Félicitations à  ta KH
Elle a trouvé là  un joli moyen de te mettre dans de bonnes dispositions.
Tu devrais lui dire, et surtout lui montrer ton dévouement et ta reconnaissance...

Parmi les hormones, il y a aussi l'ocytocine qui semble à  cultiver par les caresses. Mais la cravache, quand c'est bien fait, ça marche surement aussi (à  étudier...)
https://www.psychomedia.qc.ca/couples/2008-12-08/l-ocytocine-influence-les-comportements-et-le-niveau-de-stress-dans-les-couples

Merci Lio de nous faire partager cette nouvelle étape.
Voir ta compagne s'épanouir et prendre plus d'ascendant sur sa vie doit être effectivement une grande joie pour toi (et d'abord pour elle !)
Au-delà  de la réassurance que peut lui donner le fait de te tenir en cage et de contrôler ta / votre sexualité, n'y a-t il pas l'effet plus largement d'une relation conjugale satisfaisante entre vous? 

Quelle part attribuer à  un effet quasi mécanique de la cage et à  la dynamique qu'elle permet mais qui pourrait aussi s'envisager sans ?
Tu me diras qu'il est difficile de faire la part entre la levure et la farine dans le goût de la mie de pain. Mais ce qui fait du bien à  une épouse dans le fait d'avoir un mari encagé heureux est-il d'avoir un mari encagé ou un mari heureux ?
Amitiés à  vous

Bonjour,
J'ai eu une expérience similaire à  un moment donné quand j'avais dit à  mon épouse que, me mettre en cage était un peu comme me poser sur une étagère pour qu'elle puisse me reprendre quand elle en aurait envie. Elle m'a pris au mot et celà  ne m'a pas plu car sentiment d'abandon en étant traité comme un objet. J'ai galéré à  expliquer et me faire comprendre. Elle m'a fort justement répondu qu'elle n'avait fait que tenir compte de ce que je lui avais dit.
C'est souvent évoqué ici. Cela n'a rien d'évident pour une femme de gérer son compagnon en cage.
Chaque situation est unique mais il faut beaucoup se parler, ne pas voir d'intention derrière les décalages et incompréhensions, etc.

Perso, cette histoire de tirage de dés me laisse dubitatif. D'accord celà  donne une occasion d'ouvrir une période et offre un medium de communication et de complicité. Mais une fois que les dés sont jetés, on s'empêche de communiquer sur la durée, et je suppose ce qui va avec : prendre des nouvelles, savoir comment chacun se sent, discuter de la suite, etc.
Je ne dis pas qu'il ne faut pas le faire mais la rupture de communication est toujours un générateur potentiel d'incompréhension, surtout quand on découvre et tatonne (si jamais ça diminue ensuite...)

Après tout, tu as gagné un jour de plus. Pourquoi ne pas la remercier pour ça ? Sa réponse dénote aussi une manière d'assumer sa responsabilité et son droit sur ta mise en cage tout à  fait positif.
Il n'est jamais trop tard pour dire ce que l'on ressent. Ne lui prête pas d'intention négative et si elle te dit comment elle s'est sentie en faisant ainsi, tu apprendras certainement quelquechose dont tu ne peux, toi non plus avoir une connaissance a priori...
Je te souhaite de relativiser et dépasser ta déception.

Bon courage à  vous,
Lesamours

Oui, j'ai aussi découvert ces corrections destinées à  maintenir le caractère "non SM" du forum (ça doit être dit quelque par dans les règles).
Pour ma part j'écris "mai^tresse de mon coeur" ou "soumisssion à  tes désirs", etc. pour passer à  travers ce filtre parfois trop systématique...
J'ai relu ton message en retrouvant les mots d'origine. Effectivement, il est d'une pertinence qui m'avait échappée. Pour ma part, comprendre mon épouse est je le crains un objectif inaccessible, mais restera sans doute une préoccupation permanente.
NB : tu peux corriger ton post après coup.

