Mon Cher Tao
J'ai déjà  répondu à  la question dans un de mes posts précédents !

A établir de telles statistiques, Mon cher Lio ... vous vous faites du mal...!

La patience est mère de vertu, dit-on ! Vous devriez en savoir quelque chose !
Attendons la suite jusqu'au point final de cette aventure ( je m'emploie à  continuer ma rédaction; il faut savoir donner du temps au temps ! N'est-ce pas ?
Si ce récit atteint vos espérances et votre engouement alors pourquoi pas ?
pour l'instant, écrire, comme je le soulignais dans un post précédent, me permet de décanter cette expérience et d'en rediscuter avec Edouard. Il me précise parfois ce qu'il avait en tête à  ces moments là .
Je viens de taper sur google :   Edouard et une nouvelle amante sous clé ! et mon texte y est déjà  référencé en première ligne ! Serait-ce le départ d'une vocation d'écrivain ?
merci de vos compliments, ils me touchent très sincèrement !
Françoise

Vous me flattez, mon cher Hommechaste ! l'idée peut être intéressante ! A suivre...

Lorsque notre garçon n'est pas là , il arrive effectivement à  Edouard de se promener nu dans la maison. En revanche, quand notre garçon est présent, il couvre sa nudité d'un peignoir.
Françoise

Je souscrit au commentaire de notre cher Lio !
Puis-je formuler un souhait ? Celui de voir votre KH nous parler de cvos progrès dans la section qui nous est réservée.
Nous l'accueillerons avec un réel plaisir et répondrons à  ses éventuelles interrogations, (si nous pouvons l'aider, bien sûr !). Sur cette partie du forum, nous avons commencé à  échanger nos expériences. Pour nous vous êtes tous deux en train de rentrer dans ce que nous avons appelé "la deuxième phase" qui mérite beaucoup d'attention de votre part mais aussi de la sienne.
Accordez vous du temps pour bien démarrer et réussir cette nouvelle expérience !
Bien à  vous deux,
Françoise

Pour répondre à  ceux qui sont impatients ( trop ?) voici la suite de notre aventure avec Sophie. Je vous en souhaite une bonne lecture !

