Pour le mois de Septembre 2024, je n'ai pas particulièrement de faits marquants en tête.
Avec la rentrée, plus de stress et moins de jeux sûrement, en tout cas rien qui ne sorte de notre nouvelle normalité.
Je constate dans mon téléphone quelques envois de photos « motivantes » toutefois. Et il me semble aussi que c'est ce mois là qu'elle définit une nouvelle règle : après un orgasme, retour dans une cage plus petite pour, d'après elle, « rentrer dans le droit chemin » .
Elle a raison, l'orgasme complet mêne obligatoirement vers une perte de motivation caractéristique durant 2-3 jours...

Pour la précision :
Ma cage classique (ou grande cage) a un tube de 42mm:
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La petite doit faire 10mm de moins environ:
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En octobre, elle me quitte quelques jours avec les enfants. J'en profite pour lui parler de la gestion de la clé.
Jusqu'à présent, elle ne s'en occupait pas et j'avais accès à une clé, plus plusieurs doubles venus avec les différentes cages que j'ai pu acheter.
Je lui ai expliqué que j'aimerais qu'elle prenne la clé principale avec elle car ça augmenterait le sentiment d'appartenance en étant encagé à distance. Elle a accepté.
Pour les autres clés, nous les avons mis dans une enveloppe fermée avec sa signature sur l'ouverture. De cette façon j'y aurais accès en cas d'urgence mais sans possibilité de le lui cacher.

Une seule clé disponible à présent et elle l'emmène.

Elle a continué à me teaser à distance et, voyant l'effet sur moi, m'a autorisé un plaisir anal jusqu'à éjaculation, sachant que je ne pourrais de toute façon pas ouvrir la cage.
C'était un moment très excitant pour moi et j'ai pris, je pense, plus de plaisir qu'avec un orgasme classique.

En Novembre, deux faits marquants :
Alors que nous avons commencé un rapport par un cuni, elle se relève et me dit
« Je vais réaliser ton fantasme »
Elle sort, et revient équipée du harnais pour le gode ceinture.
C'est la première fois qu'elle va me pénétrer. Aucune mention de la cage, pas de raison de la retirer.
Elle réalise effectivement un fantasme. Elle se donne à fond, essaie de me faire jouir, mais comme toutes les premières fois, c'est compliqué. Ce ne sont pas des positions habituelles pour elle, elle se fatigue et on arrête au bout d'un moment assez long tout de même, et super agréable pour moi.
« Maintenant à toi de t'occuper de moi »
Cette fois elle me retire la cage. Je me fais un orgasme ruiné en me frottant contre sa vulve. Puis après nettoyage (vous pouvez imaginer la quantité de fluide que j'ai éjecté), je la lèche à nouveau et la pénètre jusqu'à l'orgasme (le sien, je me contenterai de l'orgasme ruiné cité précédemment).

L'autre fait marquant est moins réjouissant :
Notre première grosse dispute depuis longtemps. Elle finit par me dire des choses qui me blessent et je pars m'isoler. Après un bon moment de réflexion, je reviens vers elle et lui explique ce qui m'a blessé, elle s'excuse et je lui fais une confidence:
« J'étais vraiment à deux doigts d'aller chercher la clé, d'enlever la cage et de tout arrêter.
- Ha oui?
- Oui, c'est pour ça que tu devrais la cacher. Je serai obligé de te demander pour la récupérer... Tu me l'aurais donné si je te l'avais demandé?
-Certainement pas ! »

Bon, la clé n'est toujours pas cachée, mais elle a été claire sur ses intentions.
Elle n'a certainement pas envie que je stoppe le port de la cage. Et à la prochaine dispute, possible que je ne trouve pas la clé là où je pense la trouver...

Bonjour Pipounglam,

Félicitations pour cette belle évolution !
Il semble que ta toute nouvelle Keyholder ait quelques prédispositions pour ce rôle, et en tout cas y prenne du plaisir, c'est le principal.

Première nuit en cage alors? Tout s'est bien passé ?