Bonjour,
Merci de vos réactions mais je ne prétends pas être au-dessus du niveau des échanges de ce forum dont je salue au passage la qualité et qui mʼapporte énormément. Tant mieux si ce "pensum" (i.e. le poids de laine qu'un essclave - je dis bien essclave et non encagé - devait filer par jour  ) vous a intéressé et diverti.

Pour ma part, jʼai trouvé à  lʼécrire un plaisir aussi intense que de susurrer des obscénités à  l'oreille de ma Vénus. Elle semble l'avoir bien reçu, en tout cas elle a été touchée par mes efforts. « Je ne pensais pas que ce serait si long. Oui, le style est un peu pompier mais tu y as mis du coeur. » Elle a maintenant la possibilité de venir lire directement sur ce forum. Sans doute ne le fera-t-elle pas spontanément, mais j'en tire cependant le curieux sentiment de m'exhiber devant elle et dʼy gagner un nouvel espace de proposition.

Comment cela sʼest il passé ensuite ? Mal quand je lui ai proposé de venir consulter le site, puis bien quand elle a pu concrétiser son impatience de me remettre en cage, puis très bien quand elle a lu tout cela…

Eh oui, nous avons eu un clash comme il n'en était plus arrivé depuis qu'elle me tient en cage
J'avais été insistant car elle ne répondait pas à  ma demande d'autorisation de publier le poème dans mon présent journal puis de lui faire lire ledit journal (SMS, re-SMS dont j'ai craint qu'il ne soit parti en mail sur son adresse professionnelle - ça elle n'a pas apprécié du tout car ses secrétaires lisent sa messagerie).
Comme je ne lui laissais pas de répit, elle a fini par me dire qu'elle ne savait pas si c'était une bonne chose qu'elle vienne lire ce "journal"  dont elle découvrait juste lʼexistence. Puis elle a précisé qu'elle se demandait si je l'avais écrit pour elle. Comme je lui confirmais que j'en avais écrit chacune des lignes pour qu'elle puisse les lire un jour, elle m'a répété qu'elle n'en était pas certaine (têtue, elle aussi ? ou peut-être jalouse, je me demande après-coup.) Ce qui l'intéresse m'a-t-elle dit, c'est que la cage fonctionne concrètement dans notre relation et non de chercher à  savoir pourquoi elle fonctionne en pénétrant dans la tête de son compagnon. « Il n'y a que toi qui veuille entrer dans ma tête ». En fait, elle se méfie de moi et de mes coups de billard à  trois bandes. « Je te demande quelque chose de gentil, tu le fais mais tu te débrouilles toujours pour que cela me revienne en boomerang. Pourquoi tu rajoutes cette histoire de forum à  la fin de mon poème ? »

Bref, incompréhension et frustration mutuelle... en d'autres temps nous aurions eu une crise majeure mais comme nous savions que je serais bientôt remis en cage et que ce genre de conflit n'aurait plus droit de cité, c'était assez drôle et très heureux de voir que nous n'étions pas si désespérés que cela par notre différend.

Le lendemain, elle me dit que, me connaissant, elle savait bien qu'il faudrait qu'elle aille voir ce site sinon je ne la lâcherai pas. Décidément, cette fille ne dit jamais « oui ». J'ai fini par comprendre que c'est à  moi d'avancer dès qu'elle ne hurle plus « non » mais murmure juste un « peut-être ». Je ne m'y ferai jamais, et elle non plus (!)
Bref, hier soir, j'ai sauté le pas et lui ai mis d'autorité la tablette entre les mains pour quʼelle parcoure mon journal sur "chasteté-masculine", puis lui ai montré les quelques autres discussions où j'avais posté significativement ("Erotisme ultime" et "Les abus de votre KH").
Elle aussi a sauté le pas, avec toujours autant de classe et dʼélégance. Premier constat, elle ne sʼest pas emportée, nʼa pas été offensée et a tout lu avec attention (quel soulagement !). Ses réactions ont été comme d'habitude, des plus prudentes et réservées, mais avec un éclat joueur qui embellissait encore plus son regard. Devant lʼabsence de commentaire, jʼai bien évidement enquêté (posture dʼécoute non directive, mais quand même vachement dans mes petits souliers). Bon alors, il va falloir faire avec le minimum dʼindices, comme toujours avec son esprit de synthèse…
« Jʼai bien aimé quand il est question dʼérotisme dans les relations et les jeux autours de la cage. La notion de "souminateur" et très bien vue, cʼest tout toi ça. Le message qui dit  "lu et approuvé, bon pour accord - date et signature …" mʼa trop fait rire. Mais jʼai moins mordu à  lʼapproche "psychanalytique" »