Nous étions tous les trois nus devant la cheminée. Le salon était dans la pénombre et seul le feu vacillant nous éclairait, la cage dʼEdouard reflétant de temps à  autre les éclats des flammes. Sirotant notre champagne, nous étions là , silencieux, perdus dans nos pensées et probablement à  analyser les évènements de lʼaprès-midi, cʼétait un moment propice aux confidences.
Edouard rompit le silence de nos méditations et dʼun ton enjoué dit : «  Alors Sophie, as-tu bien profité de tes retrouvailles avec Françoise ? »
«  En partie, oui »
« En partie, seulement ? Que veux-tu dire ? »
«  Eh bien, elle a joui deux fois et moi pas encore ». Je reconnaissais bien  là  le côté direct de Sophie ! « Cʼest ce que tu souhaites, non ? » ajoutai-je
«  Oui bien sûr, je ne reviens pas sur ce que jʼai dit, mais je navigue en pleine frustration ! Mais …cʼest trop bon ! »
« Je te ferai jouir quand je lʼaurai décidé, là  et quand je le voudrai. Peut-être ce soir, peut-être demain ou peut-être pas ! Comme pour Edouard ! » Me surprenais-je à  répondre.
Sophie, comprenant quʼil ne fallait pas insister changea de sujet.
« Alors Edouard, la nouvelle tonsure de ta femme, ça te plaît ? »
« Je ne mʼy suis pas encore habitué, mais jʼavoue que tout à  lʼheure cʼétait plutôt agréable. Mais, il faudrait que jʼy goute à  nouveau pour être certain ! »
« Coquin ! » ajoutai-je
«  Et toi Sophie, comment te sens-tu avec ton cadenas ? » demanda Edouard
« Cʼest intéressant, il mʼexcite en permanence. Chaque pas que je fais, le fait osciller et me rappelle son existence, jʼattends avec impatience que Françoise fasse un geste vers sa clef !»
« Cʼest exactement comme moi quand je porte ma cage ! Je la sens à  longueur de journée et un geste de Françoise vers son collier me rempli dʼun espoir fou. A ce moment là  je suis prêt à  tout pour quʼelle me libère. Cʼest la première fois que tu portes un cadenas ? »
« Non mais de cette taille et de ce poids, oui »
«  Il faut souffrir pour être belle ! » ajouta Edouard «  Et, au fait, ça a fait mal quand on tʼa percée ? »
«  Oui et Non, ça a été très rapide ! »
«  En tous cas, cʼest très esthétique ! »
« Tu trouves ? Cʼest vrai, moi aussi jʼaime bien, et toi, Françoise, quʼen penses-tu ? »
«  Oui cʼest joli, et puis pouvoir y mettre un cadenas cʼest vraiment intéressant ! Mais tu dois vraiment faire attention à  ce que ça ne sʼinfecte pas, non ? »
« Oh oui bien sûr, mais ça ne demande pas beaucoup plus dʼefforts dʼhygiène que dʼhabitude »
« Cʼest vraiment joli »  Insista Edouard « et puis sur une peau lisse ça ressort bien ! Tu nʼas quʼune sorte dʼanneaux ? »
«  Non jʼen ai plusieurs types on peu les changer, mais il y a des filles qui se font sertir les anneaux, comme ça on ne peut pas les enlever sans les couper. »
« Arrête » dit Edouard « Tu me fais rêver ! »
« Il nʼen est pas question » coupai-je, «  je te vois revenir à  lʼattaque, cʼest non ! Je ne mʼen ferai pas poser »
« Il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas de ton eau ! »  dit Sophie «  Pourquoi, tu as peur ? »
«  Non ce nʼest pas ça, ça ne doit pas être pire quʼun accouchement, non cʼest le risque dʼinfection, la peur dʼêtre gênée en permanence, de ne pas avoir quelque chose de naturel »
« Oui mais tu reconnais que cʼest joli » coupa Sophie.
« Oui mais.. »
«  Tu sais, cʼest comme des boucles dʼoreilles, tu tʼes déjà  bien fait percer les oreilles, ce nʼest pas pire, tu sais il y a des tas de filles qui se font percer, cʼest très tendance ! »
«  Oui je sais, mais.. »
« A propos de boucles dʼoreilles en as-tu encore avec des clips ? »
« Oui peut-être, jʼai du en garder »
«  Ce soir, cʼest fête, nous allons nous décorer en sapins de Noel !  Va chercher tes pendentifs »
« Dis donc, tu ne me donnes pas dʼordres toi ! » elle commençait à  mʼénerver à  prendre toujours des initiatives, à  avoir toujours raison. Nous étions bien là  à  discuter, je ne voulais pas briser le charme et quitter la pièce.
