Citation de: AlvaRagnar le Juillet 20, 2020, 08:33:36 AM
Tout ceci, mon cher Anatole, pour vous dire de ne pas pleurnicher sur votre sort. Vous avez eu un peu mal au coeur de la savoir loin de vous, mais sachez bien que MJ n'a pas cessé de penser à  vous, je n'en doute pas !
Réjouissez-vous d'être parmi les pionniers d'un mouvement qui rétablira un déséquilibre.

Merci Mme Alva. J?ai besoin de ces messages réguliers qui me rappellent l?apport positif de la démarche.

Mon regret est de ne pas être capable de traverser ces moments sans avoir ce trouble qui m?a habité samedi.

Comme nous le disons avec ma maitresse, je dois devenir papillon, je suis souvent chrysalide et samedi j?étais une pauvre chenille. Je n?aime pas lorsque je suis ainsi imparfait, cela me met mal à  l?aise.

J?ai peur d?être encombrant.

Ma maitresse vient de partir 4 jours. Je suis dépendant d?elle, je ne réussis plus comme avant à  vivre par moi-même, et j?ai peur que ce soit un dysfonctionnement lourd à  porter pour elle.

Elle m?a encagé, le lien est là , la peur aussi.

A la réflexion je ne me sens pas incompris. Je sais que mon ressenti aujourd?hui vient uniquement de mon entrée encore récente en gynarchie.

Ma maitresse s?assume enfin et assume sa liberté comme lorsqu?elle vivait loin de moi, lorsque nous vivions séparés. C?est exactement ce que je souhaite, et j?ai juste besoin d?en expérimenter les sensations.

Pas toujours facile d?être le bon compagnon. Aujourd?hui me le démontre.

Je suis tendu ce soir. Je le suis depuis ce midi, en fait.

Ce matin, je suis allé suivre le cours de natation auquel m?a inscrit ma maitresse. Le cours se passe bien. J?en sors et je fais des achats pour réaliser le aménagements du jardin dont nous sommes convenus, en remplacement du prestataire qui est aux abonnés absents faute de disponibilité. Résultat, je rentre à  la maison à  13h30, et n?ai pas vu ma maitresse depuis 9h.

En arrivant à  la maison, je la croise qui s?en va, sans me dire où. J?obtiens qu?elle m?informe de son retour sous 1 heure, qu?elle a acheté les repas du jour (elle est vraiment gentille) et que les enfants m?ont attendu pour manger. Je fais et range le repas, je range la maison, je m?apprête à  prendre quelques minutes pour une sieste quand mon ex amène mes enfants... quel timing... embrassades, beaucoup de choses à  me dire, je ferai la sieste plus tard.

Sur Whatsapp, je découvre, dans un groupe que je partage avec ma maitresse et des amis, qu?elle est allé s?acheter seule un objet dont elle me parle depuis longtemps, et qu?elle présente, heureuse, à  nos amis. Et moi ? Je suis quoi ? Elle ne me tient pas informé de l?avancée de sa démarche, ne me fait pas participer au choix, et m?informe en même temps que des amis. Suis-je un ami ? A ce moment-là  je me penche sur ma cage et me rappelle qu?elle est le témoignage permanent de mon lien à  elle, et de ma place exceptionnelle à  ses côtés. Cela me rassérène.

J?emmène les enfants chez la libraire. Ma maitresse rentre à  ce moment-là , et me signale qu?il fait chaud, sur un air de reproche. Dois-je comprendre qu?elle préférerait que je reste à  la maison ? Je ne sais.

Je rentre en me pressant, le passage à  la librairie, plus long que prévu, m?ayant mis légèrement en retard sur le service que ma maitresse m?a demandé : aller chercher son fils chez son père. Je fonce, tendu, avec l?objectif de rattraper le retard afin qu?elle n?ait pas à  subir les foudres de son ex, un tyran égoà¯ste.

Aller-retour fatigant durant 1h30, je manque de m?endormir 2 fois au volant. Je pose son fils à  la maison et repars, faire les courses de la semaine.

Je rentre à  19h30 d?avoir fait les courses de la semaine, ce qui fait 1h30 de courses. Ma maitresse me signale que j?ai été long. Bon. En même temps, les courses un samedi soir, je ne sais pas les faire rapidement.

