Saluant vos patiences que je n'ai pas vécues, je possède modestement une plus courte période d'essai déjà citée dans ma présentation. Voulant tester ma volonté, prendre les commandes, j'ai poussé ma résistance, le sexe en liberté. Ce que je croyais. J'en étais prisonnier... en réalité. Mais sans regret. Oui, seul c'est compliqué, avec un effort permanent de volonté. Plus compliqué? Je ne sais pas. Oui, une autre personne est précieuse pour diriger. J'avoue ignorer si la frustration est plus importante avec cage. Je vous fais confiance.
Je vais tenter ici de vous décrire un état de chasteté... SANS cage :
Assez rapidement et progressivement, c'est comme si j'avais mille mains fines autour de l'insolent trop dressé trop souvent, jusque dans le cerveau déchiré en deux :
Faire ou ne pas faire? C'est l'incompréhension. En voilà une citation!
Mille caresses autour sans même me toucher. Même l'air qui se déplace devient une menace. Il devient très sensible. Alors sous les tissus? Peine perdue. Le sang engorgé qui lance devient des envies qui appuient dedans dans un bain bouillonnant. La supplique désespérée de vouloir tout vider sans pouvoir simplement à peine effleurer, alors que justement son utilité est dedans. Fourmillement autour et partout, jusqu'aux pieds qui picotent, capteurs sensoriels réveillés. Tout devient excité. Le dard déployé haut perché comme jamais, fier et vulnérable autant que misérable, de réduire à un jet la solution pour tout calmer. Tout jeter c'est mourir, à commencer par dormir après. Je préfère tout garder mais seul c'est compliqué. Impossible de se reposer. Des nuits perturbées. Ca recommence toujours et de plus en plus fort, cette envie qui pousse devenue une urgence à vite réprimer pour tenir le mord. Les dents serrés sans pouvoir bouger. Cette envie, c'est la vie! Je suis donc bien vivant. La partager alors... oui mais sans rien donner. Partager sans donner? C'est l'incompréhension.
J'ai fini par craquer...
Tout ce qu'il en reste : ce petit texte.
Je vais tenter ici de vous décrire un état de chasteté... SANS cage :
Assez rapidement et progressivement, c'est comme si j'avais mille mains fines autour de l'insolent trop dressé trop souvent, jusque dans le cerveau déchiré en deux :
Faire ou ne pas faire? C'est l'incompréhension. En voilà une citation!
Mille caresses autour sans même me toucher. Même l'air qui se déplace devient une menace. Il devient très sensible. Alors sous les tissus? Peine perdue. Le sang engorgé qui lance devient des envies qui appuient dedans dans un bain bouillonnant. La supplique désespérée de vouloir tout vider sans pouvoir simplement à peine effleurer, alors que justement son utilité est dedans. Fourmillement autour et partout, jusqu'aux pieds qui picotent, capteurs sensoriels réveillés. Tout devient excité. Le dard déployé haut perché comme jamais, fier et vulnérable autant que misérable, de réduire à un jet la solution pour tout calmer. Tout jeter c'est mourir, à commencer par dormir après. Je préfère tout garder mais seul c'est compliqué. Impossible de se reposer. Des nuits perturbées. Ca recommence toujours et de plus en plus fort, cette envie qui pousse devenue une urgence à vite réprimer pour tenir le mord. Les dents serrés sans pouvoir bouger. Cette envie, c'est la vie! Je suis donc bien vivant. La partager alors... oui mais sans rien donner. Partager sans donner? C'est l'incompréhension.
J'ai fini par craquer...
Tout ce qu'il en reste : ce petit texte.