«  Dis moi où ils sont ajouta Edouard, je vais les chercher. »
« Non tu ne vas pas les trouver,
«  Dans mon armoire, dans le coffret à  bijoux »
«  Rapporte tout le coffret » ajouta Sophie, « nous allons nous habiller que de bijoux ! »
Edouard rapporta le coffret et lʼouvrit.
« Qui veut un sautoir ! Sans jeu de mots » ajouta-t-il !
«  Oh moi je veux bien ! » dit Sophie avec un large sourire, « ça me fera du bien ! » et sans plus de façon elle prit mon collier de perles des mains dʼEdouard. Elle lʼouvrit et nous la vîmes passer une extrémité par chacun des anneaux quʼelle portait aux tétons. Elle demanda à  Edouard de bien vouloir le refermer. Bien évidemment, le collier nʼavait pas la taille suffisante. Elle remonta ses seins et dit : «  Edouard tu dois pouvoir fermer, nʼhésite pas à  tirer sʼil manque un peu ! » Edouard sʼaccomplit et ferma le collier. Sophie lâcha ses seins.    Sous lʼaction de leur poids, ceux-ci retombèrent mais furent retenus dans leur chute par le collier, restant étirés vers le haut. Sophie grimaça et repris son sourire en déclarant : «  Nʼest-ce pas une façon intéressante de porter un collier ! »  Les seins de Sophie, étaient tirés vers le haut et se rapprochaient créant un magnifique sillon, les anneaux étirant bien ses deux tétons. Sophie se précipita vers le coffret. En se penchant ses seins, attirés par la pesanteur, tendaient le collier. Elle fouilla le contenu  et ressortit deux grosses boucles dʼoreilles.
« Pour qui celle là  ? Moi je sais ! Tu penses ce que je pense Edouard ? » Dit-elle dʼun air goguenard.
Sophie sʼapprocha de moi, commença à  me caresser les oreilles, ce qui me rassura, puis elle descendit en mʼembrassant le cou, descendit encore pour engloutir un téton au passage et continua sa descente vers mon puits dʼamour où sa main sʼétait déjà  aventurée. De ses doigts elle mʼécartait les lèvres tandis que sa bouche se cristallisait sur mon bouton, et par surprise, elle mʼattacha un clips aux lèvres. Je sentis le léger pincement du fermoir quand elle le referma.
« Fais voir, mets toi debout ! » La boucle dʼoreille pendait dans mon entrejambe. Et le mouvement créé la faisait venir heurter lʼintérieur de ma cuisse.
«  ça fait déséquilibré Non ? Quʼen penses-tu Edouard ? »
Effectivement en regardant dans la glace de la cheminée, une lèvre pendait un peu. Heureusement ces pendentifs nʼétaient pas trop lourds ! 
«  Viens on va rectifier cela et sans que je ne puisse rien dire, Sophie prit ma deuxième lèvre entre ses doigts et referma le fermoir.
«  Cʼest mieux Non ? » dit Sophie «  Regarde comme ça met ton sexe en valeur ! Cʼest magnifique ! »
Effectivement, sous lʼaction des légers poids des boucles dʼoreille, mes lèvres se détachaient bien et découpaient mon sexe dʼune façon parfaitement symétrique. Les deux grosses perles qui ornaient ses boucles attiraient le regard et chaque mouvement venait les faire battre contre mes cuisses.
« Tu ne peux pas nier, maintenant, que les bijoux de sexe ne sont pas faits pour le mettre en valeur ! Edouard tu aimes ? »
Edouard, qui nʼavait rien dit jusque là  mais nʼavait pas perdu une miette des travaux de Sophie essayait de retenir une tentative de bandaison. Son sexe turgescent était, fort heureusement, comprimé par la cage.
«  Eh ben, ça te fait de lʼeffet, on dirait » déclara Sophie
«  Oh oui, cʼest tout simplement  magnifique ! Quels changements en si peu de temps ! Sophie tu es une fée, le sexe de Françoise mʼenvoutait, maintenant il me fascine !  Et toi Françoise quʼen penses-tu ? »
«  Effectivement, cʼest surprenant, je nʼai pas lʼhabitude. Le pincement est quelque peu désagréable, mais on sʼy fait .. »
«  Tu vois, tu te ferais percer, tu nʼaurais pas ce désagrément, alors tu les garde ? » ajouta Sophie
«  Puisque ça plaît à  mon chéri pourquoi pas ? »