Quand je dis qu'elle aime que je la pénètre, c'est de mon penis dont il s'agit dans ce cas.

Bonjour Arnyx,

Et merci pour toutes ces questions.

Et fait, l'objectif de base était de la libérer. À nos débuts (avant les enfants en fait) nous pouvions faire l'amour jusqu'à plusieurs fois par jours, et je savais que quand elle est sans pression elle peut être joueuse et demandeuse.

Mais le quotidien, les enfants, la dépression, ont détruit sa libido. Et la pression que je lui mettais inconsciemment empirait les choses, avec limite une angoisse pour elle lorsque nous avions un moment à deux.

La CMC a bien rééquilibré les choses. Comme tu as pu le lire, elle s'est libérée, et a pris le contrôle de sa vie sexuelle (et de la mienne).
Le résultat est là et nous avons vraiment beaucoup plus de rapports sexuels et intimes. Et une complicité plus forte que jamais. Mais cela fait aujourd'hui un an et demi. On peut dire que c'est rapide en effet, ou long...

Concernant notre relation D/s, c'est plus compliqué que cela. Je suis d'une nature plutôt dominante et j'aime bien avoir le dernier mot (car je sais que j'ai raison  ). Mais la cage me met naturellement dans un mindset de « chevalier servant » d'une part, et j'ai aussi compris que même si j'ai raison, à partir du moment où elle n'est pas d'accord, c'est perdu. Soit on se prend la tête, et j'ai raison mais on ne se parle plus jusqu'à ce que l'un de nous deux décide d'être plus intelligent et vienne se réconcilier, soit je décide qu'elle a raison et il n'y a aucun problème.
Mon choix est fait! D'où ma phrase « elle à toujours raison, c'est ma ligne de conduite ».
Dans les faits, nous sommes un couple soudé et avons confiance à 100% l'un en l'autre. Nous prenons les décisions importantes à deux. Mais la tendance est tout de même de plus en plus que je lui demande l'autorisation pour, par exemple, accepter une invitation, ou acheter des choses (nous avons un compte commun), alors qu'elle n'a pas à le faire. Mais cela vient plus de moi que d'elle.
C'est gynarchique dans le sens où elle peut faire ce qu'elle veut, et moi je suis, surtout niveau sexuel. Mais sur un mois elle peut être très joueuse et profiter de mes services à fond, comme refuser que je la serve et faire les choses par elle-même ou pour moi. Ça dépend de ses humeurs, mais je ne vais pas contre.

Quand je dis que je n'ai plus peur qu'elle ne m'autorise plus de sorties, je parle de la cage en fait. À un moment (biaisé aussi par mes errances sur le net et les fantasmes de chasteté permanente), j'avais peur qu'elle y prennent vraiment goût et ne m'autorise plus du tout de sortie de la cage. Mais j'ai accepté mon sort dans le sens où j'ai accepté le fait que c'est elle qui décide si je reste en cage, si je peux l'enlever, si j'ai un orgasme ou pas. Depuis août 2024, je ne suis plus angoissé par ça. Parce que je sais que je peux lui faire confiance. Parce qu'elle est juste.

Et pour répondre à ta dernière question, parce qu'aussi elle aime que je la pénètre ! Cela arrive une à deux fois par mois, uniquement quand elle en a vraiment envie.

Voilà, j'espère que j'ai clarifié les choses. N'hésite pas si tu as d'autres questions, j'ai commencé ce journal pour ça !

Août 2024:

Ce mois marque l'anniversaire de notre décision d'essayer la CMC.

Côté évolution de la relation entre juillet et août, je n'ai pas énormément de choses à dire.
Maintient de la cage durant les vacances avec retrait autorisé pour la piscine.

