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Sujets - FKH71

#1
Règles et fonctionnement du forum / Merci
Janvier 10, 2014, 04:35:15 PM
Merci d'avoir traiter le problème aussi rapidement !
Puisque nous sommes en période de vœux je me joins à  ceux d'"hommechaste" mais formule aussi celui de vous voir participer plus souvent ! Vos conseils avisés sont très espérés !
Bien à  vous
Françoise
#2
Mes chers amis,
Jʼespère que vous avez passé de bonnes fêtes  et pris plein de bonnes résolutions pour cette nouvelle année.
Pour notre part, Edouard et moi avons eu la joie dʼaccueillir Sophie entre Noel et le jour de lʼan. Nous avons beaucoup fêté lʼenterrement de 2013 et espérons beaucoup de 2014 !
Edouard est resté sous cage tout le mois de Novembre jusquʼau 5 décembre, en répression de ses plaisirs solitaires… Je lʼai obligé à  me raconter ses fantasmes et à  mʼhonorer de sa bouche quasiment chaque soir. Autant vous dire quʼil était surexcité et anticipait jusquʼà  mes moindres désirs. Nous avons vécu une harmonie rare.
Le 5 décembre, alors que nous étions au lit Edouard me demanda : «  As-tu des nouvelles de Sophie, il y a bien longtemps que nous ne lʼavons vu ? »
Il faut vous dire que Sophie est une amie de longue date, avec qui jʼai connu, lʼété dernier,  ma première et seule expérience homosexuelle. Pour autant, il mʼarrive souvent dʼy penser notamment lorsquʼEdouard me prodigue ses nombreuses caresses. 
Je lui répondais : «  Que veux-tu dire ? Je te vois venir petit coquin !»
« Tu sais que vous mʼavez terriblement excité lʼété dernier, tu ne voudrais pas la réinviter ?  Elle est peut-être libre à  Noel, on a 8 jours de vacances, nous serons seuls, peut-être voudrait-elle venir ? »
Pour faire lanciner Edouard, je jouais lʼindifférence : «  Tu crois, jʼavais prévu que nous restions seuls justement, sans contrainte, pour être à  nous deux ! »
«  Bien sûr, si tu crois cela préférable, »  ajouta-t-il «  mais elle est sympa et pas gênante »
« Oui bien sûr, et puis elle est au courant pour ta cage, ça ne devrait rien changer à  nos jeux »
« Oh ! enfin, . ; euh… » déclara â€"t-il gêné
Jʼen profitais pour enfoncer le clou : «  si on lʼinvite, cela ne changera rien à  nos habitudes, tu es bien dʼaccord ? »
« Que veux-tu dire ? »
«  Eh bien, tu seras toujours aussi serviable avec moi , toujours aussi docile ? »
«  Oh ça bien sûr ! Tu peux compter sur moi »
« Jʼai ta parole ? »
« Oui je te le promets »
Edouard mʼavoua plus tard  quʼen acceptant, il  espérait une libération immédiate !
Ce ne fut pas le cas ! Au contraire, forte de mes lectures sur ce site, je fis un rapide calcul 3 ou 4 jours de « réaprivoisement, si Sophie arrivait aux alentours du 24, il fallait vider Edouard aux alentours du 20. Je lui accorderai cette satisfaction mais donc quand je le déciderai.
Je relançais la conversation : «  Bien, veux-tu que je lʼappelle demain, nous verrons si elle peut venir !
« Si tu veux »
«  Cette conversation mʼa remémoré dʼexcellents souvenirs, et une douce moiteur mʼenvahit, viens me rafraîchir ! »
Edouard, probablement excité , lui aussi par les futurs instants que nous passerions avec Sophie,  ne se fit pas prier, et se précipita entre mes jambes que jʼavais largement écartées.
Dès le lendemain, jʼappelais Sophie sur son portable.
« Allo Sophie ? Ici Françoise, Comment vas-tu ? »
Après quelques phrases dʼusage, je lui déclarai : « Tu dais Edouard et moi avons eu une idée, pourquoi ne viendrais-tu pas passer quelques jours de vacances à  la maison entre Noel et le jour de lʼan., Nous sommes seuls, la chambre de notre fils est libre et tu serais réellement la bienvenue. Edouard et moi serons tous les deux en vacances. Alors nous pourrons passer des jours merveilleux sans contrainte, quʼen penses-tu ? »
«  Eh ben ça cʼest super ! Les amis, ils sont toujours présents quand il faut ! Imagine toi que je devais partir aux Maldives avec mon mec, mais il mʼa largué la semaine dernière. Du coup je suis libre. Jʼai juste promis à  Maman de réveillonner avec elle le 24 au soir, je pourrais arriver dans la journée du 25. »
Tu nous raconteras tes mésaventures, le 25 cʼest parfait tu nous rappelleras sur la route pour nous dire si nous tʼattendons pour déjeuner ! »
« Pas la peine je serai là  pour 13 heures, ça te va ? »
«  On est ravi, on va passer de bonnes vacances, au 25 donc ! je tʼembrasse très fort ! »
« Moi aussi, jʼai hâte de te retrouver »
Ce « te retrouver » sonna dans mon oreille et réveilla en moi des désirs inavouables. Lʼaffaire était lancée. Cʼest moi en priorité quʼelle voulait revoir… !
Le soir même, alors quʼEdouard rentrait du travail et quʼil avait à  peine refermé la porte dʼentrée, je lui annonçai la venue de Sophie !