«  édouard, implore à  genoux ta Reine et demande lui la faveur de conserver ces ornements ! » déclara Sophie.
Je vis Edouard se lever de son fauteuil, se mettre à  genoux et dire très sérieusement : « Françoise ma Reine, veux-tu bien conserver ces bijoux qui te mettent si bien en valeur ? »
Je répliquais, amusée par la situation : «  Oui je le veux bien, à  une condition : cʼest que tu viennes vérifier, par toi-même, sʼils ne te gêneront pas lorsque tu me lècheras »
Je vis Edouard sʼavancer vers moi à  genoux, tendre sa langue, attendant que je vienne y apposer mon sexe. »
«  Au contraire !» dit Sophie, « Tu verras, Edouard, en tirant légèrement sur les boucles tu pourras encore mieux écarter les lèvres pour mieux satisfaire ta Reine ! »
Edouard ne se le fit pas dire deux fois, exprimant pleinement ses talents linguaux, sa langue me pénétrait et sʼactivait. Il était encore trop tôt pour que je prenne mon plaisir une troisième fois en si peu de temps, je voulais conserver de lʼénergie pour la fin de soirée ! Je reculais en disant : «  ça suffit ! » malheureusement Edouard tenait une des boucles dʼoreille dans ses doigts et mon mouvement de recul fit que le pendentif se détacha brutalement mʼarrachant un « ouille » de la bouche ! Lʼexpérience du bijou de sexe devenait malheureuse.
Sophie, en grande connaisseuse de la psychologie féminine, sauva lʼaffaire en disant : « Mais quel maladroit ! Répare ta faute immédiatement ! Françoise tu devrais le punir pour cela ! »
Je vis Edouard penaud sʼavancer et sans un mot me remettre la boucle dʼoreille en place.
Je fus surprise de mʼentendre répondre moi-même un énigmatique : «  Nous verrons, nous verrons ! »
Sophie sʼapprocha de moi et avança ses lèvres vers moi pour un langoureux baiser auquel je répondais avec envie.  Elle me souffla : « Tu progresses Princesse ! Tu es belle ! Tu me fais envie et je tʼaime ! » Elle me faisait fondre.
Edouard était à  nos genoux, levant la tête il nous contemplait dans un sourire de bonheur.
Sophie ajouta : «  Fais moi jouir, vite, jʼen ai envie »
Je répondais : «  pas tout de suite, pas tout de suite, il faut le mériter, car pour lʼinstant jʼai faim pas toi ? »
«  Sophie répondit à  lʼadresse dʼEdouard : « Viens Edouard notre Reine a faim, ne la faisons pas attendre, allons préparer le dîner, mais auparavant ressers un peu de champagne à  Françoise, quʼelle puisse patienter agréablement ! »
Edouard sʼexécuta tandis que Sophie sʼorientait déjà  vers la cuisine. En remplissant mon verre je demandai : «  Alors, mon chéri, Heureux ? »
«  Oh oui ! » me répondit-il avec un large sourire !
Je savais quʼen préparant le dîner, Sophie et Edouard ne manqueraient pas de commenter les derniers évènements, mais je nʼen nʼavais cure. La situation plaisait à  Edouard et, certainement, à  Sophie. Quant à  moi, jʼen étais encore étourdie ! Me laissant bercer par la douce chaleur du feu et hypnotiser par ses flammes, tout en jouant, nonchalamment,  avec le pendentif qui ornait mon sexe,  je me laissais emporter dans mes pensées.
Je sentais, inconsciemment, que jʼavais passé un nouveau cap mais sans pouvoir analyser précisément lequel. En tous cas, et en si peu de temps,  la présence de Sophie avait apporté un nouveau piment. Mon sexe était aussi nu que lorsque je suis arrivé au monde, jʼacceptais confusément lʼidée du bijou et du piercing, ne rejetais pas les amours saphiques, loin de là  même, et mʼaventurais, un peu plus, dans un rôle plus autoritaire qui finalement nʼétait pas pour me déplaire. Jusquʼoù irai-je ? Et ce soir, avec qui allai-je passer la nuit ? Edouard ? Cela nous permettrait de discuter et dʼanalyser, ensemble, ce qui sʼétait produit. Bien que cʼétait une façon de la laisser encore mariner, lʼidée de laisser Sophie sur sa faim et dans la chambre dʼà  côté ne me satisfaisait pas. Que faire ? La question ne manquerait pas de se poser. Et si je laissais les événements décider à  ma place ?