Voili voilà . Nʼest-elle pas merveilleuse ? Cette fille est un diamant pur.
Je ne suis ni un souminateur ni son Pygmallion, juste un gros lourdaud qui bouscule en permanence sa sensibilité pleine de délicatesse et de pudeur. Cʼest certain, je ne sais pas dire simplement et directement ce que je veux et jʼai encore bien du chemin à  parcourir sous sa houlette, si elle accepte de rester ma tutrice et ma muse…

Bilan de la semaine sans cage : mission accomplie par ces contributions en ligne, mais surtout le respect de mon vœu de chasteté et aussi un pas supplémentaire de franchi pour distiller les idées les plus indécentes, les plus salaces et permissives et les suggestions les plus troublantes à  ma divine compagne…

Pour la suite, ma contribution va sʼalléger dans les prochains jours car je vais reprendre le boulot demain, parfaitement remis sur pied.
De nouveau en cage depuis hier soir, compter une grosse semaine pour que ça fasse de lʼeffet et que je revienne à  lʼétat dʼadoration désirante que jʼespère ne plus devoir quitter de sitôt…

Amitiés à  tous
V

Rendu à  la mi-temps de sa vie,  le chaste et convalescent VdeDomi faisait à  son tour lʼamer constat, apocryphement attribué à  Sophocle, que posséder un pénis revient à  être enchaîné à  un fou. Depuis plusieurs mois pourtant, il était enfin parvenu à  faire enfermer cet insensé dans la cage étroite autant quʼinexpugnable dʼune belle geôlière. Celle-ci au moment de sʼemparer du sceptre sʼétait exclamée « cʼest à  moi » et avait juré que la clé de la courte cellule ne la quitterait plus. Elle en exerçait depuis lors une garde jalouse et inflexible.

Mais la faculté et ses carabins, non contents de lʼamputer dʼun sein qui nʼavait jamais donné de lait, par une cruelle ironie et sans jamais nommer lʼorgane jaculateur, avaient sommé VdeDomi de se libérer de tout hymen et de toute alliance qui put le garroter. Les voilà  donc contraints, le nu propriétaire comme lʼusufruitière, de dériver la gliture de la glande chabounale. Si bien que le schniarfeur se met immédiatement à  bourjoufler.
Confronté à  son double indomptable pour prévenir la phlébite, VdeDomi perd son flegme et voit sa… vie défiler à  rebours (hey, what did you expect?). Janus a deux visages. Lʼun chevalier qui rit de se dédier à  sa Dame, lʼautre colosse aux pieds dʼargile qui pourrait bientôt se remettre à  pleurer les flots délétères dʼune semence injugulée…

Janus pourtant préside de plus haut à  la destinée de ce couple insolite. Tenant de la main gauche une clef et de la droite une verge, il pourrait leur montrer le chemin dʼune chasteté sans nuage et rétablir lʼharmonie de leur union malgré les cercles concentriques de lʼoiseau en liberté. Désemparé, VdeDomi ne sait comment invoquer la divinité qui garde lʼentrée du Forum et décide de la paix ou de la guerre.
Il en appelle alors à  sa Déesse personnelle : « O ma Reine aide-moi. Quelle promesse solennelle, quel sacrifice et sur quel autel mʼempêchera de divaguer et me conduira sur le droit chemin de ton adoration ? Commande et je tʼobéirai. Donne-moi le cadre, peins ma toile selon ton inspiration, façonne ma chair et éduque mon tempérament. » Il présente son dévouement et appelle sa tendresse avec tant dʼardeur et dʼingénuité quʼelle éprouve en son cœur un amour qui bientôt réchauffe toute son âme. Heureuse de sentir à  son côté ce compagnon fidèle, elle veut lui rendre le service quʼil lui demande et assumer la direction de conscience à  laquelle il lʼexhorte. Elle pressent au creux de sa féminine intuition quʼil pourrait de nouveau revêtir le pourpoint du prince et porter haut ses couleurs. Mais comment accomplir une telle prouesse ?

