace sa main en arrière et agrippe mes couilles gonflées. Elle me dit en étouffant un rire.
- Ce n'est pas bien ce que tu as fait, je ne pense pas t'avoir donner la permission de jouir en moi.
- Quoi tu nʼas pas aimée mon petit câlin du matin? D'ailleurs, je crois que ton sexe lui a bien aimé, non.
- Non, c'était bien, mais ce que je veux dire c'est que je ne t'ai pas donné pas la permission de te vider en moi. Heureusement que je doit prendre une douche, de se fait ta punition ne sera pas trop dure, du moins pour le moment.
- La punition, quelle punition? Je pensais que c'était bon pour toi et moi ce matin?
- Oui c'était bon, surtout par rapport à  hier au soir. La prochaine fois, tu ferais mieux de te retenir jusqu'à  ce que je te donne la permission.

Après m'avoir menacé, elle sort du lit pour prendre sa douche. Remarquant la cage sur le lit, elle me la tend.
- On dirait que j'ai oublié quelque chose la nuit dernière, je vais devoir m'en souvenir la prochaine fois.
En souriant, elle me regarde mettre ma bite dans la cage métallique et ajuster l'anneau en acier autour de mes couilles. J'installe le dispositif de fermeture, mais c'est elle qui me le verrouille.
- Je tiens à  m'assurer que c'est bien fermé.
Dit-elle, en me donnant un petit baiser. Puis elle part à  la douche. Je m'habille et me prépare pour aller au travail.
7ème semaine:
Depuis quelques jours, ma vie sexuelle est plus tôt calme. Par contre pour ma femme tous les deux ou trois jours, je lui fais un massage des pieds ou du dos avant qu'elle parte se coucher. Immédiatement après, elle se retourne pour dormir me laissant frustré de désir pour elle. Environ une a deux fois dans la semaine, elle me demande de la lécher ou de lui caresser le sexe, ce qui me rend encore plus frustrer. Parfois, le matin lorsqu'elle se réveille avant moi, elle me demande que je lui caresse sa chatte déjà  humide avec mes doigts, jusqu'à  ce qu'elle aie un orgasme.
Pour moi, c'est autre chose, je vais vous expliquer les différentes méthodes que ma femme utilise pour me laisser frustrer.
Souvent elle se contente d'une caresse rapide sur ma queue gonflée à  travers la cage, puis elle se rendort pour une heure ou deux pendant que je me prépare pour aller au travail.
D'autres fois, elle prend une douche rapide juste avant d'aller se coucher, c'est un signal pour me faire comprendre que je vais devoir la sucer avant qu'elle ne s'endorme. Cela peux durée cinq minutes ou plus d'une heure en fonction de ce qu'elle désire.
Une fois, elle a chevauchée mon visage pour frotter sa chatte sur ma bouche. Elle se collait à  moi si fort que je ne pouvais presque plus respirer. Pendant tout le temps où je devais lui manger le sexe, elle me serrait les testicules, déjà  douloureuses et enflées.
Parfois elle caresse avec de bout de sa langue ma queue a travers les barres de la cage mais ceux ci sont trop rapprochés pour que je ressente quelque chose. Ces séances se terminent toujours par un profond sommeil pour elle et un mal aux couilles pour moi pendant plus d'une heure.

Au cours de la semaine, je me contente de ses douces étreintes et de ses caresses furtives. Juste une impression rapide de plaisir, mais jamais assez pour me calmer. Ironiquement, moins j'ai de sexe, plus je suis fou d'elle. Ma femme le sait très bien. L'augmentation de contact sexuel avec elle augmente d'autant plus ma tension sexuelle. Elle est constamment dans mon esprit. Parfois, la nuit, elle ôte sa chemise de nuit, et je me réveille couché à  côté contre sa peau lisse. Il semble que tout ce qu'elle fait est destiné à  ce que je la désire encore plus.

9ème semaine:
Depuis la première semaine, je remarque que malgré les apparences, nous avons moins de relations sexuelles qu'auparavant. Pour moi c'est une certitude, comme je suis constamment sous tension sexuelle pour ainsi dire, ma période d'une semaine me parait dix fois plus. Ma femme ne semble jamais vouloir me débloquer plus d'une fois par semaine. Bien sûr au début, elle me faisait sortir de la cage tous les deux ou trois jours, mais depuis elle apprécie très bien la situation et elle me garde enfermé sur une longue période.
Au fur et à  mesure des semaines, ma chasteté forcée me parait de plus en plus difficile à  supporter. Cela ne semble pas gêner ma femme qui ne veut plus entendre parler de période de liberté. Plusieurs fois, délicatement je lui ai suggéré qu'elle me retire la cage pour que nous puissions faire une pause. Elle me dit qu'elle préfère me garder sous contrôle afin que je ne puisse pas me caresser ou me soulager de temps en temps. Elle aime quand je m'intéresse exclusivement a elle.

Elle a remarquée qu'a chaque fois que je suis à  nouveau verrouillé après un rapport sexuel, je suis moins 'amoureux'. Alors elle laisse lentement s'installer la tension sexuelle au fur et à  mesure que les jours passent.
L'encagement de plus d'une semaine, me rend trop exciter pour en profiter, c'est pour cela que je souhaite raccourcir un peu la période. Malheureusement, pour ma femme il n'en est pas question. Elle rejette systématiquement cette idée en me rappelant que la cage de chasteté c'était mon idée et que ce n'est pas de sa faute si elle a fini par avoir plus de satisfaction que moi. J'essaie souvent de la raisonner en lui suggérant de me libérer plus fréquemment. Je lui dit que si c'est mieux pour moi, se serait mieux pour elle, puisque je ne serais pas si fou de désir et que je pourrais durer beaucoup plus longtemps lorsque je lui fais l'amour. Comme à  chaque fois, après quelques minutes, elle hausse les épaules et me dit que cela lui convient et que je dois arrêter de l'embêter avec ça.

Une semaine est déjà  passée depuis ma dernière libération. Aujourd'hui c'est son jour de congé, nous devions faire l'amour, mais ce matin je ne peux pas rester à  la maison. Nous sommes tous les deux déçus, mais elle ne me dit rien. Le soir, dans le lit, elle m'embrasse et pousse ma tête vers son sexe. D'autorité elle m'ordonne.
- Suce moi, j'ai attendu toute la journée pour ça.
Elle croise ses jambes sur mes épaules et remonte son bassin. Je lui tiens les hanches et avec ma langue j'effleure légèrement ses lèvres et son clitoris. Au bout de quelques minutes, lorsqu'elle jouis elle soulève ses hanches un peu plus haut. J'arrête de la lécher afin qu'elle puisse reprendre son souffle. Elle me demande brutalement.
- Mmm, tu es prêt à  me faire l'amour maintenant?
- Bien sûr, moi aussi j'ai attendu toute la journée pour ça, tu sais.
Je me retourne pour lui permettre de me libérer.
- Où est la clef?
- Ah non, t'a eu ta chance, ce matin. Ce que je veux maintenant c'est juste que tu me baise avec le gode et que tu me mange en même temps.
- Mais... mais...ce n'est pas ma faute, je devais allez au travail!

Elle hausse les épaules et prend le gode dans le tiroir de la commode. Elle agit comme si elle ne m'a pas entendu, elle me tend simplement l'objet et pousse ma tête vers son sexe.
- Tu es censé être prêt quand je le veux. C'est un des avantages de notre contrat, n'est-ce pas?
Je gémi de frustration et commence à  la lécher légèrement.
- Ne t'inquiète pas, me dit-elle, je te donnerais ce que tu veux un peu plus tard.
Je lui demande avec espoir.
- Eh? Plus tard, c'est ce soir non?
- Humm, non pas ce soir, lorsque je dit plus tard, c'est lors de mon prochain jour de congé.

Seules ses jambes autour de mes épaules mʼempêchent de sursauter.
- Quoi?! Mais c'est la semaine prochaine! Ce n'est pas juste!

Sans faire attention à  ce que je dis, elle appuie sur ma tête pour me guider a nouveau vers son sexe.
- Je sais, ce n'est pas juste, j'aurais préférée avoir ta bite au fond de moi ce matin, mais je vais devoir faire avec.
Elle se raidit sous ma langue lorsque je commence à  la baiser avec le gode.
- Oh, oui comme ça .... Mmmmm.
De toute évidence, elle est en dehors de toute compréhension, alors je continue à  m'occuper d'elle de cette façon jusqu'à  ce qu'elle jouisse à  plusieurs fois. Repoussant ma tête, elle s'installe sur le coté avec un soupir.
- Dépêchez-toi de t'essuyer la figure et viens me prendre dans tes bras, j'ai sommeil maintenant.
Complètement inconsciente à  mes douleurs et à  ma queue gonflée, elle s'endort dans mes bras. Je passe la nuit en silence à  gémir de frustration. Le lendemain matin, je me plaint à  nouveau.
- Je trouve que c'est injuste de me faire attendre une semaine de plus pour jouir, surtout que tu as obtenu ce que tu voulais hier au soir.
- C'est injuste pour moi aussi, j'aime toujours ta bite, mais comme le soir je suis fatiguée, je ne me sens pas le courage de prendre la peine de te libérer, de faire l'amour dans toutes les positions, d'être obligé de procéder à  un nettoyage de mon sexe après, et pour finir de t'enfermer à  nouveau. En fait, puisque c'est de ta faute si je doit faire sans ta bite, il était juste aussi que je tu fasse sans son sexe.

11ème semaine:
Pendant toute la semaine, elle fait en sorte que je m'occupe d'elle chaque nuit. Je suis sûr que c'est sa façon de me rappeler qu'elle peut se passer de mon sexe, et je me garde bien de lui rappeler qu'elle semble prendre beaucoup plus de plaisir 'a faire sans'. Je suis persuadé qu'elle en profiterait pour me rappeler que cette situation dans l'ensemble, c'était mon idée au début, et le moins que je puisse faire c'est d'accepter mon cadeau d'anniversaire pour son plaisir.
Depuis, chaque jour, elle me force à  lui faire des massages ou quelques séances de plaisir avec ma langue.

Enfin, la semaine est passée et son jour de congé arrive. Après plus de deux semaines sans jouir, je suis comme un fou. Nous prenons notre douche ensemble. Je suis heureux de savonner son dos et de frotter ma poitrine velue contre elle. Une fois lavée elle est prête à  sortir et je trouve une excuse pour rester un peu plus longtemps sous la douche. En réalité, j'ai peur de jouir trop vite et je veux trouver le moyen de me calmer. C'est a ce moment que je prend conscience qu'elle ne m'a pas donnée la clé pour prendre ma douche.

Je règle la température de l'eau un peu plus froide, ce qui permet d'alléger la douleur que j'ai dans les couilles. Un fois calmé, je la rejoins dans la chambre. à€ ma grande surprise, elle est allongée sur le lit, les yeux fermés, avec un large sourire. Un coup dʼœil entre ses cuisses me permet de voir qu'elle se donne du plaisir toute seule avec le gode.
Je regarde sa main déplacer l'objet, le faire entrer puis sortir de son sexe. C'est comme si elle ne savait pas que je la regarde. Après plusieurs semaines dʼabstinence, j'ai un sentiment de jalousie vis à  vis de ce gode en caoutchouc qui lui procure du plaisir. Malgré moi je continu à  la regarder venir lentement vers l'orgasme. Elle ouvre les yeux. Elle ne semble pas surprise de me voir là . Je rentre dans le lit pour me placer contre elle. Sentant ce que je vais lui demander, elle met un doigt sur mes lèvres. Je roule sur elle en embrassant avidement sa bouche. Mes mains cherchent à  la toucher partout. Je lui caresse la chatte avec mes doigts, la sentant glissante et chaude. Comme d'habitude, elle pousse ma tête vers son sexe en me tendant le gode.
Maintenant j'ai l'habitude de la satisfaire comme cela et je me met à  la pénétrer et à  la lécher en même temps. Elle est très excitée et se met à  gémir bruyamment. Ses mains agrippe mes cheveux et plaque fortement ma bouche contre son sexe. Je dois tirer ma tête en arrière pour reprendre mon souffle. Quelques instants plus tard, elle sert ses jambes autour de ma tête et aussitôt connaît un second orgasme. Je continue à  la lécher jusqu'à  ce que je sente ses spasmes se calmer. Près d'une minute plus tard, elle retombe sur le matelas, apparemment apaisé. Je lui demande.
- Comment c'était?
Après quelques secondes de silence, elle secoue la tête.
- Mmm, je ne sais pas, c'était très fort. Je pense que j'étais trop exciter pour pouvoir me retenir.
Elle se penche pour me toucher. Je sursaute.
- Je pense avoir une petite idée de ce que tu veux maintenant.
- J'espère que tu a retenu la leçon de la dernière fois. Tu te retiens de jouir jusqu'à  ce que je te le dise. Attention je ne veux pas que tu me déçoives.

Je secoue la tête, mais avant que je lui dise que je suis toujours enfermé, elle m'attire sur elle.
- Allez, viens maintenant, j'ai envie de te sentir en moi.