Bienvenu Zébulon,
Avez-vous déjà  abordé la question avec elle ?
Bien à  vous
Françoise

Je viens de mettre à  profit le début d'après midi pour poursuivre le récit de nos aventures avec Sophie. Je le mets en ligne pour vous remercier de vos compliments et parce qu'Edouard y prend goût !
Il m'avoue qu'il apprécie ce côté quelque peu exhibitionniste de ma part..
Voici donc le suite :

Nous étions là , au coin du feu, Edouard et moi seuls, Sophie préparant le plateau dʼapéritif. Edouard me dit «  Tu as bien joui ? »
«  Oui, par deux fois »
« Et elle, tu lʼas fait grimper au rideau ? »
«  Non pas du tout, je nʼen nʼai pas eu le temps ! »
« Pas le temps ? »
«  En fait oui, et puis la deuxième fois jʼétais repue »
« Egoà¯ste ! » me dit-il avec un grand sourire et un regard enjôleur.
« Pas tant que cela, Sophie a un vrai penchant pour la soumission. En fait, elle souhaite comme toi, que je ne la fasse jouir que quand je le déciderai. En réalité cela mʼarrange, je vais la pousser à  me désirer ! »
« Soumise ? Sûrement, mais quelque peu dominatrice aussi quand on voit sa réaction de tout à  lʼheure ! »
« Oui et toi tu ne tʼes pas rebellé, tu tʼes couché à  mes pieds, simplement parce quʼelle te lʼordonnait, ça mʼa surprise de te voir accepter comme cela »
« Que voulais-tu, je nʼavais pas le choix ou je me rebellais et nous prenions le risque de nous engueuler Sophie et moi, ou je mʼinclinais en sauvant la situation. Comme tu le sais jʼai choisi la deuxième solution et cela nʼa pas été sans me déplaire ! »
« Que veux-tu dire ? »
« Jʼai aimé être à  tes pieds et te demander pardon. Tu sais que tu peux te permettre dʼêtre encore plus directive et exigeante avec moi. Je perçois chez toi cette capacité qui me fais envie et sur laquelle tu redoutes de tʼabandonner ! »
« Je sais, nous en avons déjà  parlé souvent, mais je ne me sens pas mûre pour cela »
« Pourquoi ? Tu nʼaimes pas que je fasse tes quatre volontés, que jʼanticipe tes désirs.. »
« Si, mais .. »
« Mais quoi ? »
« Je ne veux pas que tu deviennes un larbin, je veux que tu restes toi-même »
«  Mais cʼest une partie de moi-même. Comment veux-tu que je progresse encore si tu ne me fais pas comprendre plus directement ce que tu veux. Tu sais que ce que je veux cʼest ton bonheur et, pour ça : être le meilleur des maris en assouvissant tes moindres désirs. Nous avons beaucoup progressé ces derniers temps, grâce à  la cage mais tu sais que, par moments,  jʼai la comprenette difficile ! Alors,  pour que je nʼai pas à  tâtonner que je réponde plus rapidement à  tes désirs, cʼest vrai que je souhaiterais que tu les exprimes, parfois davantage et plus directement. En un mot, oui je souhaite que tu deviennes plus directive, plus dominante en quelque sorte.. Tu vois lorsque Sophie tʼa dit : « quand on exige on obtient », ce nʼest pas neutre. Elle te connaît, elle a probablement voulu te faire comprendre que pour elle cʼest la  même chose. Mets à  profit ces quelques jours que nous allons passer avec elle pour forcer un peu ton tempérament. Sois exigeante, intransigeante, ne laisse rien passer. Je sais que ça lui plaira et que moi ça ne me déplaira pas ! Regarde, elle sʼest déjà  mise en position de soumission en acceptant le cadenas. Cʼest comme pour moi et la cage. Tu nʼas plus quʼà  te laisser aller, à  développer cet aspect de ta personnalité. Fais le pour toi, libère toi ! »
Là  dessus Sophie entra en apportant le plateau. Cʼétait une vision étrange ! Cʼétait comme si le plateau la coupait en deux ! En haut ses seins reposaient sur le plateau et en bas le cadenas attirait nos regards.
«  De quoi parliez-vous en mon absence bande de petits cachottiers !»
Edouard répondit «  de domination et des prédispositions de Françoise»
« Ah bon ? Et vous faîtes cela pendant que jʼai le dos tourné, jʼai pourtant, je crois, une bonne connaissance et expérience du sujet! Je peux joindre à  vous ? »
Edouard renchérit : «  Bien sûr, tu sais que nous nʼavons rien à  te cacher ! »
Sophie demanda : « Et où en étiez-vous ? »