Nous avons récupéré un jacuzzi gonflable et en profitons le soir. C'est propice aux discussions et massages. Et aussi à quelques teasings avec ses pieds sur ma cage et mes testicules.
Je me souviens notamment d'un soir où elle a bien insisté plus bas que la cage. Une zone qui m'a longtemps été interdite chez elle, et qu'elle a toujours eu mal à caresser chez moi, malgré l'effet incroyable que cela produit. J'en ai bien profité, et j'étais au bord de l'explosion!
Nous avons aussi adopté le gode ceinture, et elle s'amuse à me faire jouir dans ma cage durant la pénétration en me caressant les testicules. Elle aime tester de nouvelles choses !

De mon côté, je n'ai enfin plus peur. J'ai accepté le fait de peut-être rester en cage pour le reste de ma vie, sous le contrôle de mon épouse. Je n'ai plus peur qu'elle m'oublie ou ne m'autorise pas de sorties. J'ai accepté mon sort.

Je lui en fais part lors d'un dîner en tête à tête et lui offre une boucle d'oreille en forme de clé pour en faire symboliquement ma keyholder. Elle ne souhaite pas garder la clé de la cage sur elle, elle aura celle-ci.
Je lui indique aussi que si elle souhaite parler de notre situation et de ses bénéfices à des amies, je ne m'y oppose pas (avec une limite à la famille, ça je n'arriverais pas à assumer).

Après un an de CMC, je crois qu'elle et moi sommes d'accord sur les bénéfices que cela nous à apporté, tant sur le plan sexuel que relationnel.

Ci joint la photo de la boucle d'oreille.

Bonjour Ponpon,

C'est très encourageant en effet!
Je suis content pour toi. J'ai connu cela aussi et je confirme que c'est une étape.
Nos épouses avancent à leur rythme, mais j'ai l'impression qu'il y a rarement de marche arrière une fois qu'une pratique est assimilée. En tout cas je l'espère pour toi.
J'imagine que tu as bien profité de l'instant !

Juillet 2024:

Les doutes qui ont pu se presenter en novembre ou même en mars sont bien loin.
Nous avons trouvé un rythme de croisière.

Mon épouse laisse maintenant la place à ses envies, n'hésite pas à me teaser ou me donner des ordres lorsqu'elle le souhaite (forme de teasing aussi), et les disputes depuis le début de l'année 2024 se font très rares.
Elle a toujours raison, c'est ma ligne de conduite.

Au niveau relationnel entre nous deux on est vraiment bien. Et niveau sexuel, je sais que je ne dois rien attendre avant ou pendant son cycle, que après elle devient très chaude mais ne me libérera pas, et souhaite souvent une vraie connexion après son ovulation (donc pénétration et éjaculation )

En plus, l'été a toujours été propice à plus de rapprochement et de détente, donc tout roule. Mon épouse est très réceptive au soleil, et son humeur peut être très positive lorsqu'il est présent.

Ce mois ci marque aussi l'arrivée d'un nouvel objet. Après discussion, elle accepte l'achat d'un gode ventouse et du harnais qui va avec.
Elle pourra se faire pénétrer tout en me serrant dans ses bras, ce qui lui manque avec un gode classique.

Et dès réception, elle est volontaire pour le tester.
« Je ne sais pas si je serais prête à l'utiliser sur toi »
J'imagine bien, elle a toujours pris son temps et finalement, j'ai appris qu'il faut la laisser évoluer par elle même.
Au début de notre relation, elle m'avait certifié que jamais elle ne pourrait accepter une sodomie. Il lui a fallu 5 ans, mais elle a fini par me demander d'essayer. Et maintenant elle adore.

Donc un jour peut être !

Les mois qui suivent ont leur lot de petites améliorations mais, comme dit plus tôt, je vais aller vite dessus pour plus détailler la fin de l'année.
J'ai surtout assisté à une libération de mon épouse:
-plus de câlins / bisous
-des masturbations de sa part assez régulières (achetez lui un womanizer, c'est incroyable !)
-des teasings réguliers : par exemple elle va s'habiller mais à besoin soudainement d'aller nue dans la cuisine, où je suis, pour brancher son téléphone
-des échanges sincères et réguliers par sms(elle travaille à la maison et moi non)
-des déclarations d'amour envers moi et des petites attentions (ça venait presque toujours de moi avant)

Et surtout du sexe sans pression, avec un orgasme à chaque fois pour elle sauf lorsqu'elle le décide (sexe « connexion » ou j'ai l'honneur de pouvoir la pénétrer).