Le souvenir de la dernière fois ou nous avons fait l'amour comme ça, me fait reculer en arrière.
- Non, je ne veux pas venir comme ça, s'il te plaît, déverrouille moi! S'il te plaît.

Elle a un petit rire.
- Je veux juste m'assurer que tu as bien compris la leçon. Après tout, c'est de ta faute si je n'ai pas pu avoir ta belle queue en moi depuis la semaine dernière. Tu ne pensais pas que tu allais t'en tirer comme cela?

Je me plains.
- Mais ce n'est pas bon de cette façon.
- C'est bon pour moi. Et puis, c'est tout ce que tu aura cette fois ci. Maintenant, décide toi, tu viens ou pas?

Je ne suis plus sur de ce que je veux. Je pousse doucement le tube de ma cage en elle. Malgré tout, jʼapprécie le contact de sa chatte chaude et serrée sur le bout de ma bite qui gonfle hors de la cage. A son contact, je deviens vraiment fou. Je veux jouir à  tous prix, car ça fait plus de deux semaines que jʼattends ça. Pourtant jʼessaie de faire durer ce moment le plus longtemps possible, car il faudra sans doute que j'attende une autre semaine avant que cela se reproduise. Quelque instant plus tard je réalise que je ne pourrais pas avoir un orgasme réel si je reste enfermé. La cage m'empêche d'avoir suffisamment de spasmes musculaires pour me faire jouir. J'arrête de bouger en elle, surprise elle me demande.
- Qu'est-ce que tu fais. Moi qui pensais que tu serais heureux de venir en moi après avoir attendu si longtemps. Si tu veux, ont peut toujours attendre la semaine prochaine...

Gémissant de frustration, je la pénètre aussi profondément que la cage me le permet.
C'est à  peine si je remarque les contactions de son propre orgasme, tout comme le mien qui suit rapidement. Je sens une énorme pression venir à  la racine de ma bite. Au moment ou je lʼentends jouir, mes propres contractions ont commencés et je sens soudain mon sperme se rependre en elle. Aucune vague de plaisir, pas de contraction juste la sensation que mon sperme coule tout seul et je me déverse simplement en elle. Je m'effondre et sanglote de frustration.

- Tu nʼas pas duré très longtemps cette fois. Je n'aurais peut être pas dû te laissé venir en moi si tu ne sait même pas en profiter. Bon, maintenant, je pense que tu te souviendras comment fonctionne notre arrangement, n'est ce pas?

Je hoche la tête, trop frustré pour répondre. Brisé, je ne lui résiste pas lorsqu'elle pousse ma tête vers son sexe pour que je la nettoie. Encore une fois elle me rappelle.
- Souviens-toi tu doit toujours être prêts à  me satisfaire quand je le veux.
Bientôt, elle s'allonge sur le lit et jouis de mes caresses buccales.

14eme semaine:
Presque tous les jours elle me demande un massage et des caresses. Je suis constamment excité sans pouvoir me soulager. Trois mois se sont écoulés depuis mon 'anniversaire' et notre 'arrangement' comme elle me le rappel parfois.
A son travail, son jour de congé change à  différents moments de la semaine. Avant il m'arrivait d'attendre entre cinq et neuf jours avant qu'elle me libère afin que nous fassions l'amour normalement. Aujourd'hui, plus d'un mois s'est passé sans qu'elle me libère pour que je lui fasse l'amour. Elle me dit qu'elle préfère.
Pourtant un jour c'est arrivé... Elle m'annonce qu'elle va me libérer. Je me réjouis à  l'avance de pouvoir enfin jouir en elle libre et sans cage depuis trop longtemps. Je suis tellement excité que je pense pouvoir être capable de jouir au moins deux fois. Elle me tend la clé et je me dirige immédiatement vers la douche. Elle m'embrasse et me dit de ne pas prendre trop de temps, car elle a une surprise pour moi. La mousse du savon fait du bien a mon sexe libre. Je me sèche et me rase rapidement puis j'arrive dans la chambre.

Ma femme est assise sur le lit. Elle porte un costume noir en cuir et tiens une paire de menottes.
- Couche toi, j'ai une petite surprise pour toi.

Même si elle m'a déjà  menottée quelques fois pendant les rapports sexuels, aujourd'hui elle me fait autant d'effet que la première fois où nous avons fait l'amour. Je monte sur le lit. Elle grimpe sur moi.
- Tu as été un si bon garçon que je pense que tu mérites une petite gâterie.
Elle me fait rouler sur le ventre et m'attache solidement les poignets. Elle me retourne et viens sur moi. Elle prend ma bite dans sa bouche.
- Mmm ... elles sont grosses et bien pleines, n'est-ce pas?

Je ne peux pas lui répondre car je suis trop occupé par sa bouche sur mon sexe. Depuis plus de trois mois, je l'ai fait jouir de toutes les façons, et ma seule récompense a été d'être enfermé en cage. Elle me regarde dans les yeux et met ses jambes autour de ma tête pour se mettre en position de soixante-neuf.
Appréciant la douceur de ses cuisses autour de ma tête je sent immédiatement son jus salé sur ma langue. Elle se redresse et positionne ses hanches sur mon visage. Elle m'étouffe presque.
- Non, ne t'arrête pas, continue.
Amoureusement je remets ma langue sur son sexe gonflé. ça fait plusieurs jours, qu'elle me tient excité en me demandant des massages ou caresses prolongées presque chaque nuit. De temps en temps sa langue lèche mon gland, et je me bat pour contrôler la montée de mon plaisir Sans surprise, je suis rapidement proche de l'orgasme.. Je me concentre et sans l'utilisation de ses mains je réussi a tenir.

Malgré tout elle m'excite a force de me sucer la queue. Elle aspire mon gland déjà  enflé en tirant dessus. Mon sexe ressemble rapidement a une barre d'acier. Heureusement, elle s'arrête a chaque fois a temps. Je me concentre pour lui donner plus de plaisir avec ma langue. Enfin elle joui. Sa tête retombe sur ma jambe et sa main serre mes couilles gonflées. Je m'arrête de lui lécher le sexe et j'embrasse le haut de ses cuisses. Elle reste immobile quelque instant avant de se relever. Elle me félicite.
- C'est très bon. ça fait longtemps que nous n'avions pas fait ça.

Elle se redresse et descend ses hanches pour caresser ma bite avec sa chatte. Je suis très excité et fait tout pour me retenir de jouir. Sentant ma détresse, elle me sourit et dit
- Mon pauvre chérie, tu es au bord, n'est-ce pas?

Les yeux fermés par la concentration, je ne peux que hocher la tête. Elle continue d'onduler ses hanches contre mon sexe.

- C'est si difficile de te retenir? Peut-être que je ne devrais pas faire ça avec toi? Est-ce que tu veux que j'arrête?

D'un coup mes yeux s'ouvrent et je hurle.
- Non, non, je veux jouir, vraiment. J'ai juste envi que ça dure un peu plus longtemps. Il y a si longtemps que j'ai envi de te faire l'amour. Je me sens si bien maintenant.

Elle me regarde droit dans les yeux et me demande.
- Hmm, pourquoi tu ne te sent pas bien d'habitude?

- Non, Oui. Hmm, c'est trop bon ... Oooooohhhhhhh ...
Je gémis au moment ou son sexe coulisse sur le mien. Elle reprend son discours, lorsque ma bite est au fond d'elle.
- Et là , est-ce que ce bon?
Elle remonte ses hanches et presse mes couilles.
- Mmm, est ce que tu a quelque chose pour moi?

Je ne peux que gémir.
- S'il te plaît, s'il te plaît, non, oui, oh s'il te plaît ...
Je perds le contrôle de moi même. Je peux sentir la pression de sa main sur mes couilles, et le plaisir arriver au fond de mon sexe. J'ouvre rapidement les yeux et je la regarde avec envie. Tout d'un coup, ce qui semble être un torrent de plaisir se propulse profondément dans sa chatte. Quelque instant après je m'effondre.
Je débande, ma bite est maintenant inutile. La pression dans mes couilles est libérée. De nouveau j'ouvre les yeux.
- C'est incroyable bon, j'en ai la gorge sèche a force de jouir.

Elle me sourit puis me dit.
- Je ne crois pas t'avoir donné la permission de jouir. Tu n'es qu'un égoà¯ste. Tu aurais pu attendre que nous ayons du plaisir ensemble. Je te rappel que moi aussi j'ai dû attendre plusieurs semaines pour ça, tu sait.
En utilisant ses doigts pour refermer les lèvres de sa chatte gonflée, elle expulse lentement mon sexe devenu complètement flasque. D'elle même, elle vient se positionner sa chatte dégoulinant sur ma bouche.
- J'ai besoin que tu tʼoccupes de moi maintenant jusqu'à  ce que je te dise que j'en ai assez. D'ailleurs, est ce que tu ne viens pas de me dire que tu as la gorge sèche? Je pense qu'il y a assez de liquide dans ma chatte pour te rassasier.

Je ne sait plus depuis quand, ni pourquoi c'est arrivé, mais elle a décidée qu'a chaque fois que je me viderai en elle je devrait sucer tout le jus qui s'en écoule avec ma langue. Elle prétend que c'est beaucoup mieux que d'utiliser une serviette, et elle n'a même plus à  sortir du lit.
Certes, j'aime bien lui donner du plaisir de cette façon mais une fois que j'ai jouis j'ai un peu de mal à  devoir la nettoyer avec ma langue. Avec mes mains menottés, il est inutile que j'essaie de lui résister, alors j'ouvre la bouche en laissant le liquide salé couler au fond de ma gorge. Je n'ose pas m'arrêter de la sucer jusqu'à  ce qu'elle estime être suffisamment propre.

- Bon, maintenant c'est a mon tour de prendre du plaisir.
Elle me pousse hors du lit et me dit de m'agenouiller au bord. Ensuite elle place des oreillers sous ses fesses et met ses jambes sur mes épaules en attirant ma tête sur son sexe ruisselant.
- Mmm, dommage que tes mains sont encore verrouillées, sinon tu aurais pu me caresser en même temps.
Comprenant le message, je relève la tête et lui marmonne.

- Si tu me libère les poignets, je pourrais peut être te caresser ou utilisez le gode, ou mieux encore, te faire un petit massage.

ça lui semble être une bonne idée. Elle détache une de mes mains et quelques instants plus tard, elle est rallongée sur le lit et je l'embrasse passionnément. Ma main libre tiens son gode rouge préféré. Je monte sur le lit et me place au dessus d'elle pour que nos deux corps soient en contact. Je la caresse avec le gode en prenant garde de ne pas la faire jouir tout de suite. Quand je la sent prête je retire le gode et me glisse entre ses jambes pour la pénétrer. Elle répond à  la pénétration en poussant ses hanches contre les miennes. Elle attrape mes fesses pour que je rentre encore plus profondément. Rapidement elle est au bord de la jouissance. Je pousse mon sexe à  l'intérieur d'elle aussi loin que me permet sa longueur. Ses bras se raidissent et je sens sa morsure sur mon épaule. Je continu mon rythme, elle jouis deux fois avant de s'écrouler définitivement sur le lit. Je l'embrasse doucement jusqu'à  ce qu'elle reprenne son souffle.

Je lui fait signe lui rouler sur le ventre, et de me présenter ses fesses. Je pousse mon sexe profondément en elle. Sa chatte est chaude et très ouverte, bientôt je la sens avoir un autre orgasme. Je me colle à  ses fesses et je la pénètre complètement. Elle me sert la main. Je la laisse jouir une fois de plus, puis j'augmente le rythme. Le frottement de mes couilles contre ses cuisses chaudes et son cul contre mon ventre suffi à  me faire jouir aussi. Ce second orgasme est presque aussi intense que le premier et je me libère en poussant un cri. Je m'effondre sur elle.

J'embrasse son dos et son cou puis lui dit.
- C'est si bon de pouvoir jouir plusieurs fois comme au bon vieux temps, hein?

En réponse, elle attrape la cage qui est posée sur la table de chevet et me la tend.
- Non, c'est encore mieux qu'au bon vieux temps. Tu ne crois pas?

Je commence a protesté.
- Je n'ai pas envi de remettre la cage. T'a bien aimée qu'ont ai pu avoir une relation sexuelle normale et moi je suis heureux d'avoir pu jouir deux fois en toi. Est ce que ce n'est pas mieux comme ça pour tous les deux?
- Je pense que de te faire attendre est ce qui fait que cela te semble plus merveilleux. Il faut que tu te considère chanceux que je t'ai laissé jouir une seconde fois en moi. Tu a oublié que tu est censé être a mon plaisir et non pas l'inverse.

Une fois de plus elle m'aide à  enfermer ma bite dans la cage de chasteté. Elle place l'anneau en acier inoxydable autour de mes couilles et ferme la serrure, puis me dit.

- Ah, j'allais oublier, je sens quelques gouttes le long de ma jambe. Tu peux venir me nettoyer, s'il te plaît?

18ème semaine:
Un soir, d'elle même elle me propose de mettre un peu de crème sur mes parties génitales qui sont exposées au frottement de la cage. Il est vrai qu'un peu de lubrifiant la nuit me permet d'atténuer certaines irritations. J'ai hâte qu'elle s'occupe de moi, je trouve que son geste lorsqu'elle met de la crème autour de l'anneau de ma cage est plus agréable que lorsque je le fais moi même. Rapidement mon excitation monte et je me mets à  gémir de plaisir, avec l'espoir qu'elle ne s'arrête pas.

