Bon anniversaire à  notre Hibou !!!


Et après quelques jours de liberté, "y bout"

Quoi ?
Anton, un Brahma qui brame
Quel futile drame de dame fut-il !


Mouhais...
me demande si Sereine ne devrait pas sortir sa cage par anticipation...
ça me monte au peu de cerveau que j'ai

Ou il cherchait la clé de la cage... ou il s'agit du séchoir à  bambous de Claire !
Et dans ce cas, ce n'est pas le déplacement du canapé qui a été puni, mais bien la tentative d'aller les déguster comme un panda...ble !

Ah ahhhhh 


Bienvenue à  toi !


On joue... quelques jours.
Nos KH nous font croire qu'elles jouent.
Mais elles construisent !

Sylvestre,
J'adore Bernard Guy ! (Bernardo Guy dans "le nom de la Rose").


Je vais au bout de ma pensée :
- si Claire a demandé le positionnement dudit à  cet endroit, Anton ne lui a pas indiqué aimablement la nécessité d'ouvrir la porte du placard et il a tort,
- si ce sont les déménageurs, ils intervenaient sous la direction d'Anton, il a tort,
- la femme de ménage, pareil,
- si c'est lui... ça ne change rien.


Donc, Anton est coupable, mais son avocate (RR) vous en convaincra mieux que moi !

Afin d'établir les responsabilités dans cette affaire, il serait indispensable de savoir QUI a présidé au positionnement particulier de ce canapé ou qui l'a ainsi déplacé !


Il peut s'agir :
- de Claire, et toute sanction sera oubliée à  son encontre,
- des livreurs et il serait intéressant de savoir si Claire aurait l'intention de décorer leurs postérieurs,
- de la femme de ménage,
- d'Anton lui-même...


Et puis, bon, c'est louche de cacher une clé de mansarde dans un petit placard proche du sol et derrière un canapé !

Bref, je n'ai pas répondu...


Dimanche matin, hier, dernier jour de nos vacances, Sereine me tint à  peu près ce langage :


- Et bien, mon beau serein, c'est bientôt la fin des vacances ! Je ne comprends pas pourquoi tu as éprouvé ce besoin, alors que tu as été gâté toutes les 36 heures quasiment depuis le début des vacances...
- ... (ne dit rien, Serein).
- Lundi, nous serons à  la maison, tu vas pouvoir retrouver la cage et je vais te faire languir...


Mince ! j'y prenais goût à  ce rythme.




Sinon, pour la première fois, je me rends compte que j'ai du mal à  reprendre le boulot. Presque l'envie de m'installer là -bas, là  où commence la terre en cette province extrême occidentale française.
L'envie de réduire la voilure pour profiter de la vie... PROFITER ! Simplement, de joies simples d'être ensemble.
Arrêter de cavaler, de prendre le risque de s'éteindre plein de regrets, plein du désespoir de ne pas avoir assez profité de cette inestimable Sereine...

Question embarassante de Sereine :


"Pourquoi donc l'as-tu fait, alors que nous faisons très régulièrement l'amour durant ces vacances ?"


Serein : 


L'un d'entre vous aurait-il une idée de réponse pas trop bête (s'il en est...) ?

Bonsoir à  tous,
Je profite d'un petit moment de calme pour donner quelques nouvelles rapides.


J'ai quasiment rempli mon contrat. Il n'est resté que deux rapports non faits sur la liste de Sereine, mais avec des urgences qui se sont intercalées.
J'ai du rédiger une quinzaine de rapports sur les deux semaines avant les vacances.


Depuis, c'est vélo presque tous les jours (pas beaucoup, entre 20 et 40km). Une seule sortie en kayak de mer.
Ponçage du plancher du salon (une horreur... 30 ans de cire à  dégager...).
Pistolet (à  peinture, pas de danger).