Je vais la voir pour lui indiquer que je suis contrarié par des amis qui m?ont oublié ce jour. Nous avions convenus qu?ils devaient m?appeler le matin pour que je les rejoigne pour une sortie vélo. Je savais que je ne pouvais plus le faire, devant aller chercher son fils. J?ai été contrarié par le fait que ma maitresse ne se soucie pas de ma sortie vélo, mais, en bon compagnon, j?avais pris sur moi. Elle n?avait pas réagi. Bon.  Ce n?est pas grave, et au contraire, je suis le bon compagnon que je souhaite si je ne réagis pas. Par contre, je n?apprécie pas que mes amis m?oublient. Je lui en parle, elle me rembarre, semblant négliger que je puisse avoir des états d?âme, renvoyant à  une erreur de communication et ne cherchant pas à  comprendre mon état d?être.

Je me rends bien compte que cet écrit cherche à  obtenir qu?on me plaigne, et que ce n?est pas être un bon compagnon qu?être ainsi. Mais cela me fait du bien d?écrire, cela me permet d?extérioriser et, un peu, de m?apaiser.

Je me suis isolé pour me détendre. Ma maitresse vient de me rejoindre avec un verre de rhum arrangé frais. Apaisés, nous avons parlé. Je lui ai dit qu?elle me manque. Que la présence de son fils cette semaine, alors qu?il devait être chez son père, nous avait privé de précieux et rares jours amoureux à  deux, durant lesquels nous créons notre espace. Aujourd?hui était similaire, chacun ses occupations sans se soucier de l?autre. Et demain elle part pour 4 jours loin de moi.

Je sais que je suis trop dépendant à  son contact. Je sais que la cage est une preuve de sa présence. Mais sa peau m?a manqué, son odeur, des temps à  deux. J?ai perdu un peu pied aujourd?hui, en laissant se développer l?impression en moi que je suis dispensable. C?est vrai objectivement, je le suis. Mais j?ai un tempérament de koala, je dois encore travailler sur mon besoin de contact.

Excusez-moi de livrer ce retour à  chaud. Il est peut-être utile à  la compréhension de mon chemin en gynarchie, peut-être pas. Merci en tout cas d?être un espace où je peux l?exprimer.

☺️

Ce soir j?ai organisé une soirée à  la maison. Nous étions une douzaine d?adultes et une dizaine d?enfants.

Ma maitresse ne s?est occupée de rien, nous a rejoint 45 mn après le début, a profité, m?a donné quelques ordres. Là , tout le monde est parti, ma maitresse est allée se coucher en m?allumant au passage, me laissant tout ranger, la vaisselle à  laver.

Je suis heureux. Je repense à  toutes ces années où j?ai connu des femmes qui rangeaient après ce type de soirée pendant que l?homme cuvait, traînait ou papotait. Je vis un doux rééquilibrage des choses et je suis vraiment heureux que MJ en bénéficie.

Beaucoup de choses se sont déroulées ces derniers jours. Une nuit en cage, un réveil câlin, des épreuves sportives, et une purge prostatique dans le bain.

Le jour de notre retour à  la maison, après un apéritif avec des amis - un peu trop arrosé - une sieste et une sortie natation, ma maitresse m?a autorisé un long bain. En récompense de mon bon comportement, elle m?a offert un temps de plaisir solitaire, en m?amenant un gros toy rose qui, selon elle, a éveillé en moi un air gourmand.

C?était la première fois que j?utilisais un toy dans mon bain. J?en ai tiré un plaisir plus intense et plus rapide que jamais.

Depuis, je continue de m?efforcer de la satisfaire. J?ai dormi encagé une nuit, ce matin elle s?est empalée sur moi au réveil, et j?assure le lot de tâches ponctuelles qu?elle me demande : étendre du linge, porter ses sacs dans sa voiture, lui ouvrir le portail, faire ses courses, ...

Les récompenses qu?elle m?octroie renforcent mon désir de la satisfaire.

Merci Anton. Merci Lady Val. Voilà  qui est plaisant à  lire de votre part, que je continue de découvrir le long des posts de ce très agréable forum.

Mesdames, puis-je vous demander quel est le cheminement qui vous a amené et vous amène au plaisir d´avoir vos « Monsieur P. » ?

A vous lire,
Humblement et chastement,

Anatole

Merci Bonobo, merci Reinerouge. C?est encourageant de savoir que le chemin que j?ai pris vous semble le bon.

Hier, pas de cage finalement. J?ai conduit une bonne partie de l?après-midi, ma maitresse était fatiguée, sans cage, à  sa demande.