Ma femme verse ensuite un peu de crème sur mes couilles, et les masses d'une main pendant que de l'autre elle frotte ma verge a travers la cage. J'essaie de ne pas lui montrer combien je suis excité par son geste de peur qu'elle ne s'arrête. Mais je ne peux pas m'empêcher de chercher a me frotter encore plus contre ses mains. Les yeux brillants, en sachant très bien quel effet ça fait sur moi, elle serre mes couilles plus fermement. Je suis si proche du plaisir que je lui demande.
- S'il te plaît, laisse moi te faire l'amour.
- Je ne sais pas. Tu ne sembles pas en profiter quand je te laisse venir avec cette chose en moi.

ça réponse me fait un choc, je deviens fou.
- Ont peut l'enlever, non?
- Non, je ne pense pas que ce soit une bonne idée.
Elle continue à  me serrer les couilles.
- J'ai peur que tu jouisses trop rapidement. D'ailleurs, je suis sûr que tu n'en profiterais même pas.

Ma bouche est presque trop sèche pour pouvoir lui répondre. Pendant se temps elle continue a me compresser les couilles comme pour en faire sortir tout le sperme qui s'y ai accumulé.
- Oui, oui, je vais en profiter, je te le promet. S'il te plaît, ne t'arrête pas, c'est tellement bon, oh oh s'il te plaît s'il te plaît ... oh, non non arrête oh oh ... uunhh ...

La dernière chose que je sent, c'est un petit spasme court et mon sperme s'écoule hors de moi. Comme d'habitude, ça ne suffit pas a diminuer mon désir. Ma femme semble fasciner en regardant ma bite fuir tout ce liquide. Pendant tout ce temps elle a gardée sa main dessous de la cage. Enfin, elle lâche ma cage et regarde le petit bassin de sperme dans sa main.

- C'est tout. Avant tu produisais plus de sperme et surtout tu étais plus endurant...

Je fais un mouvement de tête en me souvenant de l'époque ou lorsqu'elle me donnait du plaisir avec sa main. Parfois j'éjaculais si fort que cela finissais souvent a la hauteur de mon oreiller, ou parfois même sur le mur. Apparemment, elle s'en rappela aussi. Elle secoue la tête.

- Non, vraiment pas impressionnant.
Elle se penche pour me donner un baiser puis rajoute.
- Oh, soit dit en passant, je ne me souviens pas t'avoir donner la permission de jouir, alors j'espère que tu réalise ce que cela signifie.

En moi même je me dit 'merde' probablement une semaine de plus jusqu'à  ce qu'elle me laisse jouir a nouveau.
Ignorant l'expression douloureuse sur mon visage, elle sʼessuie la main et jette la serviette sur moi puis quitte la pièce.
19ème semaine:
Ce soir j'arrive avant ma femme à  la maison. J'ouvre la boite à  lettre. Il y a un petit paquet avec l'adresse d'une société que je reconnais. C'est une maison de vente par correspondance qui propose des produits pour adultes. Je suis curieux mais je ne trouve pas le moyen d'ouvrir le paquet sans laisser de trace. Je le dépose sur la commode de l'entrée.
Plus tard, après que ma femme soit rentrée du travail, je vois que le paquet a disparu. Au court de la soirée, elle ne me dit rien à  ce sujet. Une fois que nous sommes dans la chambre, pendant que je lui masse les pieds je la questionne. Elle me répond mystérieusement.

- Oh, c'est juste un petit quelque chose que je pensais pouvoir être intéressant, nous verrons cela plus tard.
Deux jours plus tard c'est son jour de congé. Rapidement, je lui prépare son café et du pain grillé, puis je saute sous la douche pendant qu'elle mange. Je réalise qu'elle ne m'a pas donnée la clé avant que je prenne ma douche. C'est mauvais signe, sauf si comme parfois elle aime me taquiner en me laissant penser qu'elle a oubliée. Je me glisse dans le lit, ou déjà  elle m'attend.
Elle me prend la tête dans ses mains et me dirige vers sa chatte.
- Viens ici, viens me manger, j'en ai envie.
Je commence à  la lécher doucement.
- Non, plus fort, je veux être bien ouverte et humide.

Je rentre ma langue puis mes doigts en elle. Une fois que je la sens biens ouverte, je remonte vers son clitoris. Elle jouis rapidement, secouant fortement ses hanches.
- Oh, que c'est bon ce que tu me fait. Tu ne peux pas t'imaginer combien j'apprécie de plus en plus ta langue depuis ces derniers mois.
- Il semble qu'en ce moment tu apprécies que ma langue.
- Non, j'aime bien aussi de temps en temps sentir ta bite au fond de moi. C'est juste que c'est un tel souci de te libérer, de te faire sortir de la cage et puis de te verrouiller une nouvelle fois après.
Elle me pousse sur le dos.
- C'est pourquoi j'ai quelque chose pour toi...
Elle sort de sous son oreiller, un gode réaliste à  peine plus grand que ma propre bite et me le tend. Je vois qu'une des extrémités est creuse et que l'autre coté ressemble à  un gros gland.
Elle me reprend l'objet des mains et m'explique son fonctionnement.
- C'est une extension de pénis. Viens je vais te la mette.
Je la regarde incrédule et lui fait la réflexion.
- Je ne vais pas sentir grand chose la dedans. D'ailleurs, si tu aime tellement ma bite, alors pourquoi avons-nous besoin de cette extension? Même que parfois tu me dit que la longueur de mon sexe te fait mal.

- Idiot, bien sûr que normalement tu n'en a pas besoin.
Elle se penche près de mon visage et me donne un profond baiser en murmurant.
- Mais est ce qu'il faut que je te rappel que nous avons fait un arrangement?

Elle s'assoit à  califourchon sur mes jambes, roule la partie creuse comme une chaussette, pose l'objet sur ma cage puis le déroule. Il s'intègre parfaitement. Le caoutchouc serré tiens fermement en place. Je peux distinguer le contour de la cage en acier à  la base, mais sinon ça fait comme si j'avais une érection. Pendant qu'elle caresse l'objet, elle me dit.

- Oh là  là , on dirait une vrais. Je suis sûr que pour toi ça va être pareille.
Rapidement, elle se place au dessus de mon sexe et abaisse sa chatte sur ce nouveau jouet. Au fur et à  mesure de la pénétration, je peux sentir la pression de son vagin, mais pas sa chaleur ni le frottement de ses muscles. Je me plains en reculant un peu mon bassin.

- Hé, ça fait bizarre.

Ne m'écoutant pas, elle continue à  me chevaucher. Elle sert ses hanches contre les miennes emportée par son plaisir.

- Oh, j'ai l'impression que c'est toi qui est en moi, mais bien plus gros et profond.
Elle continue à  bouger ses hanches sur les miennes. Je tends mes mains pour lui caresser les seins et à  la taille, puis j'agrippe son cul. Je sais que nous sommes en train de faire l'amour, mais je ne sens rien. C'est pire que lorsque je porte son gode ceinture, pire que tout ce que j'aurais pu imaginer. Le sentiment est absolument affolant, et je commence à  bouger mes hanches frénétiquement pour sentir quelque chose, n'importe quoi. Inconsciente de ma frustration, elle murmure,.
- Oh, oui comme ça. Je peux sentir la bosse de ta cage au fond de moi, c'est merveilleux.
Elle penche sa tête en arrière, frissonne doucement et elle jouis.
- Oh oui, que c'est bon. Beaucoup mieux que d'avoir un gode à  l'intérieur de moi. Le meilleur que j'ai connu depuis plusieurs mois.

Elle se couche à  côté de moi et m'attire sur elle. En espérant que ce n'est qu'une distraction temporaire, je pousse soigneusement mon bas ventre contre elle. Elle est si humide que
Lʼextension qu'elle a posée sur ma cage rentre sans effort. Ses jambes s'enroulent immédiatement autour de ma taille. Je reprends mes mouvements avec un sentiment de luxure et de frustration. Peu après, elle mord mon épaule et s'agite contre moi. Nous baisons de cette façon jusqu'à  ce que je ne me rende plus compte de combien de fois elle jouis. Enfin, elle semble se détendre. Je l'a pousse sur le côté pour pouvoir la pénétrer par derrière. Elle ferme les yeux et me serre la main quand je plonge en elle en la remplissant profondément. Je ne peux toujours pas ressentir de plaisir, mais juste un léger frottement et une pression sur l'anneau autour de ma cage. J'espère que dans cette position je pourrai faire frotter mes couilles sur sa cuisse et ainsi me stimuler. Mais après quelques minutes il est évident qu'il n'y a aucun moyen pour moi d'avoir du plaisir avec cette extension. Ma femme, cependant, n'a aucun problème. Elle jouis à  plusieurs reprises avant de changer de position pour revenir à  nouveau sur moi. Je commence à  me plaindre de ne pas ressentir de plaisir.
- ça suffit, je te rappelle que la semaine dernière tu as jouis sans ma permission, et que pour cela tu dois accepter ma punition.
Elle semble énervée en me disant cela. Elle pose ses mains sur mes épaules et se penche pour m'embrasser. Je suis déçu et tente de lui dire avant qu'elle ne mette un doigt sur mes lèvres.

- C'est merveilleux, ton sexe me semble si réel, et au moins il n'y a pas de danger que tu jouisses avant que je t'en donne la permission. Tu ne trouves pas que c'est une bonne chose?

Je hoche la tête, ne sachant pas où cela va nous mener.

- C'est si bon de pouvoir faire l'amour longtemps comme ça, n'est-ce pas?

A nouveau, je lui fais un petit signe comme si jʼétaie d'accord.
- Je suis contente que tu pense comme moi, parce que dernièrement ça me manquais que nous n'ayons pas de rapport sexuel tous les soirs.

Elle me fait son petit discours en se collant à  moi. Encore une fois je ne réponds pas et je mʼattends au pire.

- Le vrai problème, c'est que c'est un tel souci de te déverrouiller de temps en temps, et puis tu es tout de suite trop excité. Si tu cherche à  te retenir ça casse le rythme, ou pire si tu jouis trop vite ce n'est pas agréable pour moi. D'autant que si je te punis, c'est comme si je me punissais moi-même. Tu nʼes pas d'accord?
Elle me serre fermement les couilles et je ne sait pas quoi lui répondre.
- Euh, oui, euh, non, enfin peut être...

Elle me fait taire en m'embrassant.
- Maintenant c'est beaucoup mieux. Nous pouvons avoir un rapport sexuel quand nous voulons. Avec cette extension, plus de problème, ont gagne du temps car il n'y a pas de déverrouillage, pas de nettoyage après et le meilleur de tout, tu peux me baiser aussi longtemps que je veux. Tu nʼas plus jamais à  t'inquiéter de venir trop vite. N'est-ce pas une merveilleuse idée?
Je commence à  avoir une boule au ventre, et me demande pour qui c'est une merveilleuse idée. Elle continue de me parler comme pour me convaincre.
- Et dire que tout cela parce que tu voulais un peu de chasteté pour ton anniversaire il y a quelques mois. Je te remercie, mon chéri, pour cette demande qui me donne tant de plaisir.
Elle se penche à  nouveau pour m'embrasser. Décidément, c'est une très mauvaise idée que j'ai eu cinq mois plus tôt. Inquiet je lui demande.
- Euh, tu veux dire qu'a partir de maintenant nous allons l'utiliser chaque fois que nous aurons un rapport ? Tu ne me libéreras plus, même pas pendant ton jour de congé pour que je puisse jouir?
Elle ne me répond pas. Angoissé, je lui pose de nouveau la question
- Dit moi, mais dit moi.

Elle me regarde en souriant.

- Idiot.
Sera sa seule réponse...
FIN
#402
Bonjour,

Merci Liocked24/7 pour ton invitation, je le ferais un jour promis.

La première fois le concours (de novembre) il n'avait pas été indiqué que les photos solo était acceptés, Madame est servie sans Madame c'était un peu difficile.

En décembre, La magie de la nuit de Noà«l ne m'avait pas inspiré... Désolé.

En janvier, Journée Internationale de la Chasteté j'ai failli poster une photo de ma libération mais Madame a trouvée que ma photo était un peu trash et respectant l'idée de ce forum je n'ai pas osé vous l'envoyer.

Dans tous les cas je trouve que c'est une très bonne idée et promis un jour j'y participerai mais a vos risques et périls  ;D

A bientôt
Les amours
#403
Journaux des encagés / Re : Ma nouvelle vie en cage
Février 03, 2015, 04:23:58 PM
Bonjour QuatreCentTrente,

Félicitation pour ce belle événement. Madame va pouvoir enfin te libérer a moins que le bébé occupe tout son temps...

Pour ma femme a chaque retour de la maternité ça a eue sur elle un effet nympho maniaque. Elle avait tout le temps envie et de toute les manières. Il paraît que c'est du a déréglementent hormonal. L'effet n'était a chaque fois que de courte durée mais bon quel pied. Peut être que ça aura le même effet sur la tienne.

