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nouvelle vie

Démarré par gilles25, Septembre 27, 2014, 10:11:22 AM

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gilles25

#1
Bonjour,

j'ai mis quelques posts avec des photos dans le journal des encagés et je viens me présenter ici.

J'ai séduit ma femme quand elle avait 17 ans, j'en avais 32, c'était la fille d'un couple d'amis, elle était fraîche, naà¯ve et d'une beauté à  couper le souffle. Elle avait eu une éducation très stricte, pleine de principes et de tabous et ne se rendait pas compte de son potentiel. j'ai été à  la fois son prince charmant et son mentor.
Pour elle, la femme était là  pour "servir" l'homme, plus années 60 que 90, je l'ai séduite, lui ai donné du plaisir. Je pense qu'elle a vu en moi à  la fois la transgression et la sécurité. Elle rêvait d'une jolie famille avec des enfants et moi je l'ai vue comme ma chance. nous nous sommes mariés dans l'année de ses 18 ans, inutile de vous dire que mes amis ne sont plus mes amis depuis.
Je ne lui ai pas caché ma vie passée, j'ai été dépucelé à  15 ans par un homme. Les hommes ne m'attiraient pas et ne m'attirent toujours pas, je me dégoutais parce qu'à  l'époque j'étais très romantique et je rêvais du grand amour mais je ne pouvais pas résister au plaisir de sentir l'effet que je faisais à  cet homme, à  être un objet de désir et surtout, la première sodomie a été une véritable explosion en moi, j'ai joui si fort. Je ne pensais plus qu'à  ça. Jusqu'au jour où ça s'est su...
J'ai commencé à  travailler à  17 ans, j'ai tout de suite quitté la maison de mes parents et j'ai rencontré un homme qui a su faire de moi son encagé. Il m'a laissé quand j'avais 21 ans et c'est à  ce moment que j'ai commencé à  comprendre les femmes. J'ai eu des amants pour satisfaire mes basses pulsions et des amies pour le plaisir.
J'ai distillé ça par bribes à  ma déesse qui chaque fois se montrait choquée et excitée mais je ne suis pas arrivé à  vaincre tous ses tabous. Je lui suis resté fidèle mais je n'ai jamais pu la convaincre de me sodomiser avec un gode ceinture, pourtant, même si ça a été très long de l'y amener, elle prend beaucoup de plaisir à  la sodomie.

Le rêve a commencer à  se ternir quand nous avons appris qu'elle ne pouvait pas avoir d'enfants, elle s'est investie dans ses études, puis dans le travail et la création de son entreprise et je l'ai soutenue. Nos rapports sexuels devenaient moins fréquents, j'ai commencé à  acheter des godes, des pinces, je cherchais du plaisir brutal, bestial et douloureux et je suis allé sur internet, à  une époque où on pouvait tout trouver, j'ai vu des trucs dégueulasses et ça m'excitait. J'ai développé une addiction. Je préférais passer la soirée devant l'ordi que d'être avec Elle. J'ai essayé d'arrêter plusieurs fois, nous avons fait des efforts tous les deux mais j'ai replongé à  chaque fois.
J'ai découvert la chasteté masculine et je me suis dit que ça pouvait être une solution : à  la fois je ne pouvais plus me branler toute la nuit devant de la pornographie et je lui montrais à  quel point je l'aimais en me livrant à  elle.
Je lui en ai parlé, le situation étant déjà  tendue, je vous passe les détails, j'ai mis plusieurs sites en favoris et l'idée a fait son chemin.
J'ai découvert la chasteté masculine et je me suis dit que ça pouvait être une solution : à  la fois je ne pouvais plus me branler toute la nuit devant de la pornographie et je lui montrais à  quel point je l'aimais en me livrant à  Elle.
Je lui en ai parlé, le situation étant déjà  tendue, je vous passe les détails, déjà  quand je lui avais dit que je me godais de temps en temps car Elle avait trouvé la cantine cadenassée ou je range mes jouets, ça avait été très dur à  faire passer.
J'ai mis plusieurs sites en favoris et l'idée a fait son chemin.

Elle est allée beaucoup plus loin que moi dans la réflexion, comme dans tout ce qu'Elle fait, Elle a étudié le sujet à  fond, c'est pourquoi je l'admire autant, Elle réussit tout ce qu'elle entreprend à  force de travail et de réflexion, Elle est l'image même du dynamisme et de la beauté. samedi soir, après m'avoir autorisé à  modifier les réglages de ma cage, Elle m'a fixé les règles que j'ai énoncées dans un précédent post.
Elle était en colère, enfin bouleversée, très sèche et très agressive, très sérieuse aussi. Elle m'a dit, je la cite :"plutôt que de venir profiter de moi, tu aurais mieux fait de rester à  sucer des queues et à  te faire enculer, de toutes façons, je suis sûre qu'il n'y a qu'en regardant de la merde et en t'enfonçant des trucs dans le cul que tu arrives encore à  jouir..., tu es veule..., si je reste avec toi c'est juste par confort..., pour moi tu n'es plus un homme, tu es un meuble, un objet utile...,tu acceptes d'être ma propriété..., tu ne me toucheras plus jamais...".