Arrivés à  la maison, j?ai pris ma part de tâches, et, après diner, j?ai fait ce qu?elle m?a demandé avant de me coucher : vider et ranger sa valise, suspendre un petit support à  bijoux qu?elle voulait que je suspende sur le champ, et faire les exercices physiques qu?elle m?impose maintenant le soir. Si j?étais fatigué je n?avais qu?à  penser à  la surprise qu?elle me réservait dans le lit.

Dans la journée elle m?avait dit en riant que cette nuit elle dormait avec le chien, et moi dans le panier du chien. Elle a même lavé le chien pour qu?il sente bon.

Lorsque je l?ai rejointe dans la chambre, elle m?a dit de me coucher à  ses côtés et de fermer les yeux. Elle a posé quelque chose sur mon ventre et m?a demandé d?ouvrir les yeux : les 2 nouvelles cages qu?elle avait commandé sur internet.

Je les ai essayées toutes les 2, j?ai également réessayé une en plastique que je ne porte jamais. Nous en avons 5 maintenant...

Elle est un peu déçue parce que, si le design est joli, elles ne sont pas plus « mini » que celles que j?utilise déjà , et plus lourdes. Je crois qu?elle en cherche une pour le port permanent, ajustée et peu encombrante.

Elle m?a demandé ma préférence, et m?a indiqué celle que je dois porter aujourd?hui.

Elle a senti un peu de déception chez moi, que je me suis efforcé de ne pas montrer et que j?ai minimisée autant que possible. En effet je savais déjà  que des nouvelles cages etaient arrivées, elle me l?avait dit, il n?y avait pas de surprise. J?espérais un orgasme, une ruine ou une purge...

J?ai hésité à  lui demander la cage pour la nuit, pour ne pas l?importuner de mon désir, mais je me suis fait confiance et bien m?en a pris : je l?ai laissée tranquille et ce matin c?est elle qui a eu envie de faire l?amour avec moi. Nous avons joui tous deux, moi après elle, lorsqu?elle m?a dit de me dépêcher parce que je ne savais pas combien de temps je vais attendre avant de pouvoir de nouveau jouir.

Elle s?est levée il y a 2 heures et m?a demandé de rester dormir, en me disant qu?elle m?apporterait mon petit-déjeuner et valorisant, c?est vrai, le fait qu?elle prend soin de moi.

Une fois terminé cette écrit, je ferai cesser mon érection et j?enfilerai la cage. Je veux qu?elle soit contente de moi lorsqu?elle viendra. Je suis prêt à  être à  son service aujourd?hui. J?aime sa joie d?être elle-même sans que je lui mette, même involontairement, de pression.

C?est vrai. Je n?y pense pas, en fait. Je m?adapte.

Bonsoir à  tous.

Dernier soir au Levant. Nous avons fait beaucoup de rencontres sympa et vecu des moments forts à  2. Je me sens plus proche que jamais de MJ.

Demain, elle me l?a dit, je retourne en cage. Je le savais, j?ai intégré cet élément dans ma vie. Une semaine de cage avec elle, probablement libéré la nuit, avant une semaine seul avec les enfants et la cage H24.

Je suis heureux de la connaître et d?avoir la chance d?être dans sa vie. Je la vois confirmer un peu plus chaque jour sa priorité à  elle-même avant moi ou le reste du monde, et cela me plait. Je la rencontre chaque jour et j?aime cela.

 

Pour ma part j?ai assumé sereinement. C?est moi, je n?ai pas à  me cacher. Au milieu de naturistes libertins, ce serait un comble.

Les femmes étaient très intéressées, cela avait un côté « soirée Tupperware », et l?une d?elle a annoncé à  son mari qu?elle lui en achèterait une pour ses innombrables déplacements. MJ venait justement de leur montrer la cage plastique avec cadenas numéroté qui permet de passer les portiques de sécurité.

Les maris étaient amusés, les femmes aussi, et intéressées en plus. La question de la purge est revenue plusieurs fois, ainsi que celle de mon propre ressenti. L?occasion pour moi de réaffirmer que ma joie est celle de voir ma maitresse épanouie. J?ai ainsi raconté notre cheminement de couple, et mon souhait d?être guidé dans la vie par ma maitresse.

Ma maitresse leur a expliqué la traite et la purge prostatique. L?un des hommes s?est montré très intéressé, notamment parce que j?ai indiqué le niveau de puissance du plaisir obtenu ainsi, bien supérieur à  l?orgasme traditionnel.

