Bonjour,

en fait, à  vous lire, il semblerait que chacun cherche et trouve dans le port d'une cage une sorte de sérénité qui va croissant avec la durée d'abstinence. Par contre la méthode varie du tout au tout suivant les personnes et l'enfermement de l'oiseau ne va pas toujours de pair avec une relation de domination.

De mon côté, je m'efforce d'être plus attentif aux demandes et attentes de ma chère et tendre. Je fais mon possible pour la soulager des tâches quotidiennes, je la "drague" de nouveau, mais je vais progresser doucement dans ce domaine car c'est un processus qui devra se dérouler dans le temps et non du jour au lendemain si je veux qu'elle prenne naturellement goût à  ces changements. Il faut que s'installe, pour elle, un confort auquel elle va s'habituer: elle demande et son mari répond présent. C'est ainsi que, petit à  petit, je pourrais amener le sujet de la chasteté sur la table, en recréant alors une situation d'inconfort les jours qui suivront une éjaculation: moins d'attentions de ma part, moins de mots doux, moins d'aide... Je n'aurai pas de mal car c'est un peu naturel chez moi (comme chez beaucoup d'hommes...). Je ne sais pas encore si c'est une méthode qui va fonctionner car elle va être assez longue à  se mettre en place, mais au moins, pendant ce temps là , je sais que Madame profitera de mon attitude et en retirera des bénéfices.

Bonjour et merci pour votre accueil,

j'ai un peu parcouru le forum en quête d'informations et il s'avère que beaucoup de membres ( ) semblent prôner la gynarchie . N'y a-t-il pas moyen de vivre une chasteté contrôlée tout en gardant un certain équilibre de "décision" dans le couple ? Faut-il obligatoirement abandonner tout pouvoir à  la gente féminine pour vivre pleinement sa privation de liberté ?

Bonjour,

J'ai 56 ans et ma femme 54. Nous sommes ensemble depuis 35 ans sans jamais de coup de canif dans le contrat ni d'un côté ni de l'autre (à  ce que je sais, mais on ne peut jamais être certain...). Les années passant nos rapports s'espacent de plus en plus et il n'est pas rare de rester 4 semaines sans faire l'amour.

Evidemment, après plusieurs semaines d'abstinence, j'ai toutes les peines du monde à  ne pas jouir trop vite quand c'est jour de fête (entre 1 et 4 minutes en moyenne), surtout si je ne me suis pas masturbé très récemment. Pour palier à  cela je me tourne de plus en plus vers le cunnilingus que j'apprécie énormément et je lui donne généralement 2 orgasmes avant de la pénétrer. Le plaisir que je lui offre avec ma langue, mes lèvres et mes doigts me procure une jouissance cérébrale qui vaut largement l'éjaculation qui va suivre. En fait, son plaisir m'importe plus que le mien et paradoxalement, plus je suis resté longtemps chaste et plus j'aime lui donner du plaisir avec ma bouche et mes doigts.

Elle a d'ailleurs bien compris qu'elle a plus surement du plaisir par ma bouche que par mon sexe et ça fait maintenant bien longtemps que nos rapports commencent toujours par un long cunnilingus.

C'est dans cet état d'esprit que j'aborde le port d'une cage qui, d'un commun accord, lui permettrait de ne plus penser qu'à  son propre plaisir sans se sentir obligée de me soulager par une pénétration souvent trop rapide pour lui procurer le moindre orgasme.

Reste maintenant à  réaliser la partie la plus compliquée: ayant toujours eu, tous les deux, une sexualité des plus "ordinaire", je vais devoir l'amener doucement sur un terrain que nous n'avons jamais exploré. L'aventure commence ....