Jour #892Madame a profité d’un week-end de charme accompagné de son mari en cage. Notre séjour a été une parenthèse enchantée dans votre vie bien remplie. Les lieux, le cadre du séjour étaient propices à la détente et au bonheur de l’instant présent.
Après une journée découverte, nous prenons possession de notre chambre d’hôtel en fin d’après-midi. Je défaits les bagages de Madame et range ses affaires consciencieusement : robe du soir, lingerie, bas, bijoux, talons aiguilles, produits de beauté…
Avant notre rituel du dimanche soir, Madame me demande de participer à une séance de méditation (Madame suit un programme de méditation grâce à une application sur smartphone).
Après ces vingt minutes de relaxation, il est temps pour moi de m’occuper de la toilette de Madame, notre petit Rituel du dimanche soir.
Entièrement nu, je me présente à Madame. Je déshabille Madame avec délicatesse, puis fait la toilette de Madame. Ce rituel est l’un de mes moments de complicité préférés, où mes mains caressent le corps de Madame avec gourmandise. Et lorsque que vient l’instant de Sa toilette intime, que mes doigts effleurent l’intimité de Madame, je suis comblé de plaisir.
La toilette de Madame se termine. Je sèche son corps avec une serviette, puis habille Madame pour sortir. Je l’aide à mettre Sa lingerie, enfiler Ses bas, mettre Sa petite robe noire, enfiler Ses talons aiguilles. Dernier détail : orner la cheville de Madame d’une fine gourmette décorée d’une clé de cadenas. Madame est prête…
Resté nu, je me prépare à mon tour pour sortir, sans oublier de porter mon rosebud à la demande Madame... Houps! Une fois en place on se sent tout bizarre…

Nous passons le début de soirée dans le restaurant gastronomique de l’hôtel, pour un grand moment de dégustation. Madame est d'une beauté renversante dans sa petite robe noire, ses bas couture et talons aiguilles. Une vraie Reine accompagnée de son valet dans cette salle à manger du Château...
Deux heures plus tard, nous sommes de retour dans la chambre d’hôtel. A cet instant, je sens que Madame a très envie de prendre les choses en main.
Très vite, Madame m’ordonne d’aller chercher mes accessoires et de les disposer sur la petite table du salon. Puis de me mettre nu et d’attendre sagement à genoux, les mains dans le dos, devant la petite table basse du salon. J’obéis sans aucune hésitation à Madame.
Sur la table, sont disposés un collier en cuir, une laisse, des menottes de cuir ainsi qu’une cagoule intégrale offrant une simple ouverture pour la bouche.
J’entends le bruit des talons aiguilles de Madame dans la salle de bain. J’attends son entrée dans le salon… Madame approche à pas lents. Je me concentre sur le bruit des talons aiguilles. Madame passe derrière mon dos. Sans un mot, Madame passe les menottes de cuir autour de mes poignets, puis enfile la cagoule pour me privée de la vue. Madame attache le collier autour de mon cou et me tient fermement en laisse.
Madame me fait marcher à quatre pattes à Ses pieds, au rythme de Ses talons aiguilles. Je suis obsédé par le son de Ses pas et devine la beauté de Ses jambes habillées de bas coutures qui ondulent devant moi.
Madame me fait arrêter. Elle m'écarte les cuisses du bout de Ses pieds et contemple les petites fesses de son mari ornées d’un rosebud.
Margot : «
-je veux que tu embrasses mes pieds, mais d’abord je vais te donner la correction que tu mérites »
Madame fait référence à l’un de mes derniers sauts d’humeur dont Elle exècre par-dessus tout.
Les doigts de Madame claquent à vingt reprises sur mes fesses endolories. Je crois que Madame n’a jamais osé me fesser aussi fort. Là vraiment je serre les dents, et encaisse les coups en silence…

Margot : «
-Tu sais ce que cela veut dire ? »
Moi : «
-oui, Madame. »
Margot : «
-Il te reste encore beaucoup de progrès à faire. Je suis là pour te guider. »
Je ne suis pas prêt d’oublier cet instant. Je dois avoir les fesses d’un beau rouge bien vif. Ouille…ouille…

Madame se replace devant moi. Elle me donne dans la bouche un doigt à lécher. Je trouve cela divinement pervers et même temps terriblement excitant. Puis Madame me présente son pied, et glisse Ses orteils habillés de nylon dans ma bouche. Je lèche avec délectation le pied Divin de Madame. Madame me caresse le visage de son pied. Puis Elle rechausse son escarpin à haut talon en donnant l’ordre de baiser Ses pieds.
Madame me retire ma cagoule. Elle tire fermement sur la laisse et m’invite à la suivre à quatre pattes.
Madame monte l’escalier qui conduit à la chambre en duplex au-dessus du petit salon. Je suit Madame dans l’escalier en contemplant ses pieds Divins, la couture de Ses bas qui dansent devant mes yeux me procurent un plaisir indescriptible

Après cette séance d’Adoration des pieds de Madame, Elle m’ordonne de lui retirer Sa robe, Ses talons aiguilles, Ses bas, Sa lingerie, pour s’offrir entièrement nu.
Alors fou de désir pur Madame, je La couvre de baisers, de caresses. Nos corps s’enlacent et se mélangent dans un flot de désirs intenses ; Mes mains, ma bouche, mon corps (presque) tout entier s’abandonnent au plaisir de Madame.

L’expérience de ce soir, privé de la vue, mais aussi d’avoir le visage « effacé » renforce mon sentiment d’appartenance, en faisant de moi un simple objet de plaisir au service de Madame.
A cet instant, je prends conscience que mon petit bout de pénis enfermé dans sa cage m’est totalement inutile pour donner tout ce plaisir et cet Amour à Madame.
En fait, plus Madame affirme son autorité et contrôle ma sexualité, plus je me sens sous son emprise, plus je deviens fou de désir pour Elle !
D.