Lʼignorance où sont tenues les femmes des mystères masculins la refreine. Elle nʼentend rien aux ressorts qui déclenchent chez son époux ces soudains emballements ou ces brusques accablements qui parfois la déconcertent. Oui, lʼidée est séduisante de prendre les manettes mais encore faudrait-il trouver les boutons et savoir en lire le mode dʼemploi. Las, ou plutôt fort heureusement, les femmes ont aussi leurs secrets. Leurs arcanes créatrices recèlent mille stratagèmes pour aborder les énigmes les plus insolubles.
Maîtressse alchimique, elle décide donc dʼutiliser lʼénergie pure là  où elle sait la trouver. C'est-à -dire dans les reins mêmes de son époux, ces reins quʼil lui demande de dompter sans quʼelle puisse provisoirement recourir à  aucune des contraintes matérielles dont elle a acquis toute la panoplie. Coup de génie et coup de grâce, elle le terrasse de la requête la plus simple quʼil se puisse. Elle retourne contre son époux sa propre force vitale et décide dʼen faire ce bœuf docile et placide dont elle aime flatter lʼencolure et tâter la puissante musculature.
VdeDomi ne sʼy attendait pas. Déjà  ravagé par le démon libéré de sa boite, il avait lancé sa supplique autant par défi que par sincérité. Mais ces deux impulsions lʼobligent lʼune comme lʼautre à  relever le gant. Le voici pris à  son propre piège car il devra, avant la nuit tombée, composer un poème dʼamour dédié à  la femme de sa vie…

Les flots dʼinspiration qui envahissent soudain sa psyché ont tôt fait dʼen chasser les pulsions primitives. Les images explicites qui pullulent dans ses fantasmagories, bien quʼexcitant encore un certain corps caverneux, stimulent bien plus intensivement les zones érogènes de son bulbe supérieur.
Il est envahi de désir et de reconnaissance. Il veut chanter les louanges de sa merveilleuse compagne. Sʼenchante de sa séduction. Se perd dans lʼévocation de ses charmes dont le nombre oscille entre zetta et yotta. Sʼabîme dans le souvenir de son magnétisme animal libéré de toutes les contraintes et conventions.
Pensant au chemin parcouru ensemble, il veut lui remémorer la fille quʼil a épiée à  la dérobée pendant les années du lycée, puis la camarade de marivaudage qui lʼa égaré sur la carte du tendre et ces yeux qui un jour se sont décidés à  se planter au fond de son âme et le baiser qui lʼa épinglé pour le restant de ses jours. Se révoltant contre cette infinie dépendance affective, il veut aussi lui rappeler quʼil lʼa faite femme, puis lʼa rendue mère et lʼa portée sur son trône de Reine.

Mais déjà  la nuit tombe et il nʼa même pas commencé son glorieux poème. Alors, pour remplir son devoir, et aussi pour saisir lʼopportunité de relancer le jeu, il décide, bénéfice imprévu, de lui dédier le journal quʼil ne lui avait pas encore fait partager.
Ainsi Domi, tu mʼas ordonné un pensum et je te le livre tout cru, à  lʼadresse suivante : https://chastete-masculine.com/index.php?topic=469.0