Edouard dit : «  Je reconnaissais à  Françoise, ses prédispositions pour être plus dominante »
Sophie répliqua : «  ça cʼest évident ! »
«  Quʼest-ce que tu en sais toi ? » dis-je à  Sophie
«  Il suffit de tʼobserver pour voir que tu as une autorité certaine et tu dégages une véritable assurance. Regarde tout à  lʼheure quand tu tʼes emparée de mon cadenas avec  les dents, tu nʼas pas hésité, lorsque je me suis soulevée pour que la tension tende bien mes lèvres, tu nʼas pas lâché »
«  Oui mais ça cʼétait autre chose ! Cʼétait dans le feu de lʼaction ! »
« Sûrement, mais si tu es capable de cela inconsciemment, ne nie pas que tu dois pouvoir le faire consciemment ! Edouard a raison tu es une dominatrice qui sʼignore, cʼest dʼailleurs pour cela que je tʼaime ! »
Elle marquait un point ! Pour me débattre, jʼinsistai «  Peut-être, mais cʼest différent ! »
«  Différent en quoi ? »   dit Sophie qui ne voulait pas me lâcher.
« Je ne sais pas moi, et puis je ne veux pas quʼEdouard devienne une carpette ! Je ne veux pas lui faire de mal ! »
Sophie rajouta : «  Et si cʼest librement consenti ? »
Deuxième point. Elle commençait à  mʼébranler. Je nʼétais plus aussi sûre de moi.
Pour reprendre une contenance, et changer de sujet je dis : «  Mêle toi de tes fesses, sers nous plutôt à  boire »
Elle répondit  «  Bien Maîtresse ! »
Troisième point, cʼest vrai, que agacée de me laisser ébranlée, pour couper court, jʼavais dit cela sur un ton autoritaire nʼadmettant pas de réplique.. ;
Edouard sourit et dit «  Oh moi je dis cela, mais je ne dis rien !»
Sophie remplit les verres et les distribua, son cadenas oscillant toujours entre ses jambes. En me donnant le mien elle me murmura doucement à  lʼoreille : «  Tu sais, ma chérie,  la mode est au coaching, si tu veux je tʼaiderai sur cette voie ! Profite de mon expérience ! »
Sophie leva son verre et dit tout fort : « Trinquons à  ces révélations et aux progrès de Françoise ! »
Comme le veut la coutume, je me levai pour entrechoquer les verres, mon peignoir sʼouvrit dévoilant ma nouvelle intimité totalement glabre. Edouard le remarqua immédiatement et ne put sʼempêcher de dire : « Cʼest quoi ça ? Quʼest-ce que tu as fait ? »
Je répondis : «  Cʼest ton ultime cadeau de Noà«l ! Tu nʼaimes pas ? »
Edouard balbutia « euh si, mais cʼest surprenant ! »
Sophie en profita pour adopter son nouveau rôle de coach «  Peu importe Edouard que tu aimes ou que tu nʼaimes pas, Françoise, elle, aime. ça devrait suffire ! Viens ici et passe ta langue ! Tu vas goûter au dernier fruit de Françoise, tu as intérêt à  apprécier cette nouvelle douceur ! Mais tout dʼabord excuse-toi ! »
Edouard baissa les yeux et dit : « Cʼest vrai je nʼai pas mon mot à  dire ! Excuse-moi Françoise. »  Puis il sʼapprocha à  quatre pattes de moi, la langue tendue. Je défis totalement mon peignoir, il  tomba à  mes pieds et approchai mon sexe de la langue de mon mari.
Sophie qui nʼen ratait pas une dit : «  Eh ben dis donc mon cher Edouard,  tu as lʼair bien comprimé la dedans, tu as lʼair dʼapprécier ce que ta maîtresse tʼoffre, je te comprends cʼest tellement doux ! Ne me lʼuse pas !  Quʼil mʼen reste ! »
Edouard lâcha une espèce de borborygme faisant comprendre quʼil acquiesçait. Sous ses coups de langue, il me fit quelque peu perdre lʼéquilibre et mon verre laissa échapper du champagne qui se répandit parterre.
Jʼentendis Sophie dire : « Et en plus, il est maladroit ! Il va falloir corriger cela ! »
Les caresses dʼEdouard commençaient à  me faire de lʼeffet, je ne pouvais tout de même pas me laisser jouir une troisième fois en si peu de temps. Il fallait me ménager, la nuit risquait dʼêtre longue. Je mʼécartai, en disant : « ça suffit ! »
Edouard prit un air de chien battu  et insista en sʼavançant« ça suffit ! » répétai-je fermement, « réservons nos forces et trinquons !»
Je pu mʼapercevoir que mon ton nʼavait pas déplu à  Edouard puisquʼil leva son verre avec un large sourire et dis «  trinquons à  nos progrès mutuels ! ».
Sʼil savait, le pauvre, il ne sourirait pas si béatement !...