Sophie, comme convenu est arrivée le 25 pour déjeuner, elle avait apporté des cadeaux pour chacun de nous et après un délicieux déjeuner préparé par Edouard nous nous installâmes au coin du feu. Sophie nous parla de sa dernière conquête et de sa soudaine rupture, Elle avait découvert grâce à  lui les soirées fétichistes parisienne. Elle avait apprécié ce rôle de soumise, où elle sʼabandonnait sans avoir à  décider de quoi que ce soit, elle y prenait goût, mais avit découvert quʼil nʼéprouvait aucun sentiment pour elle. Elle était devenu, son jouet, son esclave.. Il sʼétait installé chez elle, ne faisait rien si ce nʼest de vivre à  ses crochets.   Elle lʼavait largué le lendemain dʼune de ces soirées, lorsquʼil avait voulu la louer à  un autre maître, elle avait pris conscience quʼelle était sur une pente vertigineuse dont elle ne ressortirait pas indemne. Cʼest alors, quʼelle nous avoua : «  il mʼen reste des traces non seulement morales mais aussi physiques ! »
«  Edouard sʼempressa se répondre : «  Quel salaud, Cʼest ignoble un mec comme cela ! »
Elle répondit : «  Non, il ne faut pas jeter le bébé avec lʼeau du bain, jʼai apprécié certains moments, jʼai aimé ces moments dʼabandon où le plaisir sʼenferme avec la douleur, et surtout je me suis rendu compte de ma naà¯veté ! »
Jʼajoutais : « Tu parles de douleur, il te battait ? »
« Oui bien sûr ! cela fait partie du jeu, le martinet, les pinces à  seins, les poids, la cire chaude, lʼexhibition et bien dʼautres choses encore..Tu serais étonnée de voir combien ces jeux sont prisés à  Paris, on y rencontre toute sorte de gens du show-biz, de la politique, des affaires….Quand je parle de poids, tu sais que je porte un anneau au clitoris, il a voulu que jʼen fasse poser deux autres sur mes grandes lèvres et un sur chaque mamelon. Il Sʼamusait à  y suspendre toute sorte de choses. A la maison je devais toujours me promener nue, pour quʼil puisse, si lʼenvie lui prenait mʼattacher ou me punir pour la moindre chose. Pour sortir, il ne mʼautorisait que le port des jupes sans rien en dessous au cas où une occasion se présenterait !
Edouard reprit la parole : «  Cʼest vraiment un malade ce gars là  ! Et tu les a gardé ces anneaux ? »
« Oui » Répondit Sophie, jʼavais déjà  celui du clitoris et jʼavoue que je trouve très esthétiques ceux des grandes lèvres, quant à  ceux des tétons, ils me procurent des sensations très agréables tout au long de la journée, tu veux voir ? »
Sans attendre de réponse de notre part, Sophie commença à  se déshabiller dʼabord le haut puis le bas. Au bout de ses deux seins généreux pendaient deux  grands et très jolis  anneaux qui terminaient trèe avantageusement sa poitrine. Edouard sʼextasia et demanda : «  on peut toucher ? »
Sophie avec un grand sourire lui rétorqua : Tu sais jʼen ai vu dʼautres, tu peux même tirer si tu veux ! «  Edouard ne se fit pas prier et s‘installa face aus deux globes généreusement tendus par Sophie et tout en manipulant les anneaux il déclara : «  Tu vois Françoise je rêverai que tu en portes toi aussi ! »
Je répondis du Tac au Tac «  Edouard reste à  ta place ! Mais si je dois en porter ce ne sera quʼaprès tʼavoir fait percer en premier ! »
«  Pourquoi pas ? »
Sophie rajouta «  Tu sais Françoise tu devrais essayer, ça tʼexcite les tétons toute la journée. Regarde, ils restent bien turgescents et sont sensibles comme tout !  Viens approche nʼaies pas peur ! » Et joignant le geste à  la parole elle vint me mettre ses deux seins sous les yeux.  Et sans en rajouter, elle fit tomber sa jupe sous laquelle elle ne portait rien.
Se retrouver, Edouard et moi,  ainsi dans notre salon, un 25 décembre avec une femme nue alors que nous étions tous les deux habillés avait quelque chose de surnaturel ! La tension érotique était montée de plusieurs degrés !
Cʼest alors que Sophie remarqua la clef qui pendait entre mes deux seins, «  Alors tu mets toujours Edouard sous clef ? Tu portes ta cage en ce moment Edouard ? Fais voir ! »
Edouard sans même me demander commença à  se déshabiller. Jʼétais la seule encore vêtue dans cette pièce. Edouard avait le sexe comprimé tant il était excité.
Sophie rajouta seulement : «  Cʼest beau » puis se tournant vers moi, elle dit : « Il ne te reste pas un cadenas par hasard ? »
« Pourquoi » lui dis-je
Ne fais pas ta mijaurée, jʼai trop envie de toi, je pense souvent à  toi et à  la soirée que nous avons passé cet été, si tu ne mets pas un cadenas sur mes deux anneaux, je vais te sauter dessus, depuis que jʼai tʼai vu en arrivant jʼen ai trop envie. Quoiquʼil advienne tu sais que nous finirons au lit, alors nous y irons quand toi tu en auras envie, je tʼoffre ma libido pour toute la durée de mon séjour, tu mettras la clef autour du cou, comme celle dʼEdouard !
«  Cʼest une excellente idée » lança celui-ci, «  comme ça tu nous portera tous les deux ! »
Jʼétais battue, je ne pouvais mʼopposer à  ces deux volontés. Edouard partit sans me laisser le choix mot en disant : » Je mʼen occupe »  . Il revint avec un cadenas quʼil avait dans son atelier en disant : «  je nʼai trouvé que cela ! Demain on pourra aller en acheter un plus petit ! »
Sophie dit alors : «  Pour quoi faire ? Celui là  ira très bien, à  chaque pas il se balancera et me rappellera que jʼappartiens à  Françoise ! Françoise veux-tu bien me le mettre, après, je passerai moi-même la clef autour de ton cou ! »