Bon courage pour la suite par ce que l'arrivé d'un bébé est toujours une période de grand changement.

A bientôt.
Les amours

#404
Bonsoir a vous tous,

Pourquoi ne pas reprendre l'idée d'un podium photographique pour revoir les photos des participants. ça serait sympa de clôturer le concours de cette manière. A toi je jouer Liocked24/7

Les amours
#405
Bonjour,

Je vous transmet la deuxième partie. Bonne lecture et a bientôt pour la dernière partie.

Les amours


Dimanche:
Encore une fois, je me réveille de bonne heure. Je commence à  penser que le port de la cage a sur moi un effet stimulant. Je me réveille tous les matins avec une érection et sans la possibilité d'être déverrouillé, ce qui fait que je n'ai aucune excuse pour rester paressé au lit. Si je réveille ma femme pour lui faire un petit câlin, elle ne voudra sûrement pas me déverrouiller donc je préfère me lever pour faire le café. J'enfile un pantalon et sort chercher le journal. J'attrape une tasse de café et m'assoit sur la terrasse pour profiter de la brise fraîche du matin. Peu de temps après, ma femme viens me rejoindre. Voyant ses orteils vernis, je repense à  la soirée précédente et mon sexe se réveil. De nouveau je commence à  avoir mal, j'essaye de ne pas lui montrer.
Quelque temps après, je reprend mon travail dans le jardin. Ma femme part pour sur son jogging matinal. Une heure ou deux après, je fait une pause et rentre à  la maison pour vérifier mes mails. J'en profite pour faire une rapide recherche sur Internet sur "la chasteté masculine".
Il existe beaucoup de model de dispositif de chasteté pour homme. Il y a aussi plusieurs forum de discutions sur le sujet, mais la plupart des conversations semble tournées autour de la torture plus tôt qu'un jeu entre adulte consentant. J'espère trouver quelque chose d'un peu plus confortable que la cage que je porte, mais il n'y a pas à  grand chose d'autre. Sur le site Internet ou nous avions acheté certains de nos jouets, il y a un nouvel article intéressant, c'est une cage en plastique qui est censé être indétectables par les portiques de sécurité des aéroports. Sur le site web, je vois quelques photos intéressantes, mais ça me semble un peu trop gadget pour être portés à  long terme. En outre, la cage en acier inoxydable que je porte est assez confortable, et discrète. En soupirant, je retourne à  mon travail de jardinage.
Le reste de la journée passe vite, travaux de jardinage, le ménage, les courses, le dîner, puis une douche bien nécessaire. Finalement au cour de la journée je n'ai presque pas sentie la cage. Tant que je ne suis pas stimulé et que mon sexe ne tente pas de gonflé, je n'ai pas mal. Ma femme est déjà  sous la douche, je la rejoins. Comme d'habitude nous nous savonnons l'un et l'autre, je commence à  avoir un début d'érection. Pendant qu'elle me savonne le dos, elle presse ses seins contre moi. Avec ses mains elle attrape mes testicules. Dieu que c'est bon, je deviens rapidement fou de désir.

- Nous sommes dimanche soir, non? Est ce que ce n'est pas ce soir que tu es censés avoir ton cadeau d'anniversaire?
Je me rappel qu'elle m'avais affirmée avoir laissée la clé au bureau, je secoue la tête et lui répond.
- Je ne vois pas comment ce sera possible puisque tu nʼas pas la clé!
Elle s'assoit sur le rebord de la douche.
- Oui peut être mais si tu veux bien me faire jouir ici, maintenant, alors peut-être que j'aurai une surprise pour toi.
Espérant qu'elle m'a fait une blague en me disant qu'elle n'avait pas la clé, je m'agenouille a ses pieds, laissant la cascade d'eau chaude descendre sur mon dos. Je commence a la lécher très excité par la situation. Elle m'arrête.

- Non, ça ne marche pas comme ça. Utilise tes doigts à  la place.
Elle se remet debout et écartes les jambes. Je reprends mes caresses avec l'aide de mes doigts. Après quelques minutes, elle se raidit un peu, puis laisse échapper un soupir.
- Merci, dit-elle.
Je lui demande avec impatience.
- Alors, est ce que je vais avoir ma surprise ce soir?
- Je crois bien que je t'ai promis un super anniversaire, n'est ce pas? Alors rejoint moi vite. Je t'attends dans le lit.
Elle m'embrasse et me laisse terminer seul ma toilette. Merde, ma bite est toute dure et gonflée. Ma cage est équipé d'un dispositif anti-retrait et gonflé comme je suis c'est impossible de pouvoir l'enlevé. Vite il faut que je me calme. D'ici que j'aille au lit j'espère que mon sexe aura ramolli. Je fais tout pour penser à  autre chose...

Quand je sors de la salle de bains, je vois que la pièce est éclairée par quelques bougies. Ma femme est allongée dans le lit. Les draps recouvrent sa poitrine, elle porte une chemise de nuit noir brillant. Je me glisse dans le lit et m'approche d'elle. Je tente de la caresser mais elle rejette ma main.

- Pas touche. Allonge toi sur le ventre et place tes mains derrière ton dos.
Excité, je fais ce qu'elle me demande. Je sens qu'elle met des menottes en cuir sur mes poignets. Le problème, c'est que dans cette situation, je me remets à  bander encore plus fort. Je ne vois pas comment je vais pouvoir retirer la cage dans ces conditions. Je me demande, si je vais pouvoir la pénétrer cette fois ci ? Quand elle a fini de m'attacher les mains, j'essaie de me retourner, mais elle me repousse. Je l'entend faire quelque chose puis elle se penche sur moi. Elle met sa bouche contre mon oreille et murmure.
- Je pense que ce soir, puisque tu a été un bon garçon je vais te donner une belle surprise.

Ensuite elle noue un foulard contre mes yeux. J'entends des bruits dans la chambre, mais je n'arrive pas a les identifier. J'attends encore quelques minutes, ne tenant plus je lui demande
- Euh, je ne veux pas paraître ingrat, mais je pensais que ce soir nous allions, euh, tu sais...
- Hey, tu veux que j'arrête et que nous dormions?
- Non, non je pensais juste que tu allais me débloquer.
Enfin je sens ses mains sur mon corps. Elle masse mon dos, mes cuisses et mon cul avec ses doigts. Puis malicieusement elle répond à  ma question.
- Je ne sais pas ce qui t'a donné cette idée.
- Mais c'est toi ma chérie, tu m'a dit que j'allais pouvoir avoir ma surprise! Maintenant, je ne comprends plus.
- Je ne t'ai jamais dit que j'allais te libérer, j'ai dit que tu allais avoir un super anniversaire, c'est tout.
Soudain elle enfonce son doigt dans mon cul.
-Oh! Euh, oh, je, euh ... Hé, ce n'est pas juste!
- Bien sûr que c'est juste, laisse toi faire c'est moi qui décide de ce qui est bon ou pas.
Je la sent remettre un peu de lubrifiant sur mon anus puis a nouveau elle me pénètre. Je tente de résister un peu au début, mais bientôt son doigt coulisse facilement. Je gémit et pousse maintenant mon cul à  la rencontre de la pénétration. Après quelques minutes, elle rajoute un deuxième doigt. A cause de ce nouveau diamètre je continu à  gémir et à  bouger mes hanches. Je sais que maintenant ma bite est hors de contrôle. Je ne sais plus si elle est gonflée ou pas, je la sent a peine dans la cage. Elle me demande.

- Tu aimes ça?
La sensation est si troublante que je ne peux pas lui répondre. Devant mon silence, je l'imagine sourire, puis elle me dit.
- J'en était sur.
Elle cesse de bouger ses doigts. De moi même, je viens a leur rencontre. Je l'entend faire quelque chose que je ne reconnais pas. D'un coup je sent qu'elle m'injecte un peu plus de lubrifiant à  l'intérieur de mon cul, puis elle me guide afin que je me retourne sur le dos. J'ajuste mes bras de sorte que les poignets ne s'enfoncent pas dans mon dos et jʼessaie de me détendre. Elle me demande.
- Es tu prêt pour ton super cadeau d'anniversaire?
Je hoche la tête, pensant qu'elle va enfin me libérée de la cage.
- Surprise!

Dit-elle, en enlevant le bandeau. Je la regarde, elle est à  genoux sur le lit, placée entre mes jambes. Elle porte un harnais avec un gode rouge tendu entre ses cuisses. Je ne reconnaît pas ce nouveau gode qui est plus fin que celui que j'utilise habituellement sur elle. Je la regarde dérouler un préservatif le long de l'engin, puis elle se pencher vers moi. Je ronchonne.
- Euh... Tu ne vas pas.
D'autorité elle met un doigt sur mes lèvres.
- Détend toi, je suis sûr que tu va apprécier ce nouveau jeu. Tu vas avoir le super anniversaire que tu voulais.

Je reste captivé par la vue qu'elle m'offre avec son harnais. Elle me regarde comme si elle attendait que je lui dise 'non'. Mon sexe gonflé tente de s'échapper de la cage métallique. Elle met un peu de lubrifiant sur le bout du gode et le pousse contre mon cul. Elle appuie fort, ça me fait un peu mal car je sens mon muscle anal refuser la pénétration. Je plaide.
- Non, attend un peu.
Elle recule un moment, puis à  nouveau pousse l'engin vers ma rondel. Je sent que la tête du gode rentre un peu. Encore un fois je me plain.
- Doucement, ça fait mal.
Je ferme les yeux pour essayer de me détendre. Elle en profite pour pousser avec un peu plus de force.
- Aà¯e, aà¯e, aà¯e, aà¯e, aà¯e, ... oh ... oooooohhhhh.
Je soupir lorsque je sent la tête du gode passer mon muscle anal. J'ouvre les yeux pour la regarder. Elle sourit, elle est très sexy.
- Mmm, c'est tellement, tellement ... unh.
J'ouvre la bouche, lorsqu'elle retire le gode vers l'arrière. Lentement, elle ressort de moi jusqu'à  ce que le gland factice apparaisse. Elle rajuste sa position et se penche vers moi. Cette fois elle pousse un peu plus profondément. Bientôt, elle rentre complètement au fond de mon cul. Pendant la pénétration le gland frotte tout le long de ma prostate. Je commence à  ressentir au fond de mon ventre des contractions comme si j'allais jouir. La sensation est incroyable, je perds vite la capacité de parler de façon cohérente. Je balbutie pendant qu'elle se déchaîne sur moi.
- Oh, oui, unh que ... sent ... oh, oui, c'est ... mmm …
Bientôt elle est en sueur et toute tremblante. Je relève mes hanches pour soulager un peu sa position. De temps en temps elle me demande.
- ça ne te fait plus mal?
Je ne peux que hocher la tête pour lui signifier que non. Il me semble être en permanence au bord de la jouissance. J'ai un problème, je suis au bord, mais je n'arrive pas à  aller plus loin dans la monté du plaisir. Je gémis sauvagement.
- Oh, j'ai envi de jouir, s'il te plaît laissez-moi te pénétrer, s'il te plaît, j'ai besoin de jouir.
Elle ne ralentie pas son rythme. Elle se penche un peu plus, change l'angle du gode puis me pénètre d'avant en arrière, dedans et dehors, ce qui me procure encore plus de plaisir en massant ma prostate.

- Est ce que tu envi de jouir ou pas?
Dit-elle, en me taquinant. A nouveau je secoue la tête.

- Quoi, tu nʼarrives pas à  jouir, tu veux que je m'arrête?
Je rassemble le peu de lucidité qui me reste pour lui répondre.
- Non, non je veux ... jouir .... Ne t'arrête pas ... je me sent trop, euh ... uunhh...
Ma voix se perd le temps que j'essaie de me concentrer pour parvenir à  l'orgasme. Pour une raison que j'ignore le frottement sur ma prostate me rend fou de désir, mais je n'arrive pas a passer la barrière de la libération. Cette cage ne me laisse pas la possibilité de me caresser. Tout est si intense, si bon, si... Après ce qui me semble être des heures, elle ralenti finalement ses mouvements.

- Non, non, ne t'arrête pas... Je veux jouir, mais je n'y arrive pas, oh zut …
Enfin elle sort de moi.

