Renforcement de supériorité, chez ma gardienne, je ne suis pas certain.
Mais tiens, pas plus tard que ce matin !
Son intention n'était pas celle là (elle pensait que j'allais déraper).
Toujours est-il que je l'ai caressée avec ma partie sensible jusqu'à ce qu'elle soupire profondément d'extase... et que j'arrive à me contrôler.
Certes, il a fallu un peu de temps pour que je puisse réintégrer la cage.
Elle en aurait presque été gênée et s'est inquiétée de la frustration que cela pouvait me donner.
Après analyse, je vois les choses ainsi :
- l'ursidé qui n'est pas sous contrôle et qui bascule dans l'onanisme compulsif secoue le cocotier, crache son morceau dans une jouissance de quelques courtes secondes et... recommence dès qu'il le peut parce que c'est bon.
Mais au fond, ça aurait un côté éminemment frustrant quand on a goûté à autre chose !!!
On jouit, c'est court et on a hâte de recommencer.
- l'encagé dont la sexualité est donnée à bail à une gardienne, ce qui est mon cas, voit ainsi :
j'ai envie de jouir, très fort, surtout après une dizaine de jours de cage.
Ma femme m'agaçouille le farceur, me fait monter, c'est boooooooooonnnnnnn heuuuuhhhaaaa.
Plusieurs fois ou jours d'affilée, je grimpe en moins de temps qu'il en faut à un animateur de téléréalité pour dire ce qu'il pense de la finalité du vivant (la réponse dudit est "hein ?").
Elle me frôle et je suis au dessus des nuages.
MAIS, on en vient à hésiter de jouir !
Parce que c'est fugace, instantané, presque imperceptible et que, une fois les hormones retombées, ça ne laisse pas de trace (enfin, sauf sur la tête de lit).
Ahhhhhhhhhh pendant 30 secondes (avec des soubresauts durant plusieurs minutes, si si, après une période de disette, ça dure plus longtemps !).
Mais après
Après, il faut de nouveau attendre une dizaine de jours pour retrouver cet état extatique de l'éruption sensorielle !
En d'autres termes, j'espère qu'elle me chauffera de nouveau ce soir, mais je crois que j'aimerais qu'elle ne me fasse pas jouir, pour que je puisse revivre ça demain, puis dimanche et garder peut être mes cris de bête pour mardi... tiens, à la Saint Valentin !!!
Mais tiens, pas plus tard que ce matin !
Son intention n'était pas celle là (elle pensait que j'allais déraper).
Toujours est-il que je l'ai caressée avec ma partie sensible jusqu'à ce qu'elle soupire profondément d'extase... et que j'arrive à me contrôler.
Certes, il a fallu un peu de temps pour que je puisse réintégrer la cage.
Elle en aurait presque été gênée et s'est inquiétée de la frustration que cela pouvait me donner.
Après analyse, je vois les choses ainsi :
- l'ursidé qui n'est pas sous contrôle et qui bascule dans l'onanisme compulsif secoue le cocotier, crache son morceau dans une jouissance de quelques courtes secondes et... recommence dès qu'il le peut parce que c'est bon.
Mais au fond, ça aurait un côté éminemment frustrant quand on a goûté à autre chose !!!
On jouit, c'est court et on a hâte de recommencer.
- l'encagé dont la sexualité est donnée à bail à une gardienne, ce qui est mon cas, voit ainsi :
j'ai envie de jouir, très fort, surtout après une dizaine de jours de cage.
Ma femme m'agaçouille le farceur, me fait monter, c'est boooooooooonnnnnnn heuuuuhhhaaaa.
Plusieurs fois ou jours d'affilée, je grimpe en moins de temps qu'il en faut à un animateur de téléréalité pour dire ce qu'il pense de la finalité du vivant (la réponse dudit est "hein ?").
Elle me frôle et je suis au dessus des nuages.
MAIS, on en vient à hésiter de jouir !
Parce que c'est fugace, instantané, presque imperceptible et que, une fois les hormones retombées, ça ne laisse pas de trace (enfin, sauf sur la tête de lit).
Ahhhhhhhhhh pendant 30 secondes (avec des soubresauts durant plusieurs minutes, si si, après une période de disette, ça dure plus longtemps !).
Mais après
Après, il faut de nouveau attendre une dizaine de jours pour retrouver cet état extatique de l'éruption sensorielle !
En d'autres termes, j'espère qu'elle me chauffera de nouveau ce soir, mais je crois que j'aimerais qu'elle ne me fasse pas jouir, pour que je puisse revivre ça demain, puis dimanche et garder peut être mes cris de bête pour mardi... tiens, à la Saint Valentin !!!