Jour #2007
Bonjour à Toutes et tous,
Comme chaque matin, au réveil, Madame adore prendre Ses(mes) testicules en main pour les éfleurer du bout de Ses doigts, les caresser ou bien les malaxer fermement comme pour me signifier que je lui appartient chaque jour et que testivules sont désormais Siennes.
C'est pour moi un vrai plaisir de sentir les doigts de Madame, et en même temps une douce torture. Ses délicates caresses suffisent à faire monter instantanément mon excitation déjà à fleur de peau. Je me sens fébrile et sur le point de ne pas pouvoir retenir mon désir : "Tu as le droit de dégouliner mon chéri, je ne t'en voudrais pas" me dit tendrement Margot en pressant mes testicules. Je ne peux retenir mes gémissements, mais espère ne pas me vider honteusement en cage. Je me retiens tant bien que mal.
Il est très probable que je finisse par me vider, un jour, avec de simples caresses, sans même être libéré de cage. Ce jour là, je pourrais oublier définitivement mes libérations, qui deviendrons alors inutiles. Madame a déjà imaginé cette éventualité, et aime me le rappeler régulièrement.
Finalement, c'est sous la douche froide matinale que je retrouve mes esprits et oublie l'envie de me vider. Avec la chasteté permanente, j'ai appris à distinguer l'envie du besoin.
D.