- Eh bien, on dirait que ce n'est pas pour ce soir. Tʼinquiète pas, nous recommencerons.
Je retombe sur le lit, sanglotant de frustration. J'étais si près de jouir. Mon sexe est douloureux, mes testicules toutes gonflés, tous mes muscles sont endoloris. Je remarque à  peine son retour dans la chambre après qu'elle se soit nettoyée. Elle défait les menottes et je roule sur le coté. En souriant malicieusement, elle me demande.
- Alors, comment c'était?
Je lui réponds d'une voix tremblante.
- Incroyablement frustrant. Jʼétais au bord et c'était si bon.
Elle éteint la lumière et rapidement je m'endors, encore tremblant de frustration.
Lundi :
Comme d'habitude ma tentative d'érection matinale me réveille avant l'heure. Je suis surpris de constater que j'ai dormi toute la nuit. Soit je n'ai pas eu d'érection nocturne, soit j'étais tellement épuisé après mon 'super anniversaire' que j'ai dormi d'un trait. Je suis allongé sur le dos, les bras de ma femme sont sur ma poitrine, sa jambe sur la mienne. Mon cul me fait encore un peu mal, mes muscles sont endoloris, comme si quelques minutes avant nous étions encore en train de faire l'amour. J'essaie de sortir du lit sans la réveiller mais elle ouvre les yeux. Je me déplace vers elle pour me blottir contre son corps chaud pendant une minute. En me donnant un petit baiser, elle me dit.
- Joyeux anniversaire mon amour.
Je la remercie en me collant à  elle. Je resterais bien contre elle mais il faut que je me lève pour aller au travail. Je l'embrasse et comme elle commence plus tard aujourd'hui, je lui dis.
- Reste au lit ma chérie, tu as le temps.
Elle se retourne pour retrouver le sommeil. Je me lève, les jambes instables. Je fait du café, m'habille, et l'embrasse une dernière fois avant d'aller travailler. Elle me fait une remarque pleine d'espoir.

- Ne travaillez pas trop tard ce soir, c'est le jour de ton anniversaire.
Pas de risque que je traîne au travail ce soir, j'espère bien que nous ferons l'amour dès mon retour à  la maison.
Pendant toute la journée, je me sens faible, à  la fois physiquement et mentalement. Je pense que c'est une bonne chose d'être au travail ce matin car au moins je ne risque pas d'avoir des envies sexuelles ou autre choses. A la fin de la journée je me dépêche de rentrer à  la maison. Ma femme est dans la cuisine. Elle me sourit
- Bonsoir chéri, comment c'est passé ta journée? Comment te sent tu, bien?
Je n'ai pas le temps de lui répondre que déjà  elle me touche l'entrejambe comme pour vérifier la présence de la cage. En me serrant fermement le sexe. J'embrasse son cou et lui répond.
- Ne tʼinquiète pas elle est toujours là . As tu oublié la clé a ton travail, aujourd'hui?
Elle me regarde fixement pendant un moment, puis me taquine.
- Oh, la clé. Oui, je crois bien que je m'en suis souvenu cette fois. Pourquoi?
- Eh bien, euh, c'est lundi, et c'est mon anniversaire aujourd'hui, donc, euh, tu sais je crois que c'est le moment de ma libération?
- Pourquoi je devrais te libérer aujourd'hui? Hier au soir malgré tout ce que j'ai fait pour toi, tu nʼas pas eu envi de jouir, donc je pense que tu peux attendre encore un peu. Je ne veux pas te forcer, tu sais.
- Ouais, c'est ça fait la maligne. J'ai passé une journée de plus en cage alors, je pense que tu peux enfin me débloquer. Dès maintenant pourquoi pas, ou est ce je dois attendre ce soir que nous soyons au lit?
- Je ne peux pas te déverrouillez maintenant, le dîner est prêt nous allons passer à  table. Tu devras attendre encore un peu.
La soirée se passe presque normalement. Elle continue a me taquiné de temps en temps jusqu'à  ce qu'il soit l'heure d'aller nous coucher. Je prend une douche et me met au lit rapidement. Ma femme vient me rejoindre dans la chambre peu de temps après. Je pense qu'elle fait exprès de prolonger ma souffrance. Elle prend sa douche et viens me rejoindre au lit. Elle est nue. Encore humide, elle se blottir contre moi et guide ma main vers son sexe. Ses poils sont encore mouillés par la douche. Nous nous embrassons pendant quelques minutes, puis elle me demande tout doucement.
- S'il te plaît baise moi.
Je lui souri et répond.
- Euh, tu sais que je suis toujours verrouillé.
- Bien sûr, que je le sais. C'est aujourd'hui ton anniversaire, donc tu es toujours enfermé. C'est ce que tu souhaitais n'est-ce pas?
En évitant d'être sarcastique dans l'intonation de ma voix, je lui réponds.
- Euh, non, je pense que c'est plus tôt ce que toi tu souhaite. Bizarrement c'est comme dans ton rêve.
- A oui, c'est vrai, alors c'est moi qui décide. Tiens, prends ça, et occupe toi de moi, viens me sucer.
Elle me tend le gode en silicone et pousse ma tête entre ses jambes. En soupirant, je descends vers son sexe. Je commence par aspirer ses lèvres et enfin je masse son clitoris avec ma langue. Quelques minutes plus tard, un fois qu'elle à  jouis à  l'aide du gode, je continue à  la lécher tout doucement. Elle me dit.

- Chérie, continu à  me baiser bien profondément. Je veux le sentir comme ci un gros sexe tapait au fond de moi.
Je reprend ma place contre sa chatte humide et la taquine pendant une minute. Elle saisie mon bras qui tiens le gode et le guide d'autorité vers son sexe. Elle ne semble pas d'humeur à  jouer. Je la lèche pendant que je fait bouger le gode d'avant en arrière. Elle gémit constamment. Pour une raison que j'ignore, elle semble y prendre plus de plaisir que d'habitude. Enfin, elle bloque ma tête avec ses mains contre son sexe. Je lèche fermement son clitoris, tout en continuant à  la baiser avec le gode. Elle jouis d'un coup, en collant son sexe contre mon visage, puis retombe sur le lit en soupirant.

Je ressort le gode de son sexe, et remonte pour m'allonger sur elle. Je l'embrasse en me frottant a son corps. Mon dieu, qu'elle sent bon.
- S'il te plaît. Est ce que tu peux me libéré? S'il te plaît, tu mʼexcites tellement.
Elle secoue la tête puis me sourie malicieusement.
- C'est aujourd'hui ton anniversaire, et je t'offre ce que tu mʼas demandé.
Je gémis, et commence a me frotter contre elle. En tenant mes fesses avec ses mains elle m'arrête. Puis soulève ses jambes pour que je colle mon bas ventre contre le sien. Elle guide la pointe de ma bite en cage vers sa chatte humide. Je suis tellement fou que je pousse pour essayer de rentrer en elle. Il me semble que c'est ce qu'elle veut aussi. Nous nous embrassons, et ma cage rentre petit a petit à  l'intérieur de sa chatte élargie par les précédentes pénétrations. Elle m'attire encore plus vers elle. Je fais tout pour la pénétrer un peu plus. Je la sens s'ouvrir lorsqu'elle pousse son ventre contre le mien. Elle me prévient
- Attention, ne pousse pas jusqu'au bout et attend moi pour jouir.
Je fait attention et ne la pénètre que de la pointe de ma cage en faisant des mouvement d'avant en arrière. Elle cesse de m'embrasser et ferme les yeux. Mon dieu elle va jouir. Je n'en reviens pas qu'elle puisse jouir aussi facilement alors que je reste enfermé dans ma cage. Je suis tellement frustré que je décide de rentrer un peu plus profondément en elle. Malgré la cage, ma bite est tellement gonflée que je peux sentir la chaleur et l'humidité de sa chatte qui entoure les petits morceaux de chair qui dépasses à  travers les barreaux de ma cage. Je continue de cette façon, poussant de plus en plus profondément en évitant que la cage ne lui fasse mal. Quand je réalise ce que je suis en train de faire, je sens mon plaisir venir. Rapidement je suis au bord de l'explosion. J'ouvre la bouche, surpris et lui cri.
- Je pense que je vais jouir. Oh Dieu, je ne peux pas jouir avec cette cage.
Au lieu de m'arrêter, elle m'encourage.
- Oui, va y, c'est bon.

Quelques secondes plus tard, je ... ... coule. Pas comme un volcan en éruption, pas comme une jouissance qui libérerai mon plaisir au fond d'elle, non rien de cela. Ma cage métallique garde ma bite fermement sous contrôle, et m'empêche de jouir normalement. Gémissant, je sent des petits spasmes dans mon ventre, puis je vois mon sperme sortir de ma bitte et puis ... rien. Pas de libération, aucune excitation. Rien, c'est terminé. Je gémis de frustration
- Non, non. Non pas comme ça. Oh, non.
Elle est aussi surprise que moi.
- Mon pauvre bébé, tu a jouis? C'est ça?

Je hoche la tête, encore haletant. Je ne sens plus rien lorsque je sors de son sexe. Je suis dégoutté. A peine sorti, elle s'empare de mes cheveux, et guide ma tête vers le bas de sa chatte. Elle me dit avec reproche.
- Bravo, tu as pris ton plaisir. Je pensais qu'au moins tu m'attendrais. Tu es un égoà¯ste. Je t'avais dit de m'attendre. Maintenant que t'a eu ton plaisir tu va t'occuper de moi comme tu sais si bien le faire mais seulement avec ta langue.
Il ne me faut que quelques secondes pour comprendre ce qu'elle me demande.
- Euh, mais je n'ai pas eu de plaisir, je ne sais pas pourquoi mais c'est venu tout seul, c'est tout.
J'essaie de résister à  la pression sur ma tête un peu dégoutté par ce qu'elle me demande de lui faire après que je me soit vidé en elle.
- Aller pas de manière tu es à  peine entré en moi. D'ailleurs, moi aussi il m'est arrivé de te nettoyer la bite après que nous aillons fait l'amour. Il n'y a pas de raison pour que toi aussi tu ne prennes pas soin de mon sexe.
Elle appuie un peu plus fort sur ma tête, je cède. Bientôt ses jambes sont sur mes épaules, ma langue pénètre son intimité, je déguste nos mélanges de jus salé. Elle me semble très excité par la situation car il ne lui faut pas longtemps pour qu'elle jouisse à  nouveau. Je sent mon sexe qui commence a se réveiller.
Peu de temps après, elle est couchée sur le côté et dort dans mes bras. Ma bite en semi érection toujours enfermée dans la cage est collée contre son cul chaud. Je m'endors en me demandant ce que je pourrais demander l'année prochaine pour mon anniversaire.
Mardi:
Je me réveille avant que le réveil sonne. Mon sexe me fait mal, raide et coincé dans la cage. Je suis couché sur le côté, mon ventre contre son cul. J'essaie de ressentir à  travers les barreaux la chaleur tiède de son corps. Je roule sur le dos, en essayant de me calmer. Nous sommes mardi, mon anniversaire est terminé. Enfin, je vais pouvoir être libre. Je réfléchi aux différentes façons que nous allons utiliser pour faire l'amour. Ma femme se réveille, elle ouvre les yeux et se met sur moi. Elle me caresse pour tenter de me faire bander.

- Alors, tu as aimé ton cadeau d'anniversaire?
Je suis toujours frustré par la nuit précédente bien sûr, mais au moins maintenant je peux voir la fin de notre jeu.
- C'était parfais. Je suis content que tu sois réveillé. Je suis impatient de sortir de ma cage maintenant. Nous avons peut être le temps de faire un petit câlin avant de partir au travail? Je suis toujours en manque de n'avoir pas pu te faire l'amour correctement hier au soir.
Elle lève un sourcil.
- Ah, vraiment, tu es en manque?
Je sens de l'exaspération dans sa question. Je continu malgré tout.
- T'as pas idée. Toute cette excitation hier au soir et puis je n'ai pas vraiment jouis? J'ai besoin de quelque chose, n'importe quoi. Une branlette peut être? S'il te plaît?
Elle reste calme pendant quelques instants.
- Euh, non, nous n'avons pas le temps pour ça maintenant. D'ailleurs, hier t'as eu une sorte de libération, alors de quoi te plais-tu?
- Oui, marrant. Cela ne compte pas, ce nʼétait pas vraiment une jouissance.
Elle hausse les épaules et me regarde tranquillement. Je reprends.
- Bon alors, donne moi la clé. Je ne vais pas encore attendre jusqu'à  ce soir que tu rentres du travail?
Elle semble déçue, elle caresse ma poitrine avec ses mains et se relève pour me regarder.
- Eh bien, moi qui pensait que nous avions eu une période d'expérience assez amusante, ça n'aura même pas durée une semaine. J'ai eu mes ongles de pieds faits, de bon massage, et j'ai obtenu de la tendresse et des câlins presque tous les jours.
Elle s'arrête une instant, détourne les yeux comme ci elle cherchait ses mots puis à  nouveau me regarde.
- De plus je trouve que c'est plutôt bien pour moi. De la manière que nous avons fait l'amour il n'y a pas de problème de nettoyage ou de perte importante pour moi après. Je te promets que si je décide que nous continuons à  jouer avec la cage, je te laisserais te soulager de temps en temps comme la nuit dernière. En plus j'ai vu que tu aimais bien prendre soins de moi après. C'est sur ton sexe risque de me manquer, mais tu me fais si bien l'amour avec le gode que je pense pouvoir m'en passer pendant un certain temps.
- Un certain temps? Mais il n'en n'est pas question. Qu'est-ce que tu racontes?
Elle pousse un soupir.
- Ce que je dis c'est que je ne vois aucune raison valable pour te libérer. J'ai tout ce que je veux. Tu pourras venir en moi de temps en temps. Même si pour toi ce n'est pas aussi bien qu'avant, je trouve que de cette façon tu continu a t'intéresser beaucoup plus à  moi.
- Mais je m'intéresse toujours à  toi!
Je crie presque dʼangoisse. Je me demande a quel jeu elle joue. Elle met un doigt sur mes lèvres.
- Ce que je veux dire c'est que tu es plus galant, plus attentif et je trouve que tu mʼaides beaucoup plus à  la maison qu'avant. Ainsi je contrôle tes envies.
A nouveau elle cherche ses mots, me sourit puis reprend.
- J'aime les choses telles qu'elles sont. Je sais que c'était censé être ton cadeau d'anniversaire, mais je ne veux pas te libérer. Ou bien, peut-être pour notre anniversaire de mariage dans quelques mois. Il te suffit de penser au merveilleux plaisir que nous allons avoir pendant cette période.
Enfin elle porte le coup de grâce.
- Je t'aime et j'aime que tu mʼappartiennes.
Pour toute réponse, je gémis en pensant à  l'avenir.