Mais surtout, Sereine estimant que j'avais bien oeuvré m'a décagé et m'a ordonné de laisser la cage à  la maison pour la durée des vacances !!!
Avec des principes simples : "ce sont les vacances du machin aussi !".
Moi : "c'est dangereux... je pourrais en profiter !!! " (un peu inquiet).
Sereine : "tant pis ! Ce sont ses vacances aussi. Et si tu perds du temps, car c'est une perte de temps que de te masturber, ce sera autant de temps en moins avec moi".


J'ai fauté une fois. Faute avouée avec un "je m'en doutais... j'étais sur la plage et je me suis dit que tu allais faire une sieste et te laisser aller...".
Puis "tu pourras en profiter quand je retournerai à  la plage".


Marrant, ça m'inquiète plus qu'autre chose !
Dimanche soir, c'est le retour... et la présence de la cage !


Allez, je vous souhaite le bon soir et vous remercie de vos attentions !

Citation de: ReineRouge le Août 04, 2017, 11:00:27 AM
Maintenant, je ne sais pas si les animaux mâles se masturbent ?
Si tel n'est pas le cas, il faut sans doute méditer sur les raisons pour lesquelles les mâles humains le font...
ReineRouge

Dans les animaux mâles qui pratiquent, il y a l'hominidé dit "sapiens sapiens branlotis".
Mais une rapide recherche ajoute à  la liste : le chien, les primates en général, les kangourous, les tortues, les criquets...


Le plus important, où le plus évident, est surtout la violence et la hargne que la conquête sexuelle amène chez les mâles de toutes espèces : bagarre, "je te chante plus fort que toi" (ze voyece animal), je te fais la roue, je me gonfle le cou, je grogne sur mes camarades, je les évince, les zigouille, les éloigne.
Tout ça, pour avoir LE privilège de la reproduction et, partant, de la récompense sexuelle qui en découle (si je puis dire).


C'est surtout le mâle de la mante religieuse qui est fort marri de la jouissance... la petite mort, que certains l'appelle. Pour eux, c'est la mort tout court !


Je cite un extrait de wikipedia qui vaut son pesant d'or :
"Même après avoir eu la tête coupée, le mâle continue à  copuler et transmettre ses spermatozoà¯des
le cannibalisme lors de l'accouplement (...) est quasiment systématique en vivarium.
Certains y voient une forme de cannibalisme tandis que d'autres, d'un avis anthropomorphique, préfèrent y voir une forme d'abnégation."

Mouhais... l'abnégation est elle un critère humain ? Ou un instinct ?
et le mâle, lui... Il le sait qu'il va finir en dîner ?
S'il le savait, on aurait peut être une très forte proportion de mantes-mâles homosexuels, abstinents, onanistes voire encagés volontaires !!!

Serein, naturaliste - philosophe.

Quand je parle de "charme", je pense "courtoisie et amabilité" et pas à  autre chose !


Je ne suis pas homme à  me laisser embobiner par un sourire enjôleur.


Oufti !

Ha, ça... ça me rappelle l'humour de la SNCB.


il y a quelques temps, je monte dans le train à  Bruxelles, direction Lille.
Mon TGV a été remplacé par un Thalys... J'apprendrai quelques minutes plus tard que les deux trains passent sur le même quai (mais pas la même voie) à  3ou 4mn d'intervalle.


Bref, présentation du billet à  une charmante hôtesse, le scrute et m'invite à  aller m'asseoir.


J'échange quelques mots avec mon voisin sur le wagon plein comme un oeuf et lui glisse qu'au pire, je pourrais voyager debout, descendant à  Lille.
Il me regarde et m'annonce "Mais môcieu, ce train ne s'arrête pas à  Lille, il est direct pour Paris". Puis me le confirme.
Je me lève à  la hâte, attrape mon sac, me rue vers la sortie... Une autre hôtesse s'inquiète comme si je venais de Molenbeek et s'instaure un dialogue surréaliste :


- mais Monsieur, descendez-vous du train ?
- je vais à  Lille et ce train ne s'arrête pas à  Lille !
- mais alors, comment êtes-vous monté dans ce train ?
- j'ai présenté mon billet et mon m'a souhaité bon voyage !