Bonsoir Lio,
merci de ta lecture attentive et de l'acuité de tes réactions.
Oui, comme tu l'as deviné, ma plainte pour traitement abusif est bien à  prendre au second degré quand je proteste d'être victime des douces violences qui me font tant de bien physiquement, et psychologiquement dans le cadrage sexuel par ma compagne.
Mais ma plainte est aussi sincère quand je regrette, ou plutôt j'aspire aux marges de progression dont je pressens tout le potentiel.
Ta clairvoyance est encore plus aigà¼e quand tu laches le mot terrible : "souminateur" ! C'est exact, et je m'y attendais d'ailleurs en écrivant ce post provocateur, vouloir dire à  la keyholder de sa vie comment elle doit exercer son magistère conduit à  commander par en-dessous au lieu de s'appliquer à  lui obéir...
Et je suis sans défense face à  ce qui pourrait constituer le pire anathème dans un blog consacré à  la chasteté masculine contrôlée. Donc coupable, face à  mes frères d'arme qui, comme toi et nous tous essayons de construire un nouveau chemin de réalisation de nos couples qui sera aussi la voie de notre épanouissement personnel. Traitre en quelque sorte à  la cause commune.
Mais surtout, je ne trouve pas comment m'expliquer vis à  vis de ma compagne quand elle me dit que je cherche toujours à  la commander ! Car elle me perce aussi à  jour et sait bien repérer quand je tente de la manipuler.

Alors, je n'aurais d'autre circonstance atténuante à  invoquer que de dire "je suis comme ça", comme Brigitte Bardot dans La Vérité ?

En fait, je ne m'y résouds pas. Tout d'abord, il y a mon état psychologique du moment : chaste mais sans cage depuis 5 jours, je suis traversé de doutes et tombe dans le pessimisme. Ma plainte et mon souhait d'une  autorité exercée avec plus de fermeté par la maî-tresse de mon coeur est d'abord le reflet de cette angoisse.
Et puis, les situations des uns et des autres ne sont pas nécessairement les mêmes. Dans notre couple, c'est clairement moi qui ai introduit la cage. Avec maladresse certes, en insistant trop lourdement, mais finalement avec raison. Aussi, même si ce n'est pas à  moi de le dire, ou pas ainsi, je pense profondément que la cause est juste et que nous parviendrons à  nous comprendre intimement avec ma compagne. Même si c'est en mettant les pieds dans le plat, je crois de mon devoir de lui dire sincèrement et simplement ce que j'ai dans mon coeur...

Et pourtant ce ne sera pas évident d'aller jusqu'à  l'établissement de règles de base dans cette matière (la flagellation) car Elle ne veut pas de règles (je crois)

Mais cette discussion m'aide à  réfléchir et renforce mon espoir.
Merci
Amitiés

PS. Lio tu nous a parlé de l'apparition récente d'une cravache avec des strass. Où en êtes-vous ? Les châtiments portent-ils leurs fruits ?

Bonsoir,
pour ma part, je voudrais signaler des abus répétés de ma KH bienaimée.
Il s'agit de la manière dont elle me bat.

"Tu sens le vieux battu" me dit-elle. Toujours à  juste titre puisqu'au bout de quelques jours où j'ai été en cage et s'il ne s'est rien passé entre nous, je suis anxieux et grognon car je me sens abandonné.

Elle me dit "tourne-toi et montre bien tes fesses" et elle prend l'objet du moment qui lui plait pour me fesser : badine, chausson, chasse-mouche, etc.
Après, je suis aussi rasséréné que si j'avais eu le privilège de la lécher ou qu'elle m'ait sorti de cage un moment pour me tripoter. C'est merveilleux.

Alors tout va bien. Où est le problème me direz-vous ?

Oui, il y a un problème. Un problème d'abus. C'est la manière dont elle me bat.
Je suis d'accord qu'il ne faut pas plaisanter avec ces choses là . Si je mérite une fessée, elle doit être trop dure pour être supportée, certes. Si elle désire se défouler sur moi, je n'ai rien à  dire d'autre que de me féliciter de ma chance et me livrer à  elle en l'encourageant de suivre ses caprices. Ca ne pose pas de difficulté, bien au contraire. J'en retire toujours une joie profonde et ne me sens jamais autant à  ma place que dans ces moments là .

Mais pourquoi tape-t-elle si vite aussi fort ? Je voudrais tant qu'elle prenne son temps pour me pénétrer de sa douleur. Qu'elle explore mon dévouement étape par étape et me fasse progresser dans ma rédition. Qu'elle prenne le temps de me faire avouer mes fautes et pleurer mes regrets, puis de m'extirper les promesses les plus solennelles de me conformer à  ses volontés et de les sceller enfin par la douleur insupportable, dont le pallier libératoire mériterait aussi une exploration méthodique et progressive...