A suivre...
#406
Journaux des encagés / Re : Liocked24/7
Janvier 30, 2015, 08:58:21 PM
Bonsoir  Liocked24/7,

Je trouve que vos échanges verbales, écrits ou visuels sont tous très romantiques et amoureux.
Il y a une grande complicité dans votre couple et ça fait plaisir a lire.
Amusez vous, profitez de la vie c'est magnifique.

Les amours
#407
Bonsoir Liocked24/7,

Merci pour ton encouragement. C'est vrais que cela demande un peu de travail mais je trouve qu'en France nous disposons de trop peu de texte sur la chasteté. Contrairement a l'Amérique du nord, les pays anglo-saxons ou les allemands, tiens bizarrement des pays au climat froid y aurait il une incidence sur la facilité de porter la cage ou a réchauffer le pénis? 

Bon la je mʼégare, je disait qu'a pare de comprendre parfaitement l'anglais ou lʼallemand nous n'avions que trop peu d'histoire traitant de ce sujet c'est pourquoi j'ai ouvert cette discussion sur le forum et invité tout un chacun a y participer en fonction de ce qu'il pouvait offrir aux autres.

Pour l'épouse nympho je sais pas mais certainement quelle préparait son coup depuis un certain temps  :) Cela reste une histoire avec peut être des imperfections mais moi j'aime bien.

J'essaie de vous envoyer la suite rapidement.

Les amours
#408
Un cadeau d'anniversaire inhabituel
Cette histoire a été publiée le 20 avril 2007 par Tom Allen sur son site https://vanillaedge.wordpress.com/ . Il a publié cette histoire sur différent site web. Elle a été copiée et publiée de nouveau par d'autres. En conclusion de la préface il écrit "Pour ceux que cela intéresse, profitez-en!".
Aujourd'hui si j'ai traduit cette histoire c'est avant tout pour mon plaisir, puis j'ai décidé de la mettre à  votre disposition. J'espère que vous ne m'en voudrez pas si l'orthographe n'est pas parfaite ou que la traduction n'est pas exacte par rapport à  la version originale. Je ne suis ni prof de français, ni prof d'anglais mais simplement fan des histoires de chasteté dans le couple.
Parfois dans la traduction j'ai été obligé de faire au plus simple. Si d'autre internautes ont des chefs dʼœuvres comme celui que vous allez lire, merci de nous en faire profiter.
Je remercie Tom Allen pour son œuvre et son talant, si un jour il tombe sur cette traduction j'espère qu'il ne m'en voudra pas.
Cette histoire est en trois parties, alors un peu de patience. En attendant bonne lecture.
Les amours

Mercredi :
Quelques jours avant mon anniversaire, quand ma femme me demande ce que je souhaite comme cadeau, je la regarde avec envie. Comme d'habitude, elle lève les yeux au ciel
- Mais tu ne penses qu'a ça?
- Eh bien, pourquoi pas? Toujours en forme, la bonne épaisseur, la bonne dimension et tu n'a jamais été déçu.
Nous avons cette conversation chaque année et comme chaque année je ne reçois jamais ce que je demande. Cette année encore, nous sommes au lit pendant que nous avons cette conversation. Nous sommes blottit l'un contre l'autre, je titille son oreille avec mes lèvres.

Elle se penche en arrière et tourne son visage vers moi.
- Peut-être que pour une fois, je pourrais t'offrir quelque chose de différent... Je pense qu'au lieu de te donner du sexe, peut-être que je pourrais, euh, ne pas te donner de sexe.
- Mmph, bien sûr ... Un, quoi ?
- Eh bien, j'ai pensée...

Je la coupe dans son explication.
- Ah, non, tu sais que j'aime trop te faire l'amour...
- Idiot, laisse-moi finir. ça fait longtemps que nous n'avons pas joués avec la cage de chasteté. Donc j'avais pensée qu'au lieu que tu mʼharcèles pour avoir du sexe pour ton anniversaire, je pourrais, t'enfermer pendant quelques jours. Ensuite, si je le souhaite, nous pourrions avoir une petite soirée coquine pour ta libération.

Je réfléchi pendant quelque instant.
- Et qu'est ce que ça me rapporte de ne pas avoir pas de sexe?
J'embrasse son cou en attendant de sa réponse. Elle tend la main vers mon bas ventre pour me caresser.
- Il te suffit de penser dans quel état d'excitation tu sera quand j'aurai enfin décidée de te laisser sortir. D'ailleurs, je crois me souvenir que la dernière fois tu as trouvé cela excitant d'être contrôlé par moi, non.

Je doit admettre que les rares fois ou nous avons joués avec la cage de chasteté j'ai bien aimé cela et que depuis je suis devenu accroc de ce genre de jeu sexuel.
- A encore une chose, si tu acceptes le jeu, je veux que tu tʼengages à  satisfaire toutes mes envies et cʼest moi qui décide de quand et comment.
Pressant mes testicules avec ses doigts elle fini par me convaincre dʼaccepter toutes ses conditions.
- D'accord, ça paraît bien. Alors pour mon anniversaire, s'il te plaît, ne me donne pas de sexe.
- Très bien, tes désires son des ordres, bébé, pour ton anniversaire tu n'aura pas de sexe. Maintenant éteint la lumière il est tard.
Comme d'habitude nous nous installons rapidement pour dormir. Peu de temps après elle s'endort contre moi, me laissant fantasmer sur mon prochain cadeau.

Jeudi :
Jeudi soir, elle prend une douche avant de me rejoindre au lit. Profitant de l'occasion, j'embrasse son dos, ses épaules, et commence à  la caresser. Devenant de plus en plus insistant, je colle mon corps chaud contre le sien. Nous nous embrassons. Ma bite dure trouve rapidement sa chatte humide. Lentement, je la pénètre, je la sens se raidir. Elle cesse de m'embrasser, penche sa tête en arrière et ferme les yeux. Comme a chaque fois, la première fois que je la pénètre elle jouis toujours rapidement. Je ralenti mes coups, je ressort lentement d'elle, puis descend vers son ventre en embrassant ses cuisses. Je commence a sucer sa chatte. Elle place ses cuisses sur mes épaules et coince ma tête contre son sexe. A nouveau elle jouis facilement. Après un long silence elle murmure.
- Encore, s'il te plaît ne t'arrête pas.
Je reprends mes caresses et au bout de quelques minutes elle se raidit encore une fois et retombe sur le dos. Enfin elle m'attire sur elle pour que je pénètre a nouveau dans sa chatte humide. Je rentre profondément jusqu'à  ce que les poils de mon sexe caresses ses lèvres intimes. Je lui fait l'amour pendant quelques minutes jusqu'à  ce qu'elle enfonce ses ongles dans mon cul et me bloque contre elle. Encore une fois elle jouis, puis enfin ouvre les yeux pour me regarder.
- Mmmm, tu es si bon pour moi. Maintenant, met toi sur le dos que je te chevauche.
Je lui souri.
- Tes désirs sont des ordres.

Rapidement nous changeons de position. Elle s'assoie sur mon sexe dur et commence a bouger doucement. Quelques instants après, je mʼaperçoit rapidement qu'elle va avoir un autre orgasme. Je me plains.
- Hé, ce nʼest pas juste! Elle presse ses hanches contre les miennes et jouis encore une fois.

Elle reste allongée sur moi, ses seins contre mon torse. Quelques instants plus tard elle me dit.
- C'est trop bon de faire l'amour avec toi.
Je tiens ses hanches et bouge en elle, en essayant de prendre mon plaisir. Elle me demande.
- Tu a peut être envi de jouir?
- Non, pas encore. Je suis au bord, mais j'essaie juste de faire durer un peu plus longtemps le plaisir.
Elle se redresse et m'embrasse. A nouveau, en bougeant ses hanches, je vois qu'elle essai de me faire venir. Encore une fois elle me demande de façon insistante.

- Tu ne veux toujours pas jouir?

Je me concentre en secouant la tête. Elle me sourie.
- Tu sais, je pensais à  te faire quelque chose de spécial pour ton anniversaire.

En essayant de me contrôler, je lui réponds.
- Si c'est sexuel, ça me convient.
Je ferme les yeux en imaginant ce que ça pourrait être. Cette année, mon anniversaire tombe un lundi soir. Comme d'habitude après notre journée de travail je pense que nous serons tous les deux trop fatiguer pour faire quelque chose de vraiment 'spéciale'. Mentalement je soupire, puis j'ouvre les yeux. Elle est penchée sur mon corps, son visage au-dessus de moi. En voyant la façon dont elle me regarde, j'imagine quelque chose de très différent. Je l'imagine seulement vêtue d'un corset de cuir, brandissant un fouet et me forçant à  ... Merde, je suis au bord de la jouissance. Je tiens ses hanches pour la faire ralentir un peu.

- Tu veux encore te retenir?
- Juste une minute, je me sens si bien.
- Eh bien, moi j'ai envie que tu jouisses rapidement parce qu'après je veux que tu fasses quelque chose pour moi.

J'arque mes sourcils et lʼinterroge du regard. Elle se penche en avant pour atteindre la table de chevet. Je lʼentends fouiller dans le tiroir de notre table de nuit. Quelque chose cogne contre le bois, et quand elle se redresse, elle tient ma cage de chasteté entre ses doigts.

- Une fois que tu auras jouis, je veux que tu mettes ça.
Lorsqu'elle me dit ça, ses yeux brillent, puis elle rajoute.
- Je vais t'enfermer pendant un certain temps.
Malgré moi, je sens mon orgasme approcher. Je l'ai déjà  porté pour elle avant, mais elle ne m'a jamais fait une demande aussi directe. J'adore quand elle se fait dominante. Je lève les yeux vers elle, en me demandant si elle est sérieuse. Elle me sourit.
- Tu vas porter ceci, et puis peut-être, que je te donnerais un cadeau d'anniversaire que tu n'es pas prêt d'oublier.
Rapidement je pense que mon anniversaire c'est lundi prochain, seulement quelques jours à  attendre. Enfermé là -dedans jusqu'à  dimanche soir ou au plus tard lundi? Ce qui veut dire que je serais enfermé tout le week-end. D'autre part, si elle me propose de jouer avec la cage, peut-être qu'il y a une chance que je sorte un peu avant. Si je me montre gentil avec elle, peut-être qu'elle me libérera le samedi. Je lui demande.

- Euh, tu ne vas pas m'enfermer tout le week-end, quant même?
- Ont verra, si tu mérite d'être libéré rapidement ou pas. Allez maintenant, tu jouis en moi ou tu veux qu'ont arrête tout de suite et que je te mette la cage?
Je ne peu plus me retenir, je gémis bruyamment et jouis au fond de sa chatte.
Quelques instants plus tard je suis couché sur le lit. Elle est allongée sur moi, je lui murmure à  l'oreille.
- Oh, ça a été le plus belle orgasme que j'ai eu depuis je ne sais pas combien de temps.
Elle m'embrasse pendant quelques instants, puis lentement, se lève pour prendre une serviette. Elle essuie son sexe du trop plein de ma jouissance. Son sexe reste ouvert, il est désormais devenu sensible. Je me lève pour aller aux toilettes. En revenant, je me glisse dans le lit et je vois qu'à  nouveau elle me montre la cage puis me demande.

- Tu es prêt?
Voyant qu'elle est sérieuse, je lui prend la cage des mains et place l'anneau en acier autour de mes couilles. Je place ma bite dans le tube et attends. Elle me tend le cadenas que je met dans le trou de la bague. Repoussant mes doigts sur le côté, elle actionne le mécanisme elle même et j'entends un 'clic'.
- ça y est, maintenant nous pouvons dormir, je suis fatiguée.
Malgré l'énorme orgasme que j'ai eu, je sens ma bite revivre à  nouveau dans le tube. J'essayai de l'ignorer, et m'installe contre ma femme. Elle ne tarde pas à  s'endormir. J'écoute son souffle régulier et rapidement je la suis dans son sommeil.

