J'ai déjà eu l'occasion d'échanger avec Titou, voire en MP.
Personnellement, et pour avoir vécu cela dans une vie antérieure, je ne pense pas que la cage soit une solution durable au problème.
Ni même, enfin pour moi, la déclaration définitive de mon épouse d'alors qui avait, tradition familiale, déclaré "tu n'as qu'à te trouver une maîtresse pour faire tes saloperies".
Les saloperies ne consistant qu'en des relations intimes un peu plus fréquentes ou dérogeant un peu du programme imposé du samedi soir (façon patinage artistique).
De mon humble avis, il y a peu de solutions :
- accepter le principe d'un couple sans ou avec peu de sexualité (comblé par des PPS assumés et régulés, c'est à dire ni le vendredi ni le samedi soir pour laisser le machin en l'état au cas où, ou encore par la susdite maîtresse (idée inconcevable pour moi),
- entamer une thérapie de couple en arguant de la souffrance personnelle (mais on peut aussi trouver la raison de l'absence de désir... débouchant sur la solution 3),
- l'éloignement temporaire ou définitif.
Mais, de mon point de vue, la cage EST un objet sexuel par excellence !
Même s'il amène à la privation de sexe.
Puisque la cage met le ou la KH en situation d'avoir à gérer la clé et l'objet du délit.
Voire même, la clé agit en objet symbolique qui oblige le ou la porteur.se à penser quotidiennement qu'il n'éprouve pas de désir ou, en tous cas, oblige l'autre à ne pas avoir de plaisir sexuel.
la clé ne devient-elle pas une forme de reproche muet permanent ? Et la cage est une cage, pas une oubliette !
Ceci n'est que mon humble avis.
Bonne fin de journée, tout de même, à tous !