Ils ont chaleureusement félicité ma maitresse qui n?en revenait pas d?avoir osé tout raconter. Elle m?a indiqué être satisfaite d?avoir trouvé un espace où assumer cette part de nous, ce qui a achevé ma joie.

A noter qu?elle a également assumé ne pas être echangiste, au grand dam de celui qui se retrouvera encagé à  son prochain voyage, qui nous avait invité et qui a cherché toute la soirée à  convaincre MJ de jouer avec lui. Elle l?a laissé lui embrasser les pieds mais il n?a même pas pu laisser sa main sur une fesse nue.

D?après ma maitresse, la compagne de celui-ci aurait bien aimé jouer avec moi. J?en suis honoré mais, par prudence, je lui ai demandé de m?encager pour la nuit, ce qu?elle a fait. J?ai senti que toute cette soirée me donnait des envies et je ne voulais pas importuner mon amour de maitresse. Au milieu de la nuit, des moustiques nous ont réveillé. A la demande de ma maitresse, j?en ai tué 5. Elle m?a félicité par un orgasme dans sa main, qu?elle a provoqué par un compte à  rebours.

Sans cage, la nuit aurait été autre, je serais resté tendu, probablement moins agréable à  vivre pour elle, et ni elle ni moi n?aurions bénéficié de ce que nous venons de vivre. Merci mon amour de maitresse.

Ce soir ma maîtresse a assumé. Invités à  l?apéritif par un groupe de libertins, elle leur a expliqué la CMC, en me demandant d?aller chercher les cages pour les montrer. Un grand moment !

Bonjour à  tous.

Depuis quelques jours, nous sommes au Levant, une île naturiste où le port de la cage n?est pas envisageable, et je voudrais partager avec vous mes sensations.

Mes émotions sont mélangées. Celle qui domine au-dessus de tout est la joie. Joie d?être nu, la peau au soleil, mais joie surtout d?être en continue proche de MJ, de son corps magnifique, et proche par nos esprits. Cette île est un paradis sur terre et le covid y laisse moins de monde que le millier habituel. Nous devons être 200/300. Du coup c?est calme et volupté, des corps et des esprits. Nous sommes retirés du monde et, même si je télétravaille, sommes bien, à  2.

Une autre émotion est la peur. Oh, elle n?est pas forte, mais elle est là . Sans ma cage, j?ai peur d?être moins. Moins tout. Moins prévenant, moins docile, mais surtout moins en situation de rassurer ma maitresse sur sa main-mise sur moi.

J?ai eu ainsi, il y a quelques minutes, un empressement que je ne me serais pas permis encagé. Rien de méchant, j?ai envoyé un message à  sa demande. Mais j?y ai ajouté quelques points, de mon propre chef, qu?elle aurait voulu que je n?envoie pas. L?absence de cage m?a peut-être entraîné à  me laisser faire, et ce n?est pas ce qu?elle veut.

Bref, j?aimerais vraiment que ma maitresse soit certaine de son pouvoir total sur moi, et que je sois totalement en son pouvoir, même sans ma cage. C?est ma peur, ne pas répondre à  cet espoir.

Que je l?aime...

J?ai obéi à  sa demande d?écrire sur ce forum mon analyse à  chaud de la discussion hier, ce que j?ai fait.

J?aime lui obéir.

Je suis un homme en cage qui n?a pas demandé a l?être, et qui découvre petit à  petit avoir été quelqu?un qui ne lui plait pas à  lui-même.

Lorsque j?ai rencontré ma maitresse il y a 6 ans bientôt, j?ai aimé sa personnalité et sa force de caractère. Nous vivions séparés et apparemment la vie a 2 a tout changé.

Ce soir nous avons dîné. Amoureux, bord de plage, discussion sympathique qui a mal tourné.

MJ a re-posé le cadre de notre relation depuis que nous vivons ensemble. Et m?a montré que, en ne baissant pas mon désir et mon envie sexuelle, je l?ai épuisée et, petit à  petit, amenée à  dépasser ses limites et, pire que tout pour moi, à  avoir des relations sexuelles non-désirées. J?ai argumenté que j?avais plaidé à  l?époque pour le droit à  pratiquer le sexe en-dehors du couple, justement pour que cette différence de fréquence ne devienne pas un obstacle. Ce soir, elle m?a redit qu?elle ne l?avait pas accepté, parce que c?est inacceptable. Que si j?avais plus d?envie, en étant en couple avec elle, il fallait que je réfrène ces envies par moi-même, qu?elle n?était pas, contrairement à  ce que je pensais, dans le cadre d?un contrat tacite entre nous consistant à  se rendre disponible pour se procurer mutuellement le plaisir que nous souhaitions. Ce qu?elle a fait, contre son gré, et sans jamais me le dire ou me le faire sentir. Je me sens un violeur qui s?ignore.