Vendredi :
Vendredi matin, je me réveille avant que le réveil sonne. Mon sexe tente de durcir dans le tube de ma cage métallique, mes boules sont en feu. Les premiers jours sont les plus durs, je sais par expérience que le confinement de mon sexe dans la cage va me tenir éveillé. Mon gland doit être rouge d'excitation et ma peau marquée par les trous d'aération qui sont tout le long du tube. Je me recroqueville derrière le dos de ma femme et essayai de me calmer en appuyant mon bas ventre contre son cul chaud. Comme d'habitude, ça ne fait qu'empirer les choses. Après un quart d'heure, je sais que je ne pourrais pas me rendormir. Je pousse ma main entre ses jambes et frotte doucement son sexe. Quelques instants plus tard, elle gémit pendant son sommeil et se retourne sur le dos. Maintenant j'ai plus facilement accès à  son sexe. Bientôt sa respiration s'accélère, et sa main se déplace pour me caresser. Elle me serre doucement les couilles. Je vois un léger sourire sur ses lèvres pendant qu'elle tâte ma bite a travers la cage. Bientôt mes doigts l'amène à  l'orgasme. Sa main, qui pour l'instant ne m'a apportée que de la frustration, arrête ses caresses. Je chuchote a son oreille.
- Nous pourrions peut-être faire un câlin?
Ses yeux sont toujours fermés et elle secoue la tête.
- Je suis encore endormi, j'ai besoin d'un peu plus de sommeil. Lève toi et arrête de me déranger.
Je l'embrasse dans le cou et sort du lit pour me préparer a partir au travail. La journée passe doucement. De temps en temps je sent mon sexe bouger dans la cage, et me demande comment je vais pouvoir tenir tout un week-end. Lors de mes déplacements au bureau, je fais attention que cela ne se remarque pas trop. Dans la journée il m'arrive dʼoublier que je porte une cage de chasteté et parfois un peu péniblement, je reprends vite conscience que je suis mis en cage. Enfin ma journée de travail s'achève, il est temps de rentrer à  la maison. Dès que je passe la porte de notre domicile, je remarque de moi-même que je suis plus tendre avec ma femme. Dès mon arriver je la touche et l'embrasse tendrement. Mon attitude envers elle change et je la regarde amoureusement comme aux premiers jours de notre vie commune. Pendant toute la soirée, elle se colle volontairement à  moi. Caressant la bosse de mon pantalon et me demande
- Comment te sent tu là  dedans? J'ai pensé a toi toute la journée. J'ai bien aimé hier au soir...
Je vous assure que ses petites phrases innocentes ont le pouvoir de m'exciter. Après le dîner, pendant que je fais la vaisselle elle ne se prive pas du plaisir de me toucher l'entrejambe. Pour bien m'exciter, elle pousse son cul contre mon sexe, au moins une douzaine de fois au cour de cette soirée. Au moment de se coucher, je suis déjà  très chaud, et je ne me cache pas pour lui montrer mes envies. Après une douche qui me permet de me calmer un peu, je me met au lit. Ma femme continu a se montrer très 'garce' et je ne suis pas surpris quand elle m'annonce qu'elle va prendre une douche avant de me rejoindre. Quelques minutes plus tard, elle reviens dans la chambre, se couche et colle son corps nu et humide contre moi. Elle se penche pour caresser mes couilles.
- Ce n'est pas trop difficile? Je suppose que tu n'ai pas trop intéressé par moi ce soir. Peut-être que nous devrions dormir?
- Je sais que je ne peux pas bandé mais je peux peut être faire quelque chose pour toi?
Elle comprend mon message, peu de temps après, j'embrasse son sexe chaud. Depuis le début que nous sommes ensemble, elle a l'habitude de profiter de mes caresses orales, mais ce qu'elle préfère plus que tout c'est une lente pénétration profonde. Je suis toujours étonné de sa facilité a avoir des orgasmes multiples. Ce soir, pour moi c'est impossible de la pénétrer alors je fait de mon mieux pour lui donner un ou plusieurs orgasmes avec ma bouche. Je suce ses lèvres et taquine son clitoris avec ma langue. Comme d'habitude elle apprécie ce que je lui fais et en jouis rapidement. Pendant une minute, je fais une pause, en lui embrassant les cuisses et le ventre. Je m'apprête à  lui lécher encore une fois sa chatte, quand elle m'arrête.
- Non, maintenant je veux que tu me prennes.
- Euh, je ne peux pas, enfin je veux dire, sauf si tu me, euh...
Elle me coupe la parole.
- Non idiot, prend le jouet qui est dans le tiroir.
Elle veut sans doute que j'utilise le nouveau gode en silicone que nous avons achetés récemment. Je le sort du tiroir et rampe vers le bas de son ventre. Je la caresse lentement avec le jouet, lèche son clitoris et les lèvres de son sexe. Bientôt elle remue ses hanches en fonction de son plaisir. J'aurais pu la faire jouir rapidement, mais je préfère la taquinée avec le jouet en le retirant et le poussant a nouveau au plus profond de son sexe. Certainement lassée par mon geste elle m'avertis avec autorité.
- Arrête de jouer, fait moi jouir ou tu vas le regretter.
- Quoi ? Pourquoi tu aime bien jouer avec moi, alors pourquoi pas moi?
Les yeux fermés, elle me répond.
- Parce que tu es censé faire ce que je veux. Pas toi.
Elle garde les yeux fermés tandis que je continu a lui manger le sexe et a la baiser avec le gode. Enfin elle se raidit et saisi mes cheveux, signe que c'est particulièrement bon pour elle. Elle plaque ma figure contre son sexe. Je continu à  lui masser le clitoris avec ma langue. Enfin, elle gémie et retombe sur le matelas. Je m'arrête de la lécher et retire le gode. Il brille de son jus. Elle me vois le regarder puis m'ordonne.
- Lèche le pour le nettoyer.
Je lui fait un clin dʼœil, et lèche les traînées blanchâtres qui sont collées au gode, comme si c'était un cornet de glace. Je bande tellement que j'en ai mal, elle est toujours d'humeur à  jouer. Elle me dit.
- Tu sais ce que nous n'avons pas essayé depuis longtemps? Le gode ceinture.
Surpris, je lui réponds.
- Tu es sérieuse?
Elle hoche la tête.
- Oui, dépêche toi de le mettre.
J'ouvre a nouveau le tiroir et sort l'enchevêtrement de cuir et de boucles qui font parti du gode ceinture. Je me glisse rapidement dans le harnais que je boucle sur mes hanches. Je le place un peu plus haut sur mon ventre car ma bite gonflée est sur l'emplacement habituel. Quelques instants plus tard, j'ai un deuxième sexe entre les jambes. C'est un sentiment étrange car je ne ressens rien lorsque je la pénètre. Elle est un peu surprise.

- Oh, ce qu'il est froid.
Jʼessaie de me réglé sur un rythme de va et viens tout en douceur. Le bout de mon sexe tente de sortir de la cage et touche son cul.
- C'est bon, je peux sentir deux bites en même temps.
Maintenant, devant mon manque de liberté, je gémis de frustration. Ma femme, par contre, se met a haleter et tremble lorsqu'elle a un autre orgasme. Comme d'habitude, elle jouis rapidement. Je ralenti mon rythme en sortant presque entièrement le sexe factice, puis je replonge lentement en elle. C'est difficile pour moi de savoir ce qu'il faut faire puisque je ne peux pas réellement sentir la pénétration. Il me semble que cela lui convient car ses hanches bouges et reviennent contre les miennes. Elle me demande malicieusement.
- Tu es prêt à  me faire jouir encore?
Jʼacquiesce d'un mouvement de tête et je continu doucement mes mouvements, en poussant ma cage contre son cul. Je la vois se mordre les lèvres, et quelques instants plus tard, elle saisie mon cul avec ses ongles et me tiens fermement coller à  elle. Je ralenti a nouveau le rythme.
-Non, ne t'arrête pas, j'ai encore besoin.

Je reprends un rythme plus rapide et profond. Sans être capable de sentir ses lèvres chaudes autour de mon sexe, j'ai du mal a savoir ou elle en est. Sachant que ma bite est enfermée dans la cage et que je n'ai aucune possibilité de jouir, je deviens presque fou. Je regarde le gode entré et sortir de son sexe et espère follement ressentir quelque chose. Je ne remarque même pas son orgasme jusqu'au moment ou elle pousse à  nouveau un petit cri.

Encore une fois, elle s'effondre sur le lit sans ouvrir les yeux.
- Mmmm, c'est merveilleux. Oh mon Dieu, que c'est merveilleux.
Elle me sourit doucement.
- Peut-être que je n'aurai plus besoin de te libérer, après tout...
- Tu rigole j'espère, tu ne vas pas me dire que je vais rester comme ça! Je vais exploser si tu ne me libères pas.
- Mais c'est tellement agréable. Tu me suces si bien, et maintenant tu peux même me baiser en même temps. En plus je n'ai plus de problème de nettoyage après ou dʼincontinence comme lorsque que tu jouissais en moi. Maintenant je peux m'endormir directement sans passer par la salle de bain.
Elle ouvre les yeux et me sourie méchamment. Je mets une main sur sa poitrine, elle me repousse.
- Bon, ça suffit pour ce soir. Il est temps de dormir.
- Suffit pour qui?
Je suis tellement mal que j'ai vraiment besoin de jouir. Je ne vais jamais réussir à  dormir comme ça. Je défais le harnais et retire le gode ceinture. Elle me répond.
- C'est assez pour moi, dit-elle. Si tu as vraiment trop mal, va mettre un gant d'eau froide sur ta cage. ça devrait soulager tes envies.

Constatant qu'il ne se passera rien d'autre ce soir, j'emporte les jouets dans la salle de bain pour les nettoyer. J'ai envie de faire pipi, mais je ne pense pas pouvoir débander suffisamment. Une fois les jouets nettoyés, je retourne au lit. Je la retrouve presque endormi. Frustré au-delà  de mes espérances, je me recroqueville contre son dos. La sensation de son cul chaud contre moi est un réconfort et une torture a la fois.

Samedi :
Je n'ai pratiquement pas dormi de la nuit. Mon sexe est enflé et douloureux. J'ai du avoir au moins une douzaine d'érection, ou plutôt des tentatives d'érection pendant la nuit. Chaque tentative me rappel que mon sexe est sous le contrôle de ma femme. Au petit matin, je suis tombé dans un sommeil agité. Nous n'avions pas mis le réveil pour cette première journée du week-end. De toute façon je me suis réveillé tôt a cause de mon sexe enfermé. Ma femme, bien sûr, dors encore. Je ne veux pas la réveiller, mais j'espère que peut-être, je pourrais la convaincre dans la journée de me laisser sortir pour avoir un petit soulagement. Bien que je ne suis en cage que depuis jeudi soir, il me semble que ça fait déjà  une semaine. Les premiers jours sont toujours les pires. Je n'ai jamais été plus loin que quelques jours. Une fois, ma femme est partie pour son travail pendant une semaine, j'ai porté la cage tout ce temps, mais ça mʼavait semblé plus facile car elle n'était pas là  pour me donner des envies. Loin des yeux, loin du cœur, je suppose.

Je la caresse, elle se réveille facilement. Un peu trop facilement, car presque aussitôt elle me demande de descendre vers son sexe. Elle m'explique en plaçant ses cuisses autour de ma tête.

- J'ai fait un beau rêve. Tu passais ton temps à  me sucer et me baiser avec le gode, et tu ne jouissais jamais. J'étais ta reine et tu t'occupais bien de moi.
- Ah oui, c'est effectivement un beau rêve.
Sans vouloir être ironique, jʼessaie de jouer avec ses sentiments pour ne pas la contre dire.
- Hum, je pense que tu a rêvé de ça parce que ton sexe à  envi de sentir le mien. Je suis persuadé que rapidement mon sexe te manquerais de trop qu'ils ne pourraient se passer l'un de l'autre...
- Chut, ça suffit, en attendant mange moi.
Je lèche son sexe et la suce jusqu'à  ce qu'elle ai deux orgasmes, puis je remonte sur elle en embrassant son cou. Jʼessaie au cas ou.