Mais je crois qu'elle n'ose pas. Pas encore. Alors elle abuse de moi violemment. Sa brusquerie me semble une forme de timidité.

Comment la rassurer ?

Je sais, "be careful what you wish for..."

Par ailleurs, Rivet-pop, ton avatar renvoie directement à  l'écriture !

Mais je ne parviens pas à  lire ce parchemin. Pourrais-tu le traduire ou charger la photo en PJ ?
Pourquoi pas en ouvrant ton propre journal ?

Amicalement
V

Re- (désolé j'avais écrit mais ça n'a pas enregistré, je reprends le fil...)

oui, le "cadrage sexuel" du mari par la femme me parait bien décrire le processus initié par la cage dans le couple. La dimension "cérébrale" est aussi un point d'entrée fréquent, voire systématique pour proposer d'être mis en cage. Mais il ne faut pas que ça tourne à  la prise de tête (j'en sais quelque chose! ) Nous devons rejoindre et tenter de nous maintenir à  deux dans des eaux où le plaisir de l'impulsion et la spontanéité du partage l'emportent... La femme accepte l'offrande de l'homme qui l'encourage et la soutient dans sa prise des commandes. L'homme se met à  l'écoute et se laisse transformer par la femme en confiance, avec bonne volonté et solidité.

Du coup, cette description laisse à  mon avis trop de côté la sensibilité féminine. Comment pourrait-on décrire plus complètement ce qui est à  l'oeuvre ?

Bonjour Rivet-pop,

Eh oui, le lien entre écriture et chasteté est essentiel. Déjà  par la lecture car c'est une aventure essentiellement cérébrale.

Autre signe, mon statut qui vient de passer à  "initié" au bout de 20 posts. Respect aux "experts" !   

Merci Lio de tes voeux et de tes encouragements !

Je vous raconte la suite...
Ma compagne a réfléchi à  ma demande et m'a passé ses consignes : un poème d'amour pour ce soir...

Je vous laisse, j'ai du travail. 

Bonjour,
juste pour info, le site revebebe prévoit que chaque texte soit commenté par les lecteurs.
Voici ce que ça donne pour le texte sur la cage de chasteté
https://revebebe.free.fr/php3/fichcrit.php?code=11258

Certains commentaires sont amusants vous ne trouvez pas ?
J'ai bien aimé : Il existe quelque chose de bien plus terrible que de porter cette cage de chasteté : lire ce texte.

Sur la question des textes érotiques, le meilleur site en langue française reste :
https://revebebe.free.fr

Plus de 8000 textes publiés en mode collaboratif et toutes sortes de classements thématiques, mais la rubrique "chasteté" n'est pas indexée. Oubli réparable sans doute, mais en attendant il suffit de tapper "revebebe chasteté" dans son moteur de recherche et on trouve par exemple...

https://revebebe.free.fr/histoires/rvb112/reve11258.html

Bonjour Lesamours,
c'est un joli texte qui effectivement présente l'utilisation de la cage par le bon côté et en insistant sur les avantages, sans cacher les tatonnements. Tu as insisté sur la dimension plus émotionnelle que purement érotique, qui sans doute convient aussi mieux à  la sensibilité féminine.

J'ai moi-même tenté d'attirer ma femme dans la chasteté masculine par un texte écrit (voir le sujet "comment parvenir à  en parler" dans la rubrique journal des encagés). Celà  n'a pas été inutile mais n'a pas été miraculeux non plus.

Pour en revenir à  ce témoignage imaginaire, a-t-il été le déclencheur du passage à  l'acte pour ta KH ? Et lui as-tu avoué ensuite en être l'auteur ?

Présenter l'utilisation de la cage à  sa compagne est toujours compliqué. Soit on est trop direct, soit on passe pour un manipulateur... Finalement, il n'y a pas de règle en amour et le sujet de la cage ne fait pas exception. Les recettes de dragueur ne marchent pas vraiment, mais celui qui le veut le plus fort aura toujours sa chance même avec la nana la plus inaccessible (!)