Je me retrouve aujourd?hui chargé de la responsabilité à  la fois de l?avoir convaincue d?une installation à  2 (avec enfants), mais aussi du déséquilibre sexuel et de charge mentale qui en ont découlé. Tout ce que je me suis efforcé d?éviter, luttant pour une juste répartition des charges mentales, manifestement sans succès, et croyant participer à  une spontanéité sexuelle qui n?était en fait pas réciproque.

Je suis paumé.

Cela fait quelques temps que je vois la vérité émerger. Non, elle n?était pas épanouie comme je le pensais, et ce n?était pas pour les raisons que j?avais supposé. Non, elle n?était pas volontaire pour déménager. Non, je ne créais pas les conditions d?une vie épanouie.

Fachée, MJ est partie dans la chambre, me demandant de réfléchir à  notre discussion et d?écrire, parce que « le verbe cristallise la pensée ». Je ne dois la rejoindre dans sa chambre que dans 1h30. Sauf que je suis paumé. Moi qui croyais la satisfaire, être bienveillant, attentif, respectueux, qui croyais que ses soucis venaient d?ailleurs, je comprends que j?étais égoà¯ste, aveugle, et manipulateur, et la seule source de ses soucis. C?est la dégringolade.

Elle veut que je réfléchisse à  la sincérité de mon engagement à  son égard et à  cette nouvelle organisation entre nous. Mais c?est très clair pour moi : je suis cage à  sa demande, bon sang, sans jamais avoir imaginé que cela existe, et j?en suis heureux !... Je suis heureux qu?elle prenne sa vie et la mienne et la notre en main, c?est un engagement total de ma part.

Elle m?en dit que la cage n?est aucunement une vengeance de quoi que ce soit, et j?en suis d?accord. Je ne vois pas le rapport avec la discussion. Ce n?est pas pour se venger qu?elle a introduit la cage entre nous, mais pour se donner l?assurance dont elle a besoin, et me permettre d?être moins oppressant car à  une place, et avec un comportement, plus en phase avec ses besoins et envies qu?avec les miens. Je suis parfaitement d?accord ! Mais est-ce que cela veut dire que j?ai été acteur d?une mise sous pression et coupable de l?avoir forcée à  déménager et subir une part de notre sexualité ? Ou est-ce que la cage serait le moyen pour elle de sortir de cette part de notre relation qui ne lui convenait pas ?

Vous penserez peut-être que c?est là  un débat pour rien. Mais c?est un débat important pour moi qui l?ai toujours aimée et qui ai toujours voulu qu?elle soit elle-même, voulu « la rencontrer ». J?ai toujours parlé et agi pour qu?elle soit libre, c?est pourquoi j?ai du mal à  accepter qu?elle me fasse supporter l?obtention du résultat inverse de ma volonté. « Je ne subirai plus jamais », m?écrit-elle. Mais, bon sang, c?est ce que j?ai toujours demandé ! Pourquoi m?expliquer maintenant que j?aurais fait l?inverse de ce que je voulais ?

Je t?aime MJ, et je suis désolé si j?ai inconsciemment mal agi, à  l?envers de ce qu?il fallait. Je crois que c?est parce que je ne te rencontrais pas vraiment encore à  l?époque, je ne pouvais donc savoir comment être un homme juste à  tes côtés. Je suis désolé. Je ne sais plus quoi faire, fais de moi l?homme que tu veux, je t?en supplie. Reexplique moi notre passé, en espérant que j?ai mal compris, que je ne suis pas un violeur qui s?ignore, manipulateur et influenceur.

Là , je n?ai pas envie d?aller la rejoindre. Envie de m?enfermer dans un coin.

Citation de: Lady Val le Juillet 04, 2020, 01:46:37 PM
Ben voyons...

Comme je sais que les écrits peuvent être mal interprétés, je préfère m?enquérir de cette remarque que je ne comprends pas, en réponse au dernier message de ma maitresse.

Lady Val, que signifie pour vous ce « ben voyons... » ?