- Euh, tu es sûr que ton sexe ne veut pas un peu de ma bite?
- Hmm, peut-être que je voudrais bien te sentir en moi. Cependant c'est dommage que tu ne puisses pas.
- Bien sûr que je peux. T'as juste a me déverrouillé, je sort de cette cage et je te donne la plus belle queue gonflée que t'as jamais eu. çà  ne te tente pas?
Elle m'embrasse et me repousse en arrière.
- Oh si bien sur ce serait merveilleux, mais tu ne pourras jamais sortir de cette cage de tout le week-end, même si j'en ai envie.
- Bien sûr que je peux en sortir, si tu me donne la clé... et ... qu'est-ce que tu veux dire par - même si t'avais envie de me débloquer?
Je mʼassois brusquement dans le lit. Avec douceur, elle m'attire vers elle.
- Ah, je ne t'ai pas dis? J'ai laissée la clé au bureau. Je voulais éviter toute tentation, car je sais combien tu peux être convaincant dans ces moments là .
Elle me sourit et descend sa main pour serrer ma bite gonflée. A son contact je gémis. Il semble que pour moi attendre lundi soir est désormais inévitable. Elle remonte les draps sur elle et se prépare à  se rendormir. Je suis tellement découragé que quelques minutes plus tard, je me lève pour préparer un café pour nous deux. Après avoir pris mon petit déjeuné, j'enfile des vêtements pour aller travailler dans le jardin. J'y passe le reste de la journée. Je creuse, je transporte les débris, je coupe et ratisse le jardin. A la fin de la journée, le bénéfice de mon énergie refoulée a permis d'obtenir un bel endroit de détente.
Elle n'est même pas venue me voir une seule fois de la journée, même pas pour me taquiner comme elle le faisait hier au soir. Résultat, mon sexe ne me fait plus mal. Le soir je met quelques grillades sur le barbecue, et nous passons une agréable soirée en toute simplicité. Ensuite je saute dans la douche ou elle vient me rejoindre. Presque aussi tôt elle me dit.
- Je suis fatigué, est-il possible que nous n'ayons pas de sexe ce soir?
De nouveau elle recommence a me taquiner. Je sent ma frustration remontée et lui demande.
- Comment pourrions-nous avoir un rapport sexuel de toute façon?
Nous nous savonnons l'un et l'autre sous la douche, en sachant que je ne pourrais pas sortir de ma cage. Pendant la douche, elle repousse ma main qui tente de caresser son sexe, peut-être qu'elle est vraiment fatiguée. Soudain j'ai une idée.
- Peut-être que je pourrais te détendre avec un bon massage?
- Oui ce serait bien.
Nous terminons la douche. Elle se couche sur le lit. Je caresse sa peau avec de l'huile chaude. Ce n'est pas un massage sexuel, c'était juste des caresses. Bientôt son dos, ses jambes et ses fesses sont aussi lisses que la soie. Elle roule sur le dos pour que je puisse m'occuper de son autre coté. Je commence par ses épaules et sa poitrine, puis j'étale de l'huile sur son ventre, ses cuisses et le long de ses jambes jusqu'à  ses pieds. Elle se plaint.
- Mes pieds aussi sont secs.
Immédiatement je m'en occupe avec le restant d'huile. Il me vient une idée, je me lève pour prendre une serviette dans la salle de bain. J'en profite pour attraper une bouteille de dissolvant, des boules de coton et une petite bouteille de vernis rouge. Toujours nu, je lui dis de passer sur la chaise que nous avons dans notre chambre. Elle s'assoit au bord, je met de l'acétone sur une boule de coton puis je frotte ses ongles de pieds avec. En quelques minutes, son vieux vernis est enlevé. Elle ne dit rien pendant tout le temps que dure l'opération, mais en voyant mon sexe gonflé à  travers les barreaux de la cage, elle me demande.
- Tu ne serais pas un fétichiste des pieds?
Je lui fait mon plus beau sourire et lui répond.
- Ne t'inquiète pas, je profite juste du moment. J'aime bien quand je m'occupe de toi. Bien sûr, si tu veux voir en moi un fétichisme des pieds...
Je lève les yeux vers elle, puis reprend mon travail. Je met du coton entre ses orteils et prend ses pieds que je pose sur mes jambes. Je les frottes avec une serviette propre et commence à  étaler le nouveau vernis. Je pense qu'elle est plutôt surprise de me voir aussi concentré sur ce que je fais. Je fais attention de ne pas en mettre partout. Finalement ce n'est pas différent de la peinture que je faisais à  l'époque sur des maquettes. En quelques minutes j'ai mis une belle couche de vernis rouge sur ses orteils.
Je relève mes yeux vers elle et lui dit.
- Voila, pendant environ 10 ou 15 minutes il faut attendre que ce soit sec avant que je puisse te mettre une seconde couche. J'ai une idée sur la façon dont je peux te faire passer le temps.
Doucement je soulevai ses jambes jusqu'à  mes épaules et me penche sur son sexe humide. Elle se laisse faire et avance un peu plus son bassin vers le rebord de la chaise. Je peux sentir l'odeur du savon sur son sexe. Avant que ses cuisses recouvrent mes oreilles je l'entend me répondre.
- Quelle excellente idée, c'est comme dans mon rêve.
Peu de temps après, elle gémit doucement. De nouveau je prends douloureusement conscience que ma bite est enfermée dans ma cage de métal. Une fois qu'elle a eu son plaisir, je lui fais la remarque suivant.
- Je suis sûr que tu es prête pour une deuxième couche.
A nouveau, soigneusement je peins ses ongles. En attendant que la seconde couche sèche, je range les serviettes, l'acétone, et tout le reste. Je suis assis à  ses pieds, frottant ses mollets et ses cuisses. Peu de temps après, je retire les morceaux de coton de ses orteils. Elle se met rapidement dans le lit ou je ne tarde pas à  la rejoindre. Je me place sur le dos, elle se recroqueville à  côté de moi en mettant sa jambe sur ma cuisse. Elle embrasse mes lèvres et me remercie pour le massage et la pédicure. Je lui avoue.
- J'ai toujours voulu faire cela pour toi.
- Tu es bizarre, mais j'aime bien.
Elle baisse sa main pour caresser ma cage. Je sursaute et gémit, à  la fois de plaisir et de frustration. Bientôt elle met son bras sur mes épaules, et sa jambe contre ma anche. Elle s'installe pour dormir. Je regarde la télévision jusqu'à  ce que la pression de mon sexe en cage diminue. Encore une fois, je dors par à -coups, mais tout de même un peu mieux que la veille. Mes érections ne m'ont pratiquement pas réveillées de la nuit.
A suivre…
#409
Trucs & astuces / Re : Cadenas pour PDM
Janvier 27, 2015, 04:36:11 PM
Bonjour Pakan,

C'est une très bonne idée car pas toujours facile de trouver un cadenas esthétique et efficace qui puisse pivoter dans le trou de fixation de nos cages.

Merci
#410
Les cages / Re : anneau à  charniére
Janvier 22, 2015, 08:48:05 PM
Bonsoir hommechaste,

Merci de m'avoir répondu aussi rapidement, personnellement sur ma Bon4 j'arrive a supporter l'anneau de 44 mm mais au bout de quelques jours j'ai des irritations et comme Madame prend de plus en plus confiance en elle, la dernière fois j'ai préféré prendre l'anneau de 48 pour pouvoir gérer la durée.

Sur les autres cages que j'ai pu avoir, la cb6000 et la snack l'anneau de 45 mm me paraissait un peu grand. le 42 ou 43 mm aurait été l'idéal mais de ce que j'ai vu chez aken il propose en standard du 40 ou 45, c'est pourquoi l'anneau ovale pourrait peut être répondre a mon besoin?

Je crois que je vais directement lui poser la question lorsqu'il rentrera de vacance a moins que tu puisse aussi m'éclairer sur ce point là ?

A bientôt

Les amours
#411
Les cages / Re : Re : anneau à  charniére
Janvier 22, 2015, 06:11:31 PM
Citation de: hommechaste le Janvier 20, 2015, 01:48:15 PM
pour ma aprt le passage de l'anneau à  charnière à  l'anneau ovale s'est traduit par une diminution de diamètre de 47mm à  40 mm et je me sens mieux maintenant ... Encore merci à  Aken  :)

Bonjour,

Hommechaste est ce que c'est l'anneau ovale qui t'a permis de diminuer autant le diamètre ou le fait qu'il n'y ai plus de charnière?
Est ce qu'une telle diminution s'est passée sans problème comme par exemple les érections nocturne qui pourraient durée plus longtemps sous l'effet cokring de l'anneau? 
Quel cage avec charnière avais tu pour devoir porter du 47mm?

Je serais intéressé par tes réponses avant de changer éventuellement de cage.

Merci.

Les amours
#412
Bonsoir Heellover,

Dommage que tu te sois enregistrer sur le forum juste pou revendre tes cages.

Un minimum d'échange d'expérience aurait été apprécie sur ce forum  8)

Les amours
#413
Discussions générales / Re : portique anti-vol
Janvier 16, 2015, 10:46:16 PM
Bonsoir Locked Bird,

Tu m'a ait rire avec ta réflexion sur les sites sensible mais finalement c'est tellement vrais notre liberté risque d'en prendre un sacré coup avec toutes les précautions que nous serons amenés a prendre dans les semaines a venir.

Allons nous reprendre nos bonnes vielles cages en plastique comme des clandestins d'après guerre pour pouvoir continuer a vivre notre sexualité sans déclencher le débarquement du GIGN?

Alors sans fanfaronner, je ne l'ai pas encore lu sur le forum, je suis Charlie... et vivons la liberté de notre sexualité.

Les amours
     
#414
Novices / Re : questions débutant / cb6000s
Janvier 16, 2015, 07:36:39 AM
Bonjour Jeromem,

Peut être qu'un anneau ovale te permettrais de mettre moins de pression sur les testicules tout en étant suffisamment maintenu.

Le fait qu'à  aucun moment les testicules ne peuvent se "rétracter" ne pose pas de problème particulier au corps masculin, pas de risque la dessus.

Après si tu cherche une parfaite inviolabilité il faut penser au piercing du gland.

A bientôt.

Les amours
#415
Encagés / Re : Présentation de Les amours
Janvier 14, 2015, 09:12:45 PM
Bonsoir vdedomi, hommechaste et vous tous,

Très sympa effectivement cette libération qui au bout de 9 jours était très bonne même si j'avais envie de rester chaste un peu plus longtemps mais quand Madame veux il faut en profiter  :) :) :)

Ce nouveau test de la cage de chasteté (en rapport avec les problèmes que nous avions connu a la fin de l'été) dans notre couple est très positif, ce matin elle a mis la main dessus et en m'embrassant pour une nouvelle journée de travail elle m'a dit "j'adore".
Pour la provoquer je lui ai demandé quoi le bisous ou la cage? Et elle m'a répondu la cage car je sais que tu vas penser très fort a moi....  Sans plus de commentaire.

J'imagine déjà  que demain, la veille de la fin de mon contrat fixé par les dès elle va pousser l'expérience un peu plus loin en lançant un troisième dès pour prolonger la chose. Peut être que je m'avance trop vite pourtant j'ai bien senti que cette fois elle a trouvée du plaisir a contrôler la situation.

J'en profite pour souhaiter une bonne fête a ceux qui pense que cette journée de la chasteté est importante, personnellement je crois plus au petit cadeau de la St Valentin qui pourrais conduire a une nouvelle vie pour de plus en plus de couple.

Les amours
#416
Encagés / Re : Présentation de Les amours
Janvier 13, 2015, 06:19:10 PM
Bonjour,

Finalement le fait d'enlever la cage ce week-end nous a permis de faire un break dans la chasteté. Ma femme a appeler ça une pause puis qu'après lui avoir fait l'amour avec ma bouche et mes doigts juste avant qu'elle ne s'habille samedi matin elle m'a soulagée uniquement avec sa main en me regardant droit dans les yeux.

Après 9 jours sans jouir c'était très bon même si j'aurais bien aimer continuer. Dimanche soir retour en cage a sa demande et cette fois çi elle m'a dit qu'elle allait me faire monter très haut (dans le désir d'elle) et que de toute manière c'est elle qui décidais de tout ça a partir de maintenant.

Normalement d'après les dès qu'elle avait lancée la semaine dernière et "la pause" obligatoire je ne sais pas si elle compte me libérer samedi ou non. Elle a l'aire de se prendre au jeu et j'en suis très content.

Les amours
#417
Encagés / Re : Présentation de Les amours
Janvier 09, 2015, 07:27:58 AM
Bonjour Hommechaste,

Ma cage est une Bon4M Small qui est retenue par un anneau type menotte maintenu par un rivet, donc sans rivet l'anneau s'ouvre. A moins d'y mettre un écrou a la place je vois pas comment ça peut tenir.

Par un engagement tu pense a quoi?

Un signe il faudrait que je trouve une idée discrète.

Si vous avez des idées je suis preneur.

Les amours
#418
Encagés / Re : Présentation de Les amours
Janvier 08, 2015, 08:58:49 PM
Bonsoir franc,

Un anniversaire de famille ou il y aura beaucoup de contact physique entre nous et surtout les enfants qui vont courir partout alors je ne voudrais pas gâcher la fête.

Autant je me sentirais prêt a partager mon secret avec des amis proche autant que ma famille découvre ça devant tout le monde, ça me gênerais.

Alors prudence et longue vie, c'est ce que je souhaite.

Les amours
#419
Encagés / Re : Présentation de Les amours
Janvier 07, 2015, 05:09:16 PM
Bonjour,

Pour l'instant je pense être à  la hauteur et prêt pour une durée sans conditions. Je ne veux pas tout gâcher comme la dernière fois.

Samedi et Dimanche nous avons une fête de famille donc se sera une nouvelle étape, et puis elle m'a annoncé qu'en plus d'avoir encore un dès a lancer si l'envie se fait sentir elle pourrais si besoin est (retrait temporaire de la cage pendant la fête de ce week-end au cas ou peut être) décaler d'autant de jours ma futur libération.

Elle a l'aire de se prendre au jeu et est plus directrice en ce qui concerne la date de libération, comme quoi les erreurs de la dernière fois ne se renouvellerons pas.

Les amours
#420
Bonjour QuatreCentTrente,

Tu lui en a parler, tu lui a demandé ce qu'elle souhaitait faire justement après?
Est ce qu'elle y trouve un avantage a te garder comme ça?
Est ce que c'est pas simplement pour te faire plaisir puisque qu'elle en ce moment a d'autres préoccupations?

Les amours