Jour #1273
Ma seconde période de chasteté de l’année à pris fin hier soir, après 68 jours de chasteté stricte et permanente. Selon le contrat de chasteté établie avec Margot, mes libérations ont pour seul objectif de me soulager et on un rôle strictement hygiénique. Je me place à quatre pattes sur le lit, offrant mon sexe à Madame.
Le simple déverrouillage puis retrait du tube de la cage me procurent une douce sensation de plaisir difficilement descriptible. Les premières caresses de mon pénis et les lents mouvements de va-et-vient des doigts de Margot sur mon sexe ne tardent pas à me procurer une belle érection et déjà des sensations de plaisir intense. Je ne peux pas retenir mes émotions plus longtemps et exprime sans retenue mon plaisir à travers mes gémissements.
Margot est à l’écoute de toutes mes sensations, accélère la masturbation pour me m’emmener au bord de l’orgasme… Stop. Margot retire sa main, laisse passer un instant, avant de reprendre le travail manuel de mon sexe. Une seconde vague de plaisir intense…Stop… puis une troisième… Stop…
Margot ne m’accordera pas l’orgasme, mieux que cela, Elle ruine mon orgasme et récolte mon offrande. Ma semence coule sans interruption, lentement, dans un long flot épais et continu.
Je me sens soulagé, détendu, heureux de vivre cet instant au coté de Margot. Je l’embrasse avec fougue en lui répétant combien je l’aime.
Margot m’autorise à m’endormir tout en restant libre, sans cage.
Au petit matin suivant, je retrouve la sensation des érections nocturnes, le sexe raide presque douloureux… J’enlace Margot et caresse mon sexe contre ses cuisses, comme un appel au plaisir...
Margot prend mon sexe dans sa main et me dit : « tu as le droit de te faire du bien, mais je t’interdis de jouir et d’éjaculer ! » Les doigts de Margot forme une cavité autour de mon sexe, simulant une sensation de pénétration. Je ‘baise’ à l’intérieur des doigts de Margot, qui m’encourage à accélérer. Lorsque le plaisir est trop fort, Margot m’ordonne de m’arrêter. Margot me permet de ‘baiser’ quelques instants encore avant de m’ordonner : « stop ! ».
Je me retire, au bord de l’orgasme, ruiné, frustré, mais tellement heureux !
Il est temps maintenant de retourner en cage. La ‘Tour de Londres’ est un vrai petit bijou.
D.