Ca se confirme. Je vais devoir vivre une semaine sans cage. Je n'insiste pas sur la cause médicale, bénigne mais le risque de phlébite post-opératoire nous conduit à  décider d'éviter toute contrainte pouvant ressembler à  un garot. C'est peut-être un excès de précaution mais la situation est posée : une semaine sans cage, et qui plus est sans activité professionnelle...

Alors, comment gérer la sortie de cage ?
Voici le sms que j'ai adressée à  ma Vénérée KH
Bonjour Chérie, je pense à  toi. Ma liberté forcée ne doit pas m'autoriser à  divaguer. Pour me cadrer, je pourrais te faire des promesses solennelles. Mais lesquelles ? Penses-y. Je ferai ce que tu diras. Bise V

Mais elle est débordée de boulot. Au tél. elle me dit avoir lu mon message... Je devine qu'elle a d'autres choses en tête et ça se comprend parfaitement.

Je lance donc un appel à  la communauté. Comment faites-vous, Dames KH et Sieurs encagés pour vivre une semaine avec l'oiseau en liberté tout en gardant le bénéfice de la chasteté masculine ?
Aidez-nous SVP !!!

Comment rester en cage sans cage ? HELP !

Bonsoir,
cela fait maintenant cinq mois que la femme de ma vie me tient en cage.
Elle a jusqu'ici choisi de me faire jouir environ toutes les deux semaines. Mais elle semble envisager de me faire tenir plus longtemps. En fait je lui propose souvent car il faut une dizaine de jours d'abstinence pour que je commence à  lui être vraiment bien dévoué. Là  cela fait 14 jours pleins et je suis totalement et spontanément concentré sur Elle. Je perçois son humeur instinctivement. J'ai envie de la masser, de me tenir à  ses pieds, de la lécher à  la demande et suis de mieux en mieux réactif pour obéir à  ses ordres notamment pour des tâches ménagères. Elle a aussi commencé à  me battre régulièrement, dès qu'elle me sent grognon ou pour me punir, ou encore simplement au gré de son humeur (fessée, badine, tapette à  mouche et orties le week-end). C'est merveilleux !

Mais, elle va me sortir de cage lundi pour une petite intervention médicale et verra si elle me renferme dès mardi ou me garde libre quelques jours.

Bon voilà  bien mon problème. Ces derniers temps, il est arrivé que je sois quelques jours sans cage car je parvenais à  me masturber avec la PDM et la Holy trainer. D'où achat de nouvelle cage et interruption de la cage en attendant la livraison, etc. (je suis finalement revenu à  la bonne vieille CB3000 avec point d'intrigue qui s'avère la plus fiable, même si je ne suis pas certain que la masturbation soit impossible) Ma KH a aussi souhaité à  certains moments ne pas me remettre en cage. Ca m'a posé de gros problèmes pour parvenir à  "gérer" la situation (en fait à  me gérer). Perte de repère, angoisse existentielle, rupture du charme et drame de l'incommunicabilité avec ma chérie !!! En fait, j'aurais eu besoin d'un cadrage strict. Qu'elle me dise ce qu'elle attendait de moi et pourquoi, et qu'elle soit très directive, en particulier sur l'interdiction de me maturber. J'ai surtout joué au con et n'ai pas été suffisamment clair avec moi-même pour lui dire loyalement où j'en étais. Bref, les aléas et péripéties de la vie en cage... mais je voudrais éviter que celà  se reproduise à  l'avenir. Le plus simple serait de rester en cage sauf quand elle veut me tripoter. Mais là , la sortie est programmée et pourrait durer...

Alors, j'ai demandé à  ma KH de me faire jouir deux fois demain soir puis une nouvelle fois lundi matin afin d'entrer dans cette période sans cage bien détendu... Vous savez, comme Depardieu dans les valseuses 

Elle m'a dit "je verrai, je vais réfléchir..." douce incertitude, bonheur d'être en son pouvoir.

Bonsoir Stéphane
félicitations pour ce début et pour parvenir à  entraîner cette deuxième conquête dans la pratique de la cage.
Je vous souhaite une pleine complicité et bien du bonheur.
V