Nous avons également un week-end marquant où je la fait jouir de ma langue au réveil, puis dans l'après-midi via un gode en simulant une pénétration type gode ceinture (donc corps contre corps), mais où mon orgasme à moi se fait en anal devant elle.
La première fois je pense où elle assiste à ce type d'orgasme de ma part. Et elle ne manifeste ni gêne ni dégoût, ce qui pouvait être le cas auparavant.
Première fois où un week-end en amoureux se termine sans que je ne l'ai pénétrée.

Nos cycles n'étant pas calés, elle m'autorise toutefois des masturbations lorsque la pression est trop forte pour moi, mais avec orgasme ruiné, ou en anal (nous avons remarqué qu'un orgasme anal de ma part ne donne pas lieu à la descente post éjaculation comme une masturbation classique, mais plutôt à un soulagement plus bref qui maintient la motivation).
Je lui explique aussi le edging et le fait qu'elle peut aussi me caresser en s'arrêtant avant l'éjaculation pour me maintenir motivé (lors d'une séance à deux sous la douche).

Somme toute une évolution à deux en douceur mais avec aussi ses hauts et ses bas. Mais je remarque que, pour le coup, les bas sont plus liés à l'environnement qu'à mon comportement.
Notre complicité ne cesse de grandir.

Bonjour Fabrice,

J'ai aussi parcouru son blog avec attention. Je le trouve très intéressant et pas si éloigné de la façon dont mon épouse appréhende la CMC.
Même si, comme tu le soulignes dans ton commentaire sur son dernier article, il manque le rapport hiérarchique que crée naturellement le port de la cage au sein du couple. C'est aussi un point que j'apprécie au sein de mon propre couple. Rien de tel qu'un ordre simple mais direct pour savoir qu'elle ne m'a pas oublié ni oublié ma place.

Merci pour ces encouragements!
Je crois que je vais devoir accélérer pour arriver assez vite au présent, car à la fois ma mémoire me fait défaut, et à la fois les choses sont de plus en plus interessantes...

Mars 2024 pas 2023...

En mars 2023, les choses changent:

Week-end chez des amis, vacances au ski, autant d'activités qui m'affranchissent du port de la cage.
En effet les risques d'accident de voiture sur le trajet ou de blessure au ski nous refroidissent sur le fait de porter un accessoire en métal qui peut potentiellement me blesser et au moins ralentir le travail des soignants.

Me voilà donc 10 jours sans cage. Mais mon épouse n'est pas folle et m'interdit toute masturbation. Chasteté sur l'honneur donc!
Et de son côté elle s'offre tout de même mes services une petite fois durant les vacances pour mon plus grand bonheur ainsi qu'une pénétration le lendemain dans la douche. Pas facile d'avoir de l'intimité dans les petits logements!

De retour chez nous, je lui demande si je dois remettre la cage, et elle me dit que non.
Il faut dire que pour elle depuis le départ il s'agit d'un outil de rééducation, tant de son côté (supprimer la culpabilité et le sexe pour me faire plaisir) que du mien. Et donc une fois rééduqué, nous n'aurons plus besoin d'outils.
Donc elle teste la CMC sur l'honneur et je suis son cobaye! Je ne sais pas si elle va me demander de la remettre et je fais au mieux.
Au final je me rend compte que la cage renforce vraiment mon sentiment d'appartenance, mon envie de la servir et mon manque d'elle. Sans la cage mon cerveau ne switch pas. Bien sûr la chasteté a un impact, mais les érections aussi, et la tentation de fauter est également plus forte. C'est bien plus difficile pour moi.

Évidemment je lui en fais part et je retourne dans ma cage au bout de 3 semaines de liberté car elle veut garder son mari « évolué ». Elle aura testé, elle sait maintenant !