- ALORS, VOUS AVEZ DU MAL PRéSENTER VOTRE BILLET !!!


moi : 

Citation de: Anton le Août 03, 2017, 05:48:07 AM

Citation de: ReineRouge le Août 02, 2017, 05:58:14 PM
   
Trois ruptures de mon fait.
Trois réconciliations.
     

J'ai cru comprendre que la spécialité professionnelle de Ours était la maintenance de câblages sophistiqués .....   un comble au moment d'une "rupture" ....   

Heu... il travaille à  la gare Montparnasse ?


Je sors.

Chouette !


J'ai acheté ce matin, par un mouvement de pouce involontaire sur mon téléphone, les oeuvres complètes d'Aristote en format numérique (ruineux... 1,99 Є).


Donc, Anton, nous allons tous deux, avec plein d'autres encagés, prendre ce fameux chemin des philosophes qui nous transformera tous en péripatéticiens !
Rhooo, c'est Reine Rouge et Sereine et toues les KH qui vont être contentes de voir autant de péripatéticiens encagés, vêtus d'une simple toge, déambulant autour de l'Acropole !


J'ai hâte !
Je retourne à  mes rapports (12 dossiers traités depuis lundi dernier) et reviens philosopher dès que j'ai réfléchi. Ce qui prendra du temps.
à  la manière du glissement sémantique si souvent trouvé sur Internet : "quand pensez-vous" est ainsi souvent écrit...
Bof, le lundi et un peu le vendredi soir.

Nous avions projeté d'aller faire une grande randonnée en vélo dimanche, près de chez nous, et que l'aîné de Sereine viendrait nous rejoindre.
Le bougre est étudiant et en vacances depuis plus d'un mois.


Las !, l'affreux footeux avait un match samedi soir et envisageait des heures de voiture (pour nous) pour que nous allions le chercher. Je commençais à  ronchonner en trouvant que Sereine avait autre chose à  faire de son week-end, plutôt que de rouler.


On regarde 50 nuances de Grey (faut bien se documenter un peu pour ne pas avoir l'air de pignoufs dans les conversations du dîners bobos). Puis nous nous couchons avec un Serein qui ronchonne toujours sur ce gamin qui dirige tout le monde avec son affreux jeu.


Dimanche, libération. NOUS nous déplaçons vers chez Môcieur et randonnons quelques dizaines de kilomètres au bord de la Seine.


Le soir, en rentrant, je confesse (ça tombe bien, la dedans, il y a "con" et "fesse") que j'ai été affreux, malhonnête et désagréable et que j'aurais dû écouter sa proposition bien charmante.


Sereine me rejoint devant la télé avec une tenue provocante. Puis me demande de m'allonger sur la table de massage avant de m'appliquer deux coups de sa cravache qu'elle n'avait pas ressortie depuis trois ou quatre mois !
Avant de me masser, puis de me faire l'amour avec assurance et provocations !
Wouahou, quelle soirée !


Le lendemain matin, j'ai tenté de finasser, d'oublier sciemment la cage. Mais elle est restée inflexible.
Et m'a répondu avec un "non" d'évidente surprise quand je lui ai demandé si elle comptait me libérer pour toutes les vacances. Dans le genre "non mais tu rêves ou quoi ?".


Allez, un dernier point.
J'ai demandé à  Sereine - en soulignant qu'il n'y avait pas forcément de réponse à  me donner - si la fessée symbolique appliquée l'avait libérée pour faire l'Amour.
Bien évidemment, je n'ai pas eu de réponse !