ça me semble une excellente idée !
Gageons que notre chère Sylvia l'accréditera aujourd'hui pour votre anniversaire !

Bon anniversaire mon cher Lio !
J'attends votre épouse !
Bien à  vous
Françoise

Bonne lecture à  vous deux, mon cher Liocked, et prévenez moi de son arrivée que je puisse l'accueillir comme il se doit !
Bien à  vous
Françoise

J'ai toujours pensé qu'un beau bijou méritait un bel écrin! Celui-ci est effectivement du meilleur effet !
Françoise

Je plaisantais mon cher Tao
Un peu d'humour dans ce monde de brutes ! ( en rut ?) Lol

Merci mon cher Lio,
J'espère avoir le plaisir d'accueillir très prochainement votre chère et ...tendre dans la partie qui nous est réservée !

J'espère que ce n'est pas par devoir ..! Mais ...par plaisir !

Simple et Direct !
Merci de votre réponse, mon cher Tao et ravie de vous revoir ici !

Je relance ce sujet, car il m'interroge moi aussi, mais vous vous en doutez d'une autre façon !
Tout d'abord, la honte est un sentiment généré par le fait que nous faisons "mal" que nous ne sommes pas dans le "bien" décrété par la société. Alors je vous pose la question  qu'y -a-t-il de honteux à  vouloir le plaisir de sa compagne ?

Honte du regard des autres ? Honte parce que l'on veut lui rester "pleinement fidèle"? Cherchez l'erreur, n'est-ce pas la recherche d'un tableau de chasse qui est honteuse?

Honte parce que quelqu'un a un regard insistant sur la légère bosse qui orne votre pantalon ? Croyez moi, pour ma part non seulement je m'amuse de ce type de regards en pensant " Mon pauvre ou ma pauvre si tu savais! " Et je les appelle "pauvres" à  dessein, car ils ignorent la richesse qu'apporte au couple la chasteté masculine contrôlée !
Honte parce que vous voulez quitter votre statut de super-mâle, pour endosser celui de bien-aimant ? Parlez-en aux femmes qui vous entourent, je suis persuadée que la plupart préfèrent un amant aux petits soins pour elles !
Si vous avez honte, n'est-ce pas que quelque part vous n'assumez pas votre choix ?

Alors Messieurs plutôt que de vous complaire dans cette"honte" plutôt que de laisser traîner sur ce forum, vos états d'âme qui pourraient dissuader de futures KH qui chercheraient à  s'informer, tirez de votre statut toute la fierté d'être le compagnon idéal, l'homme dévoué et attentif, l'homme qui fait passer le désir de sa partenaire avant le sien, l'homme dont nous rêvons toutes !
Bien évidemment, il ne faut pas idéaliser, restons réalistes, je l'ai répété, ici, très souvent, la chasteté masculine contrôlée n'est pas la panacée du couple! Elle correspond à  certains mais pas à  tous et à  toutes, mais il est pour moi évident que si Messieurs, vous avez besoin d'échanger sur vos petites misères, faîtes le s'il vous plaît dans une section où une potentielle KH ne pourrait accéder, afin de ne pas la rebuter!
Je dis cela, mais je ne dis rien, mais vos compagnons de cage ont souvent dû déployer des trésors de conviction ( parcourez les différents posts sur ce sujet) , pour tenter de convaincre leur moitié, alors par pitié, ne soufflez pas un vent contraire ! Vous donnez le bâton pour vous faire battre !
Vous l'avez compris, je me sens bien seule sur ce forum, et j'aimerais que la partie dédiée aux KH s'étoffe ! Permettez-moi, par avance, de vous remercier de l'aide que vous me procurerez !
Bien à  vous,
Françoise

De rien mon cher Luke
Si votre chère et tendre veut approfondir sa réflexion, je l'accueillerai avec plaisir dans la section qui nous est dorénavant réservée ( Merci Sylvia), je tâcherai de répondre à  ses questions.
Bien à  vous,
Françoise

Je l'attends impatience dans notre section réservée !