Bonjour à toutes et tous,
J'ai le plaisir de partager quelques lignes sur l'évolution de la CMC au sein de notre couple.
Tout semblait se dérouler de façon "feutrée" la semaine passée, j'en étais à 10 jours depuis mon dernier orgasme. Tout se passait bien, j'avais bien quelques envies, mais tout à fait maîtrisables et j'avais passé l'épreuve des 4 jours sans trop de difficultés. J'entrais dans une période que je pensais plutôt "faste", qui correspond habituellement à un niveau élevé de bien-être. C'est là que le 11ème jour, sans que je m'y attende, des envies fortes et tenaces se sont mises en place. Je ne m'y attendais pas du tout et j'ai de la difficulté à expliquer ce qui s'est passé: sans l'avoir provoqué par une quelconque activité, sans avoir "ruminé" des pensées érotiques, j'ai eu soudain une forte envie de sexe.
Ma cage était heureusement en place, mais mon esprit s'est rapidement focalisé sur ces "fichues clés" que je gère seul (pour l'instant). J'ai mené une lutte de plusieurs heures et j'ai réussi à ne pas céder... mais quelle énergie investie pour résister!!! J'étais à deux doigts de proposer à mon épouse de garder les clés durant l'après-midi et de faire en sorte qu'elles soient inaccessibles pour moi. Elle était occupée par d'autres activités et j'ai finalement renoncé à la déranger (je ne voulais pas que cette demande soit mal perçue et mette en danger les progrès déjà réalisés).
Le jour-même, j'ai évité d'en parler et j'ai choisi de prendre un peu de recul. Le lendemain, tout était revenu dans l'ordre et j'ai abordé le sujet avec mon épouse. En l'informant de cet épisode, elle m'a demandé si j'avais toujours besoin qu'elle garde les clés. J'avais l'impression qu'elle était quasiment prête à se prêter au jeu. Je lui ai répondu que pour l'instant tout était ok, mais que lorsqu'un tel événement se reproduira, je me permettrai de faire appel à elle. Je lui ai aussi dit combien je me sentais soulagé de savoir qu'elle semblait ouverte à m'aider en gardant les clés.
Ce progrès a été très stimulant pour moi et je suis plutôt optimiste pour la suite.
Autre événement très encourageant, le soir-même de cette discussion, Madame m'a demandé d'enlever ma cage. Elle m'a accordé un très beau déni d'orgasme. Des paroles douces, des caresses douces, bref tout ce que j'aime et qui fait monter l'excitation. Après un certain temps de ce magnifique traitement, les choses se sont arrêtées et j'étais très reconnaissant pour ce moment d'intimité et de sensualité. Après avoir remis l'anneau pour positionner ma cage, mon érection s'est développée à nouveau et m'a empêché de me verrouiller. J'ai attendu, mis de l'eau froie etc... rien à faire. Et je ne pouvais plus retirer l'anneau!!!
Mon épouse a pris les choses en main et s'est mise à me masturber pour provoquer un orgasme. C'est là que je lui ai suggéré de s'arrêter à un orgasme ruiné. Après quelques hésitations (son éducation et sa bienveillance lui interdisant ce genre de pratiques), elle a fini par accepter d'essayer. Je l'ai un peu guidée et au moment venu, elle a arrêté la stimulation quasi parfaitement au bon moment. Heureusement, nos lectures actuelles ont probablement été d'une aide significative. Je l'ai aussi rassurée et remerciée pour toutes ces bonnes choses vécues. Ensuite, j'ai remis ma cage, non sans que mon épouse marque un certain étonnement: Pourquoi remettre ta cage alors que tu n'en as plus "besoin"? Ma réponse l'a je crois convaincue: "C'est pour que ces moments de liberté de mon pénis soient exclusivement partagés avec toi"
Au final, cette semaine a été beaucoup plus importante pour le développement de la CMC qu'elle ne le laissait supposer:
- je peux maintenant porter ma cage même si je ne suis pas sexuellement "en manque". Mon épouse a compris que mes plaisirs étaient uniquement associés à Elle.
- la voie est largement ouverte pour qu'elle s'autorise à garder les clés, même pour un temps limité
- le premier orgasme ruiné s'est passé merveilleusement bien. Madame a bénéficié des effets positifs de cette pratique.
- le déni d'orgasme est une activité qui s'ancre dans la pratique courante. Globalement, elle me l'accorde une fois par semaine environ.
- la cage est de mieux en mieux acceptée. Madame m'a aussi félicité de porter la cage, elle voit les efforts que je fais pour que tout se passe bien.
Merci à vous toutes et tous pour vos précieux conseils et votre écoute bienveillante. Excellente semaine à vous!