Festaminus,
Pour accompagner ton voyage dans le clair obscur de la peinture, je te propose un accompagnement musical :
https://www.youtube.com/watch?v=BFNCznYueD0&t=2074s


Un florilège de larmes et de tristesse, avec des plaintes chantées par un fils... Magnifique !
Une voix comme un instrument de musique, à  la manière de l'archet sur une viole d'amour.


Mais, parce que tout carreau noir a son jumeau blanc, n'oublie pas le soleil, le chant des oiseaux, les rires, le vin (bon), la chaleur du soleil sur la peau !

Festaminus,
vous me pardonnerez cette taquinerie amicale.


Je trouve que vous parlez quotidiennement, admirablement et fort longuement, pour ne pas dire "à  l'envi", d'un sujet sans importance et qui ne vous préoccupe point.


Mais, alors, pourquoi en parler tant ?

Abag,
Je ne partage pas forcément l'avis de Titou (qui m'en excusera je l'espère).


Aken, par exemple, livre une chaine assez fine avec ses cages.
Sereine n'a pas trop aimé la chose et je ne la porte donc pas.
Ceci étant, elle présente deux intérêts :
- peut-être faire moins peser la cage vers le bas,
- surtout éviter toute évasion du machin par le haut !


ça n'a rien de SM, juste du fonctionnel. Un peu comme le joint torique de sécurité que je n'ai pas encore acheté !

Frimousse,
ne parle pas de "déterrer", sinon, Festaminus va rappliquer vite fait !


Plus sérieusement (et encore) il faut croire qu'il se passe de drôles de choses derrière la grosse veine ligne bleue des Vosges, la nuit, au clair de lune !


Notre ami a dû dérouiller sévère avec ses jolis gilets. Ou il a essayé des chaussons en paille de fer.


Allez, Anton, cesse de ronchonner et reviens nous conter tes aventures, nous abreuver de tes pensées où filtres les arômes des vieux bourgognes que tu affectionnes !


Sinon, nous nous unissons pour demander à  Claire, sous la contrainte s'il le fallait, de te forcer à  revenir !

Ainsi, en l'an de grâce 2017, année de la disette, Festaminus entra dans la sobriété monacale.


Mais, comment diable (le terme est choisi) peut-on par avance fermer l'huis à  Dame Nature, à  l'incroyable Roue de la Fortune, aux desseins du Destin, à  l'intention de l'Intention ?


Jeune, âgé de 7 ou 8 années, un prêtre nous posa une question terrible, TERRIBLE, juste avant la récréation : "si vous appreniez que vous allez mourir dans vingt minutes, que feriez-vous ?".
Nous autres, soucieux de répondre justement, déclarâmes vouloir rester là  et prier.


à  sept ou huit ans, la confrontation à  sa propre mort, à  la brièveté de sa propre vie résonne comme la fin de l'insouciance enfantine.
Mais la leçon est restée !


Un jour, il m'a été demandé, par jeu, d'imaginer mon testament philosophique... Ma réponse a tenu en quelques mots :
"vis ! VIS ! Jouis de la vie, de la beauté du monde, de chaque instant".


Ainsi, la nature, l'intention, le dieu ou les Dieux nous ont dotés d'un sexe, généralement en état de fonctionnement, et de nature à  nous transporter dans un univers extatique pour la perpétuation.
Perpétuation, certes, mais avec du plaisir ! Et plaisir, parfois ou souvent, sans fécondation.


Alors... alors, pourquoi refuser par avance toute jouissance ?
Non pas de ces PPS compulsifs et désolants, mais cette jouissance donnée et reçue, cette musique de soupirs dans le sombre silence de l'univers ?


Trois sons émerveillent l'univers : la musique, art immatériel par essence, le rire d'un enfant et les soupirs d'une Femme en proie à  cette transe extatique.


Je ne juge pas, éminent Festaminus et je n'oserais te suggérer de renoncer.
Mais ne ferme pas la porte à  l'émerveillement du bonheur, de l'Amour et du Plaisir noble !