Jour #2351
Bonjour à Toutes et tous,
Comme vous avez pu le constater par mon absence sur le forum, ce début d’année est marqué par un retour à la vie d’avant (presque) sans les masques, et une reprise accélérée des affaires. Pour autant, je vous le dis, la cage de chasteté, elle est bel et bien toujours en place.
Madame gère toujours avec autant d’assiduité ma sexualité, en contrôlant mes rares libérations. Comme les années précédentes, mes libérations se font toujours au même rythme, soit tous les deux mois. Je ne peux pas espérer avoir plus de six libérations par an, comme cela est stipulé dans notre contrat de chasteté. Je me sens prêt – personnellement – à augmenter ma période de chasteté pour passer à trois, quatre ou six mois, et ainsi réduire le nombre de mes libérations à quatre, trois ou deux par année. Cependant, la décision revient à Madame.
Madame entretient maintenant une relation suivie avec son Amant. Nous avons la chance de faire la rencontre d'un couple, avec qui nous avons lié une relation d'amitié et libertine. Nous nous rencontrons dès que cela est possible entre couples, en trio avec son Amant, ou parfois encore en duo : Madame seule avec son Amant. Madame est devenue une Femme pleine d’assurance. Elle n’hésite plus à affirmer sa Féminité et son pouvoir sur les hommes. Madame sculpte et embelli son corps par des séances de sport, pour le plus grand bonheur de Ses deux hommes.
Pour ma part, au bénéfice d’un récent voyage d’affaire en avion, Madame m’a exceptionnellement accordée une libération pour une durée de 72 heures. J’avais proposé à Madame de partir avec une cage en plastique CB6000S verrouillée par un cadenas plastique numéroté, mais Madame en a décidé autrement en m’imposant de rester sans ma cage. Était-ce une façon de tester ma capacité de résister à la tentation ? Cette situation inhabituelle m’a procuré une sensation étrange, comme un manque, et surtout l’envie de remettre ma cage. Durant cette courte période, je n’ai guère eu le temps de penser à ma libido, ni envie, ni besoin de gaspiller mon énergie dans le plaisir solitaire de la masturbation. Rien de tout cela, comme si la chasteté permanente avait par modifier profondément ma perception des choses.
Je me suis sentit totalement nu et vulnérable : mon petit pénis m’a semblé presque ridicule et inutile. Alors, il a été tout naturel de remettre ma cage, dès mon retour, pour me sentir de nouveau à ma vraie place. J’espère que Madame acceptera ma requête de porter une cage de chasteté durant mon prochain voyage d’affaire en avion.
Pour l’heure, j’ai repris le cours normal des choses. La cage de chasteté est un objet qui fait partie de ma vie, et auquel je ne prête plus attention au quotidien. L’absence de rapport sexuel avec pénétration, ou tout autre plaisir phallique (masturbation, fellation) est entré dans ma normalité. Je n’éprouve aucun manque à cela, puisque d’autres sources de plaisirs ont désormais supplantées ces pratiques du passé.
D.