J'ai le plaisir de partager quelques lignes sur l'évolution de la CMC au sein de notre couple.
Tout semblait se dérouler de façon "feutrée" la semaine passée, j'en étais à 10 jours depuis mon dernier orgasme. Tout se passait bien, j'avais bien quelques envies, mais tout à fait maîtrisables et j'avais passé l'épreuve des 4 jours sans trop de difficultés. J'entrais dans une période que je pensais plutôt "faste", qui correspond habituellement à un niveau élevé de bien-être. C'est là que le 11ème jour, sans que je m'y attende, des envies fortes et tenaces se sont mises en place. Je ne m'y attendais pas du tout et j'ai de la difficulté à expliquer ce qui s'est passé: sans l'avoir provoqué par une quelconque activité, sans avoir "ruminé" des pensées érotiques, j'ai eu soudain une forte envie de sexe.
Ma cage était heureusement en place, mais mon esprit s'est rapidement focalisé sur ces "fichues clés" que je gère seul (pour l'instant). J'ai mené une lutte de plusieurs heures et j'ai réussi à ne pas céder... mais quelle énergie investie pour résister!!! J'étais à deux doigts de proposer à mon épouse de garder les clés durant l'après-midi et de faire en sorte qu'elles soient inaccessibles pour moi. Elle était occupée par d'autres activités et j'ai finalement renoncé à la déranger (je ne voulais pas que cette demande soit mal perçue et mette en danger les progrès déjà réalisés).
Le jour-même, j'ai évité d'en parler et j'ai choisi de prendre un peu de recul. Le lendemain, tout était revenu dans l'ordre et j'ai abordé le sujet avec mon épouse. En l'informant de cet épisode, elle m'a demandé si j'avais toujours besoin qu'elle garde les clés. J'avais l'impression qu'elle était quasiment prête à se prêter au jeu. Je lui ai répondu que pour l'instant tout était ok, mais que lorsqu'un tel événement se reproduira, je me permettrai de faire appel à elle. Je lui ai aussi dit combien je me sentais soulagé de savoir qu'elle semblait ouverte à m'aider en gardant les clés.
Ce progrès a été très stimulant pour moi et je suis plutôt optimiste pour la suite.
Autre événement très encourageant, le soir-même de cette discussion, Madame m'a demandé d'enlever ma cage. Elle m'a accordé un très beau déni d'orgasme. Des paroles douces, des caresses douces, bref tout ce que j'aime et qui fait monter l'excitation. Après un certain temps de ce magnifique traitement, les choses se sont arrêtées et j'étais très reconnaissant pour ce moment d'intimité et de sensualité. Après avoir remis l'anneau pour positionner ma cage, mon érection s'est développée à nouveau et m'a empêché de me verrouiller. J'ai attendu, mis de l'eau froie etc... rien à faire. Et je ne pouvais plus retirer l'anneau!!!
Mon épouse a pris les choses en main et s'est mise à me masturber pour provoquer un orgasme. C'est là que je lui ai suggéré de s'arrêter à un orgasme ruiné. Après quelques hésitations (son éducation et sa bienveillance lui interdisant ce genre de pratiques), elle a fini par accepter d'essayer. Je l'ai un peu guidée et au moment venu, elle a arrêté la stimulation quasi parfaitement au bon moment. Heureusement, nos lectures actuelles ont probablement été d'une aide significative. Je l'ai aussi rassurée et remerciée pour toutes ces bonnes choses vécues. Ensuite, j'ai remis ma cage, non sans que mon épouse marque un certain étonnement: Pourquoi remettre ta cage alors que tu n'en as plus "besoin"? Ma réponse l'a je crois convaincue: "C'est pour que ces moments de liberté de mon pénis soient exclusivement partagés avec toi"
Au final, cette semaine a été beaucoup plus importante pour le développement de la CMC qu'elle ne le laissait supposer:
- je peux maintenant porter ma cage même si je ne suis pas sexuellement "en manque". Mon épouse a compris que mes plaisirs étaient uniquement associés à Elle.
- la voie est largement ouverte pour qu'elle s'autorise à garder les clés, même pour un temps limité
- le premier orgasme ruiné s'est passé merveilleusement bien. Madame a bénéficié des effets positifs de cette pratique.
- le déni d'orgasme est une activité qui s'ancre dans la pratique courante. Globalement, elle me l'accorde une fois par semaine environ.
- la cage est de mieux en mieux acceptée. Madame m'a aussi félicité de porter la cage, elle voit les efforts que je fais pour que tout se passe bien.
Merci à vous toutes et tous pour vos précieux conseils et votre écoute bienveillante. Excellente semaine à vous!