Cʼest ainsi que pour la deuxième fois, jʼapprochais mes doigts de la vulve de Sophie. Elle était déjà  toute humide, en fermant le cadenas avec ce « clic » si prometteur je sus que nos vacances démarraient sous les meilleurs auspices ! Je vis le cadenas remuer quand Sophie sʼapprocha encore plus de moi pour me mettre la clé autour du cou, je lʼavais à  hauteur des yeux tandis que ses deux seins me frôlaient le cuir chevelu.
Comment allai-je gérer la chose : deux amants sous clé ?


.

#3
Keyholders / O๠est passée Sylvia ?
Novembre 25, 2013, 06:00:57 PM
Connaissez vous le livre jeu : où est passé Charlie - reconnaissable à  son bonnet rouge ( tiens déjà  à  l'époque)
Sylvia serait-elle comme Charlie, noyée dans la masse et difficile à  retrouver ?
Il est fort dommage compte tenu se la qualité de son écriture et la pertinence de ses conseils elle ne soit pas plus présente. Elle a créé cet espace, j'espère que ce n'est pas pour se cacher. Sylvia, vous nous honoreriez de votre présence....!
Ceci n'est bien évidemment pas un reproche, mais juste une envie de vous voir venir enrichir la qualité de nos échanges .
Bien à  vous
Françoise
#4
Bonjour à  tous  et merci Sylvia pour la qualité de cotre blog. Je dois reconnaître que les arguments que vous développez en faveur de la chasteté masculine ont largement contribué à  me convertir.
Faut-il me présenter? je l'ai fait sur votre ancien blog en racontant notre aventure dans la partie traitant de " changez votre vie de couple"
Pour résumer je ne suis pas adepte du sadomasochisme même si je comprends que certains puissent y trouver leur bonheur, Edouard et moi vivons la chasteté sans nier sa virilité. Nous avons acheté une "prison de Morgane"et je veux juste témoigner, ici, de la façon dont ce petit objet a réellement transformer notre vie de couple et aider certaines femmes à  mieux comprendre.
Merci à  tous de m'accueillir
Françoise