Elle m'a donné deux mois pour la convaincre, si je ne suis pas capable d'abandonner ma dignité et ma personnalité, nous divorcerons. Comme je suis propriétaire pour partie de son entreprise et de la maison et pour prouver que j'acceptais de n'être plus rien d'autre que sa propriété, Elle m'a dit que pour faciliter le divorce si je changeais d'avis ou si j'étais trop minable pour la satisfaire, qu'Elle voulait des photos de moi :"en train de te bourrer le cul avec tes saencagéries et qu'on voie bien ton visage". ça m'a pris de court et je n'ai pas accepté. "La discussion est terminée, réfléchis bien, je sors, réveille moi à  9h30 demain matin". Je ne l'avais jamais entendue aussi vulgaire.

Dimanche, quand je suis venu la réveiller, Elle a été très tendre, Elle a fait la chatte, m'a demandé de lui sucer les seins elle s'est caressée jusqu'au plaisir, de la lécher, là  aussi elle a pris son plaisir. Elle m'a enlevé la cage, j'étais complètement perdu mais très excité, Elle a ouvert ses cuisse et m'a fait venir sur Elle et j'ai joui au bout de deux minutes, comme un minable animal.
Elle m'a dit :"tu es sûr que tu veux qu'on fasse ça, ce n'est pas un jeu pour moi, tu vas faire sortir tous mes côtés glauques et noirs, j'ai fantasmé là  dessus, ça me fait peur, je ne voudrais pas devenir comme toi, me faire dépasser par mes pulsions, mais quand j'y pense je mouille. Tu sais que je suis capable d'aller jusqu'au bout, tu m'a déjà  tellement déçue...". Je suis allé chercher l'appareil photo : "tu veux bien me prendre en photo ?"
Pendant qu'elle était aux toilettes, j'ai pris ma caisse et je suis allé à  la salle de bains où je joue d'habitude, j'ai mis du lubrifiant sur mon anus et j'ai ventousé le plus petit gode à  la machine à  laver, je me suis mis à  quatre pattes et ai commencé à  me prendre, Elle est entrée, m'a regardé, à  regardé la caisse ouverte : "tu es un vrai détraqué, je ne veux pas regarder ça, c'est écœurant, tu t'enfonces ça dans le cul !" Elle commençait à  avoir des larmes dans ses yeux. La seconde d'avant j'étais tout excité parce-qu?elle allait me regarder. D'un coup, je me suis vu avec ses yeux, j'ai vu ce que son amour est devenu, ce que je suis devenu : un vieux mec trop gros, dégarni, à  quatre pattes par terre en train de se tortiller en grognant pour s'enfoncer un gros gode dans le cul, une espèce de larve, un dégénéré incapable de se contrôler qui prend son plaisir en se torturant les seins et en se défonçant le cul. Je me suis relevé, elle m'a giflé à  la volée, s'est mise à  me taper sur la poitrine, elle pleurait:"t'es un salaud, un minable, je te méprise, comment j'ai pu t'aimer, si au moins tu m'avais trompée...". J'ai voulu la prendre dans mes bras mais elle s'est raidie, m'a lancé un regard que je ne lui avais jamais vu et m'a craché au visage.
Elle est sortie et est partie directement dans sa chambre. J'ai rangé et suis allé attendre dans le bureau.
Longtemps après elle est venue : "debout ! tu commences mal, tu m'as tutoyée tout à  l'heure pauvre malade, ah tu a remis ta cage. Tu as une semaine pour faire les photos et je veux qu'ils soient tous enfoncés bien profond et qu'on voit sur ton visage comme tu y prends du plaisir espèce de pervers, après tu me donnera les clés, profites en bien, bourres toi tant que tu veux, tu ne les reverras plus".
Ensuite elle m'a donnée les consignes pour le lendemain. "Je ne veux plus te voir ce soir, tu restes dans le dressing jusqu'à  ce que je sois couchée".

Nous sommes à  la fin de la semaine et je n?ai pas pu remplir ses conditions, chaque fois que j?essaye, je me vois à  travers ses yeux et je suis incapable de me détendre assez et de prendre du plaisir avec mes objets.