Je crois que j'ai intérêt à m'y faire moi aussi. Je me rend compte à ce moment que la possibilité d'un retour en arrière s'éloigne de plus en plus...

Bonjour Arnyx et bienvenue sur ce forum.

Je suis moi même un membre récent, mais encagé depuis plus d'un an.
Je pense que quelles que soient tes motivations, la cage peut en effet être un élément important de changement de votre relation.
Pas seulement sur le plan sexuel mais aussi dans ton implication et ta motivation dans les taches quotidiennes.
Ma motivation personnelle était qu'elle cesse d'appréhender nos moments à deux, qu'elle reprenne la confiance en elle et en ses envies, et qu'elle profite du moment. En espérant aussi que cela lui donne envie de plus de sexe, et de ce point de vue c est effectivement égoïste, mais finalement il faut quand même avoir un espoir quand on fait dont de la totalité de sa sexualité à sa partenaire.

Concernant la façon d'aborder le sujet, si tu as parcouru le forum, tu sais déjà que quasi aucun d'entre nous n'a été reçu bras ouverts sur ce genre de proposition, et cela se fait avec la communication et le temps.
Pour la mise en place et le retrait de la cage, je le fais toujours moi même (même si c'est elle qui déverrouille symboliquement la serrure). Les clés sont dans une enveloppe fermée et signée de sa main, sauf une qui est dans sa table de nuit. Cela se fait sur la confiance, mais elle sait dans tous les cas déceler le moindre écart de ma part par mon changement direct de comportement...

Bonjour Ponpon.

Tu dis que tu as commencé le journal juste après la naissance de ton premier enfant.
Je trouve cela intéressant car nous discutions justement avec mon épouse de laisser le temps à la femme de « cicatriser » de la naissance de son enfant.  Et l'importance que la cage aurait pu avoir lorsque nous étions dans ce cas. Nous avons repris la pénétration trop tôt après notre premier enfant, ce qui l'a bloquée et a entraîné chez nous une perte quasi complète d'intimité. Chose qui me semblerait impossible à présent avec la présence de la cage et la direction de notre vie sexuelle entre ses mains.
Bref, je me demandais du coup si ta chasteté a débuté avant ou après la naissance, et si la perte de libido de ton épouse a été la conséquence de sa première grossesse ?

Doit-on recommander la mise en place de la CMC dans tous les cours de pré natalité ? (Personnellement je pense que ça devrait être abordé, mais je laisse aux professionnels le soin de travailler sur la mise en forme  )

Nous voici donc en décembre 2023.

Nous progressons bien et trouvons un rythme, quand un événement vient tout bouleverser.

— Pour apporter un peu de contexte, après la naissance de notre second enfant, mon épouse a très mal supporté le post partum. Cela s'est traduit par une dépression qu'elle a affronté seule, avec mon soutient maladroit et certainement insuffisant. Elle a fini par vaincre cette dépression grâce à sa résilience et à l'aide médicale qu'elle a su solliciter. —-

En décembre 2023 donc, elle fait face à de grosses déconvenues professionnelles. L'insomnie se réinvite dans sa vie, et relance la dépression.

Évidemment, la libido est le dernier de ses soucis et je vis ma frustration dans mon coin. Mais surtout je suis présent, bien plus que la première fois. Au lieu de nous éloigner, cette rechute nous a soudé encore plus.
La chasteté m'a rendu disponible pour elle à 100%, j'ai pu la soutenir jusqu'à sa guérison.
Beaucoup de câlins, de tendresse et pas de pression de son côté durant cette période. Et sur les moments les plus détendus, quelques teasings et quelques rapports aussi, toujours à son initiative.

Tout cela dure jusqu'en février.
Je suis toujours en cage sauf pour le sport et lorsqu'elle me veut en elle, avec souvent une journée de répit dans ce cas avant d'être renfermé.

Bonjour Ponpon,

Merci pour ta réponse.
Je suis ravi que ton épouse soit vraiment investie, j'avais gardé en tête tes moments de baisse de moral et les tensions qu'il pouvait y avoir entre vous.

