Jour #1206
Finalement ce week-end a marqué la fin de mon challenge de la Saint-Valentin. 48 jours encagés, Non-Stop, avec pour récompense, ma libération.
Samedi soir, nous sortons en couple au restaurant puis au cinéma. Margot est très sexy. Elle me domine, perchée sur ses hauts-talons et porte Sa petite clé en évidence sur son petit pull moulant. Nous passons une soirée délicieuse en Amoureux.
De retour chez nous, Margot me demande de choisir sa tenue pour la deuxième partie de soirée. Sur son ordre, je me mets à nu. Je déshabille Madame. Puis, j’habille Madame avec la tenue choisie par mes soins.
Margot dirige une séance de teasing, soufflant le chaud et le froid sur mes parties intimes. Margot m’offre son corps et son intimité pour Adoration. Mais j’ai l’interdiction d’embrasser son sexe, là tout près, juste au-dessus de mon visage. Margot s’offre alors à moi et me demande de la pénétrer…avec le godemichet. Je prends le gode en bouche à la manière d’un bâillon-gode et pénètre Margot. La vision de son sexe pénétré, là devant mes yeux, m’excite au plus haut point. Je me dévoue totalement au plaisir de Margot. Elle jouit. Je suis comblé d’offrir tant d’Amour à Margot.
Dimanche matin, je suis toujours en cage. Trop excité par nos ébats de la veille, je me laisse allez au plaisir anal sous la douche. Pris de remord, j’avoue la chose à Margot…on frôle l’incident diplomatique… Je dois porter mon Rosebud durant toute la journée.
Dimanche soir, c’est le moment de notre rituel : la toilette de Madame. Après avoir déshabillé Margot, Elle s’apprête à me retirer la cage : « Je veux que tu bandes pour moi, mon chéri. Mais je t’interdis de te toucher ! » Comme tous les dimanches soir, je fais la toilette de Margot, y compris sa toilette intime. Pour la première fois depuis plus d’un mois, j’ai la possibilité d’avoir une érection. Ma queue est tellement raide que cela est presque douloureux.
Une fois la toilette de Madame terminée, Margot me donne Ses consignes. Elle me donne l’ordre de me masturber devant Elle, et attendre son ordre pour éjaculer. Nous nous masturbons tous les deux sous la douche. Je ne peux retenir mon plaisir, et je suis rapidement à deux doigts de jouir… je retiens mon souffle… je me caresse lentement de la main gauche… mais rien n’y fait… je suis tout au bord… Margot commence le décompte des dix dernières secondes : dix… neuf… le temps semble une éternité… je ne sais plus comment faire pour me retenir… cinq… quatre… je gémis comme pour supplier Madame de me délivrer de ma souffrance… trois… deux… maintenant ! J’éjacule.
Je ne sais pas combien de temps cela à durer au total, peut-être deux minutes tout au plus? L’orgasme a été si bref, comme un éclair, que je ne me souviens pas d’en avoir vraiment profité. En fait j’étais trop concentré à contenir mon plaisir, que l’effort de concentration a masqué mon plaisir à la manière d’un orgasme ruiné.
Je remercie ma Déesse de m’avoir offert la libération. Retour en cage.
D.