Jour #2018
Bonjour à Toutes et tous,
Après 69 jours de chasteté permanente, Madame m’a accordé une libération samedi soir. Tout c’est déroulé de façon naturelle et sans scénario préétablis. Après une soirée en famille, Madame me demande de la rejoindre sous la douche pour faire sa toilette.
Dans la moiteur de la douche, Madame retire sa clé de son cou et s’apprête à me libérer. Madame m’ordonne de maîtriser mes émotions, dans le cas contraire Elle serait contraint de me remettre en cage immédiatement sans avoir pu profiter de mon sexe.
Madame retire le tube de la cage, et ses doigts effleure mon sexe qui se déploie lentement. Les caresses sur mon membre et mes testicules sont irrésistibles et je ne peux retenir un premier gémissement qui trahie ma fébrilité.
Margot prend soin de mon sexe sous l’eau froide pour atténuer les sensations. Lorsque ma toilette est terminée, je sors de la douche pour me sécher et attendre patiemment à genoux, les mains dans le dos et les cuisses grandes ouvertes, aux pieds de Madame. Je contemple le corps nu de Madame.
Margot s’habille dans la chambre à coté, derrière la porte restée entre-ouverte. Je l’entends revenir vers moi au bruit des talons hauts sur le sol. Madame apparait dans l’entrebâillement de la porte, habillée d’une petite robe noire légère, perchée sur ses talons aiguilles vertigineux. Sa beauté est éblouissante.
Elle se présente devant moi, et commence un long teasing en se trémoussant devant mes yeux, cambrant ses fesses, les jambes écartées, et laissant entrevoir son sexe juste sous sa robe. Margot me taquine et m’excite en glissant sa main entre ses cuisses pour remonter sa robe et me dévoiler son sexe. Margot s’approche de moi, passe sa jambe autour de mon cou pour m’inviter à l’embrasser sur ses lèvres. Ma bouche embrasse sa vulve avec gourmandise. Margot de se retire.
Madame me demande de me redresser et de me tenir debout devant Elle, les mains dans le dos. Le teasing de Margot produit son effet, mon sexe se dresse fièrement. Madame est ravie de me voir bander. Elle se rapproche tout près de moi, me regarde dans les yeux, en décrivant un scénario. Ses paroles m’excitent au plus haut point, dans un savant mélange d’érotisme, d’excitation sexuelle et d’humiliation verbale. J’imagine parfaitement la scène.
Je l’écoute, sans me rendre compte que Madame vient de débuter une minute de masturbation chronométrée de mon sexe : « le chrono tourne mon chéri, il ne te reste plus que 50 secondes… ». A ces mots, la perspective de privation et la menace de refermer sans que je n’aie pu me vider, pour 8 autres semaines, à directement déclencher mon éjaculation. Margot retire sa main pour me laisser éjaculer sans aucun attouchement : « 29 secondes ! Tu vois mon chéri, 30 secondes de chronomètre sont suffisantes ».
Après cette libération éphémère, il est déjà temps de remettre la cage en place, pour une nouvelle période de deux mois. J’aurais probablement souhaité profiter de quelques instants de plaisir supplémentaires, mais je n’ai pas su résister aux charmes et à l’envoutement de Madame.
D.