Jour #1738
Bonjour à Toutes et tous, je profite de quelques jours de détente pour mettre à jour mon journal et revenir sur ma dernière libération accordée par Margot.
Ma dernière libération remonte au vendredi 10 juillet. Après une longue et intense semaine passée au bureau, je rentre au domicile en fin de journée. Margot m’accueille dans le salon dans une tenue très sexy, vêtue d’une lingerie fine, de bas nylon transparent noir et d’escarpins noir vernis à talons aiguilles.
Margot se déplace dans l’appartement et me tourne autour en faisant raisonner Ses talons aiguilles sur le carrelage à chacun de Ses pas. Je ne quitte pas Ses jambes et Ses fesses couvertes d’une culotte porte-jarretelles des yeux. Je suis totalement subjugué par la beauté et l’érotisme que dégage Margot à cet instant. A la surprise et l’envoûtement, Margot ajoute encore l’excitation en me caressant avec Ses jambes gainées de nylons.
Après un dîner en Amoureux, Margot me laisse comprendre que j’aurais droit à une libération le soir même, pour me récompenser des soixante-dix jours passés en cage et de mon comportement. Margot juge bon de (re)préciser, comme à chacune de mes libérations, que je serais soulagé mais privé d’orgasme.
Margot est confortablement installé sur le canapé. Je suis nu, à genoux, à Ses pieds, les yeux pleins d’admiration pour ma Femme. Margot me permet de baiser Ses pieds, en remontant délicatement jusqu’à Ses chevilles, le long de Ses jambes jusqu’en haut de Ses cuisses. J’honore de mes caresses et baisers le corps de Madame. Elle m’invite entre Ses cuisses pour recevoir les caresses de ma bouche et de mes doigts, avant de jouir à plusieurs reprises.
Margot me donne l’ordre de La suivre à quatre pattes jusqu’à la chambre, puis m’allonger dos sur le lit. Elle revient quelques instants plus tard avec quelques accessoires. Une bande rubber-tape pour immobiliser mes bras, en attachant mes poignets le long de mes cuisses. Une cagoule intégrale pour couvrir le visage. Me voilà, privé de mouvement ainsi que de la vue. Instantanément chaque mouvement, chaque bruit, provoque une excitation cérébrale indescriptible.
Je sens les doigts de Margot s’approcher de mon sexe. Elle tient mes testicules dans une main, et déverrouille la cage de l’autre. Margot retire très délicatement le tube de ma cage, et me m’ordonne de ne pas éjaculer. A cet instant, mon excitation est déjà à son comble, et je suis à deux doigts de me vider honteusement sans avoir eu le temps de bander. Margot caresse délicatement mon petit pénis pour me faire bander. Chacun de ses mouvements peut me faire éjaculer prématurément. Margot arrête la masturbation quelques instants, avant de reprendre, puis stop à nouveau ainsi de suite dans une séquence de stop-and-go qui me semble interminable.
Margot admire mon sexe raide. Je suis comme submergé par le plaisir qui m’envahit. Et soudain, Margot me griffe le sexe avec Ses ongles, et me donne de petites tapes sur les testicules. Le plaisir se mélange à la sensation de « douleur » presque agréable… Alors Margot me prend dans sa main pour me masturber très rapidement, arrête, puis reprend la masturbation pour me ruiner très rapidement. Je me vide, totalement frustré, sans aucun attouchement. Ma véritable jouissance est entièrement cérébrale.
Mais déjà, il est temps de retourner en cage. A ce jour, je suis toujours encagé pour une nouvelle période de deux mois.
D.
#chasteté #keyholder #orgasme ruiné