Concernant la cage, j'avoue que j'imaginerais mal garder une cobra plus de quelques jours sans la retirer pour l'hygiène. Je préfère les cage en métal dans tous les cas, donc cela fait un moment que je n'en n'ai pas enfilé une.
Mais je te félicite car ça doit être délicat !

Bonjour Ponpon,

Madame semble bien prendre les choses en main à présent, c'est une excellente chose pour votre couple. Il s'agit d'une grande preuve d'amour selon moi.
Concernant l'hygiène, peux-tu nous rappeler de quelle cage il s'agit ?
As-tu une routine particulière pour tout garder en parfait état ?

Bonjour,

Merci pour ton commentaire.

C'est vrai que même si la chasteté nous rend moins primaires et plus réfléchis, nous avons toujours notre caractère et nos humeurs.
Humeurs qui peuvent néanmoins être controlées en un mot ou une phrase de notre keyholder, là ou, avant la chasteté, le ton aurait pu monter.

Mais c'est surtout un long voyage. Ce que je souhaite montrer aussi via ce témoignage, c'est que la route est longue, et qu'il faut accueillir toutes les progressions comme des avancées. On en apprend beaucoup sur soit et sur l'autre, et plus on en sait, mieux on avance.

Messieurs, communiquez avec vos épouses, c'est la clé de tout! (Sauf de votre cage 😜).

Novembre 2023:

La cage est bien apprivoisée à présent.
Je continue à suivre les stats.

Nous commençons à définir des schémas de nos fonctionnements différents:
Mon épouse est calée sur son cycle menstruel évidemment, et moi sur la date d'éjaculation.

De son côté, elle a des envies après la fin de ses règles, avec un pic lors de l'ovulation, et elle ne veut plus de contact deux jours avant les premiers saignements.
Avoir pris conscience de cela a été une clé dans notre relation pour appréhender les tensions entre nous.
Avant cette expérience, je la pensais disponible tout le temps sauf pendant les règles, et estimais que si elle ne souhaitait pas de rapports, c'était lié à un manque d'envie général, voir d'amour pour moi.
Après avoir identifié ensemble son fonctionnement, je sais qu'à certaines périodes elle est irritable, à d'autres joueuse, à d'autres câline, et à d'autres même en demande de sexe.
Mon appréhension de ces différents états est donc plus facile, même en dehors de la chasteté, et la communication bien meilleure.

De mon côté, cela s'articule en plusieurs phases (mais je pense que ce doit être plus ou moins similaire pour vous également):
Les deux jours suivant l'éjaculation, j'ai une baisse flagrante de motivation, je me retrouve posé dans le canapé, je suis irritable, je ne veux plus de cette maudite cage! Je redeviens ensuite moi même jusqu'au 10-11e jour où j'ai un pic d'envie sexuelle et donc de frustration. Puis ça redescend jusqu'à 3 semaines ou j'ai un nouveau pic. Si je passe ce pic, je suis motivé à ne plus jamais sortir de ma cage ni éjaculer.

Bien sûr, grâce à la bonté de mon épouse, je n'ai pas encore dépassé ce stade, donc sujet à suivre?

En résumé, au bout du 3e mois, nous en avons appris énormément sur nous, sur notre couple. Notre communication est bien meilleure et notre amour l'un pour l'autre encore plus fort.

Et cela sera important pour la suite.

Bonjour,

Je dois dire que je suis honoré de ce commentaire !

En fait, je ne suis pas soumis de nature. Avec même un caractère assez présent, ce qui peut poser problème en cas de différent au sein du couple.
Et le port de la cage (le contrôle de mes orgasmes et sa symbolique surtout) me met en mode « amoureux transis ». Je suis prêt à tout pour elle, et surtout, ça me fait plaisir de la servir, encore plus lorsqu'elle est à l'origine de la demande.
En cas de différent, là où j'aurais argumenté pour la convaincre de ma vérité, avec la cage mon égo disparaît, je m'incline et le problème n'existe pas.

Le couple en ressort bien plus serein.