Chasteté et sexualité
La pratique de la chasteté masculine contrôlé dans notre couple Gynarchiste, ne signifie pas pour autant, absence de sexualité. Bien au contraire, la chasteté masculine a redonné vie à notre Libido.
Notre sexualité est bien différente de celle que l’on a connu jusqu’alors, par le fait même que Madame a l’exclusivité du contrôle de Sa sexualité et celle de notre couple. Comme cela est inscrit dans notre contrat de chasteté, notre vie sexuelle est entièrement dédiée au plaisir de Madame, le mien étant devenu non indispensable et laissé à l’appréciation de Madame.
La chasteté masculine permanente a modifié ma perception du désir sexuel et la recherche du plaisir. La chasteté permanente a supprimé la masturbation chronique et quotidienne de ma vie sexuelle. Je réserve désormais toute mon énergie sexuelle à Madame et à Elle seule. Madame, convaincue de son contrôle gagne en confiance et se montre plus active et entreprenante. C’est donc Madame qui décide quand et comment avoir des relations sexuelles.
Le plaisir sexuel de Madame est le résultat d’un savant mélange de caresses, de massages érotiques, d’effleurements, de caresses intimes, cunnilingus quotidien du matin et du soir, face-sitting et adoration. Mon pénis étant en cage pour des périodes de plusieurs semaines, j’ai développé de nouvelles facultés dans l’art des caresses intimes et du cunnilingus que je pratique très régulièrement.
Mon petit pénis (devenu propriété de Madame) est quasi-inutile à Madame pour son plaisir "physique". Il est vrai que je n’ai jamais offert autant d’Orgasmes à Madame, depuis que je suis en cage de manière permanente, alors que j’étais à peine capable de faire jouir Madame lors de nos rapports intimes passés. Si Madame a une soudaine envie de rapport intime avec pénétration, je l’honore longuement avec un gode-ceinture pour lui offrir tout le plaisir qu’Elle désir. Il arrive parfois que Madame utilise « son » petit pénis comme un jouet sexuel pour son propre plaisir, à la manière d’un godemichet : le pénis enduit d’une crème dé-sensibilisante est recouvert d’un ou plusieurs préservatifs pour éliminer toute sensation de plaisir et empêcher l’éjaculation.
Le pénis est utilisé par Madame uniquement dans un but strictement hygiénique pour soulager mes (mauvaises) pulsions. Madame pratique Elle-même le travail manuel du sexe de manière efficace pour obtenir une éjaculation rapide sans me laisser le temps de prendre du plaisir : les pratiques peuvent varier, selon l’humeur de Madame, entre masturbation frénétique très rapide, ou bien un travail plus lent jusqu’à l’orgasme ruiné. Parfois, Madame accepte que je pratique moi-même la masturbation, mais toujours sous son contrôle et chronométré. Madame fixe le délai à respecter, faute de quoi je retourne en cage sans avoir éjaculé. Madame peu aussi pratiquer un massage du sexe toujours enfermé en cage avec un vibromasseur.
Mon véritable plaisir sexuel est ailleurs. J’ai (re)découvert le plaisir anal, qui est la source de tous mes orgasmes. Contrairement au plaisir « pénien » court et impulsif, le plaisir anal offre des orgasmes bien plus longs et diffus dans tout le corps. L’orgasme anal est souvent multiple. Madame contrôle mes orgasmes grâce au travail anal sous toutes ses formes, en passant par le massage de la prostate (milking) ou la sodomie (gode-ceinture). Mon plaisir sexuel est plus cérébral et envoutant que la simple pénétration vaginale.
La chasteté masculine contrôlé nous a ouvert les portes vers une sexualité totalement libérée, sans tabou ni préjugé, épanouie…
D.